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 Zack Stinson doit mourir... Ah, quand même pas. – CEBRIAN

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MessageSujet: Zack Stinson doit mourir... Ah, quand même pas. – CEBRIAN   Zack Stinson doit mourir... Ah, quand même pas. – CEBRIAN Icon_minitimeDim 3 Juil - 3:48

Le soleil tapait fort et je n’avais rien trouvé de mieux en cette belle matinée de congé que d’aller me dorer la pilule sur Tribeca Beach. Je sais, c’est parfaitement cliché, mais je n’avais rien de mieux à faire, voilà tout. J’étais très déprimé en ce moment, entre Lily qui avait perdu son bébé et l’autre con qui avait rappliqué juste à ce moment-là. Ce n’était qu’un sale vampire qui profitait de la vulnérabilité de ma meilleure amie. Et le pire, c’était que celle-ci se comportait comme une vraie autruche, à ne vouloir rien voir autour d’elle, à refuser d’ouvrir les yeux. J’avais envie de la secouer comme un cocotier pour qu’elle se réveille un peu. Mais Zack était revenu et c’était comme si l’ardoise avait été entièrement effacée, qu’elle recommençait à zéro avec lui. Si seulement il ne lui avait pas fait tout ce mal, peut-être que je l’aurais accepté sans broncher. Pourtant, là, c’était insoutenable. Elle avait quand même failli mourir à cause de lui, non ? Je ne la comprenais tout simplement plus. Lily m’était devenue étrangère et cela me perturbait tellement que je préférais dormir sur la plage que de rester à l’appartement pour faire quoi que ce soit de plus intéressant. Elle avait perdu le petit être qui grandissait dans son ventre, alors elle s’accrochait à ce grand connard de Zack parce qu’il était là au moment où c’était arrivé. C’était un héros, le type qui ne l’avait pas abandonnée lorsqu’elle était en route pour l’hôpital, qui n’était pas non plus parti durant les heures où elle était restée au bloc. Nan, mais franchement ! N’importe qui aurait fait ça, même un parfait inconnu, mais ça, Lily ne semblait pas s’en rendre compte. Zack était suffisamment malin et manipulateur pour le savoir et tout cela résultait d’un plan machiavélique de son cru.

Allongé sur le sable, en short, j’aurais dû me sentir bien, au chaud et peinard, mais non. Je n’arrêtais pas de penser à Lily et à Zack, à ce que ce dernier pourrait bien encore faire subir à ma chérie sans que celle-ci n’y prête attention. Lorsque j’eus la sensation qu’un rayon de soleil avait choisi de me brûler la peau malgré la crème solaire, je me redressai sur mon essuie de bain, à moitié assommé. C’est ainsi que je décidai que j’avais besoin d’un câlin. Je me levai, mis mon essuie et mon T-shirt sous un bras et pris mes baskets dans l’autre main. Autant marcher sur la plage, ça me changerait les idées et puis, le soleil aurait moins de chances de me choper. Je n’avais pas très envie de virer au rouge écrevisse, à vrai dire. Je descendis un peu plus bas, histoire d’avoir les pieds dans l’eau. Faire des éclaboussures, ça pouvait s’avérer marrant, surtout quand on était déprimé. Moi, la mousse des vagues et le bruit des gouttes qui retombaient dedans, ça m’empêchait de réfléchir. Et j’en avais réellement besoin aujourd’hui. Il n’y avait pas grand monde qui trainassait. Bon, d’accord, un samedi matin, à cette heure-là, on ne s’attend pas à faire des rencontres. Tout le monde est fatigué de sa semaine de boulot et il n’y avait qu’un pauvre coiffeur pour se dire que ce serait une bonne idée. Néanmoins, la solitude me pesait légèrement. Je ferais sans doute mieux de me diriger au plus vite vers un lieu fréquenté de Lewis avant de faire une crise de nerfs. C’était le genre de situation inenvisageable à Londres. Déjà, parce qu’il n’y avait aucune plage à Londres, à ce que je sache, et puis que c’était surpeuplé, peu importe où j’allais. La capitale anglaise me manquait pour diverses raisons, mais celle-là par-dessus tout. J’étais toujours entouré là-bas, j’avais toujours quelqu’un à harceler et je pouvais choisir parmi une centaine de personnes qui évoluaient autour de moi chaque jour. Lewis, c’était beaucoup trop petit.

Je m’étais bien éloigné de l’endroit où je m’étais installé et, en relevant la tête, je reconnus à peine la ville. Ça, c’était la meilleure, je m’étais paumé. Ça faisait genre quatre ans que je vivais ici et je parvenais encore à me perdre. Mon sens de l’orientation laissait à désirer. Je pouvais évidemment rebrousser chemin jusqu’à ce que je me trouve à nouveau en territoire conquis, cependant… Il y avait enfin quelqu’un qui avait daigné se ramener sur cette foutue plage. Je le connaissais de vue, c’était un ami de Lily. Je ne lui avais jamais parlé, je savais juste que nous avions un énorme point commun : notre affection toute particulière pour un certain Zachary. Je l’appréciais déjà, même avant de lui avoir adressé la parole et, en plus, je ne me souvenais même plus de son nom. C’était plutôt étrange, non ? Et puis, en prime, c’était un des mecs les plus canons de Lewis, malheureusement hétéro, d’après mon radar, ou plus vraisemblablement d’après Lily. Je m’approchai donc de lui sans complexe, comme à mon habitude, prêt à aller le déranger dans ce qu’il faisait. Ce qu’il trafiquait là, au juste, je l’ignorais complètement, alors ce n’était pas ma faute si ça l’embêtait vraiment. « Salut, tu me ferais un câlin si je te donnais un dollar ? Ça serait tellement cool et sympa de ta part, j’en peux plus, là. »
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MessageSujet: Re: Zack Stinson doit mourir... Ah, quand même pas. – CEBRIAN   Zack Stinson doit mourir... Ah, quand même pas. – CEBRIAN Icon_minitimeDim 3 Juil - 12:03

Zack Stinson doit mourir... Ah, quand même pas. – CEBRIAN 174791tumblrlj8zixr8b31qasdemo1500
Pourquoi la plage ? Sans doute parce que c'était ici que tout échouait. Logiquement, les épaves venaient s'écraser sur le sable, freinés dans leur chute par le sol meuble. Bon ok, ne donnons pas dans le mélo. Deux semaines que j'étais ici, et ces deux semaines avaient suffi à me vider suffisamment la tête pour que je puisse respirer en paix. Le retour de Phoenix avait été difficile, mais maintenant, ça allait mieux. Revoir Lewis avait ravivé des souvenirs qui m'avaient permis de tracer un trait définitif avec ce bout de vie que je n'avais pas passé ici, et c'était pour le mieux. Vraiment. J'étais retourné dans tous les endroits qui auraient pu me faire me souvenir de ce qu'avait été mon existence avant mon départ. Tous, sauf ici. Tribeca Beach. Je venais ici souvent, dessiner, peindre l'horizon ou juste jouer comme tous les gamins normaux. Revenir ne ravivait pourtant pas des souvenirs comme cela aurait du. C'était simplement une plage, rien de plus, et le bruit était ici exactement le même que sur toutes les plages du monde. Le fait que je sois seul ici y était sans doute pour quelque chose. Enfin, ceci-dit, c'était sans doute aussi parce que le soleil tapait trop fort, que je n'avais pas dormi autant que j'aurais du, que l'inspiration ne venait pas, et que mon crayon gisait inerte dans ma main sans rien tracer sur cette page blanche. J'avais la phobie de la page blanche. Ça me faisait toujours l'effet d'un grand vide dans lequel je pourrais me perdre. La mine s'appuya contre la feuille, et je priai pour que quelque chose me vienne. D'habitude, ce n'était pas les idées qui manquaient. J'étais toujours plein d'imagination, et même pire, de besoin de dessiner, de peindre. De faire quelque chose de toutes ces pensées. Le truc, c'est que... là était le problème. Ma tête était vide, et j'aurais du en être plus qu'heureux. Parce que vous avez tous une fois au moins dans votre vie, ressenti cette insupportable avalanche de pensées et de souvenirs qui vous assaillaient sans cesse, et qui vous torturaient minute par minute sans que vous ne parveniez à vous en débarrasser. Et là, plus rien ! J'aurais du sauter de joie. Mais ce n'était pas le cas. Parce que je devais renflouer mon compte en banque. J'étais presque à sec, je n'avais rien vendu depuis des semaines. J'avoue qu'à Phoenix, mon emploi avait suffi à ma subsistance, à notre subsistance. Là-bas, je ne peignais que pour mon plaisir. Mais là, je devais réellement trouver quelque chose à vendre.

La mine appuya encore un peu plus fort, j'eus l'espoir d'une illumination. Et... rien. Je lâchai un soupir de dépit, me renversai en arrière dans le sable, une main sur le sommet du crâne. Mon heure de gloire et la fortune, ce ne serait pas pour aujourd'hui. Je lâchai prise. Tant pis, ce serait pour plus tard. Ma prochaine période de déprime serait certainement très productive... A mon grand dam, c'était toujours là que j'étais le plus inspiré. Je sentais le soleil frapper mon visage, le vent secouer doucement ma chemise. J'en vins à me dire que ce ne serait peut-être pas une journée si pourrie. Que j'arriverais à oublier, que la transition se ferait en douceur. Le soleil aidait à cela. Jusqu'à ce qu'une ombre vienne gâcher ce doux moment de plénitude, et que j'entende une voix inconnue au dessus de ma tête. « Salut, tu me ferais un câlin si je te donnais un dollar ? Ça serait tellement cool et sympa de ta part, j’en peux plus, là. » J'ouvris un œil, me redressai sur mes coudes. C'était... Ismaël ? Je ne l'avais vu que de loin, et rarement. Avec Lily, j'étais bien obligée de savoir qui c'était. Son grand ami, celui avec qui ça n'allait pas si fort ces derniers temps. Je ne le connaissais que par ce que m'en disais Lily, et j'avoue que parfois, ce n'était pas très élogieux mais cela, je le garderais pour moi. Que savais-je de lui ? Je fis rapidement le point dans ma tête. Je savais qu'il était gay, Lily me l'avait fait comprendre. Je savais qu'il la protégeait tant que ça l'agaçait, ce que je comprenais aussi. Et, ah oui. Je savais que lui et moi avions un point commun : Zack Stinson était un véritable crétin à nos yeux, à éradique le plus vite possible de la vie de Lily. On ne se connaissait pas, mais nous avions au moins un but commun à notre actif. C'était toujours ça.

« Un dollar seulement ? C'est pas cher payé. Je crois que ça vaut un peu plus que ça. » répondis-je en riant de sa question. « Ceci-dit, vu que je suis un type vachement sympa, je pense que je peux le faire. » Je prenais déjà ça pour un jeu ayant pour but que l'on fasse peut-être plus ample connaissance, me fichant bien que ça puisse être une technique de drague un peu étrange ou quoi que ce soit d'autre. J'étais au courant de son homosexualité, mais honnêtement ça ne me dérangeait pas. Je ne faisais pas partie de ces gens qui fuyait les gays comme des galeux. Même si je trouvais toujours ça un peu, comment dire... risqué ? Je m'assis, débarrassai tout mon matériel désormais inutile. « Pauvre petit, tu as l'air déprimé... » lui dis-je avec un brin d'ironie.
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MessageSujet: Re: Zack Stinson doit mourir... Ah, quand même pas. – CEBRIAN   Zack Stinson doit mourir... Ah, quand même pas. – CEBRIAN Icon_minitimeMer 6 Juil - 5:32

L’espace d’une seconde, je m’interrogeai tout de même sur tout ce que Lily avait pu lui balancer à mon sujet. J’en avais des palpitations. Il devait probablement savoir que j’étais gay, ça, c’était de l’ordre du patrimoine mondial, en quelque sorte. En fait, il pouvait très bien déjà être ismaëlophobe, comme la plupart des hétérosexuels endurcis de cette ville. Mais… Il n’avait qu’à pas être aussi agréable à regarder, aussi. Ouais, parfaitement, c’était de sa faute, maintenant. Il y en avait de belles à raconter sur moi, voilà pourquoi je craignais un peu ce qu’avait pu confier ma meilleure amie à cet apollon. Du genre la fois où je m’étais coincé l’index dans une bouteille en verre en espérant ainsi récupérer mon étoile de David qui était tombée dedans ou celle où j’avais vainement essayé de fermer manuellement une porte automatique à détecteur de mouvement. Si jamais vous trouvez comment faire, prévenez-moi, ça m’intéresse. Bref, je ne doutais pas non plus une seule seconde qu’elle avait dû lui dire quelques horreurs me concernant, surtout en cette période difficile que nous traversions. Tout ce qui arrivait en ce moment, c’était l’ultime test de notre amitié, à Lily et à moi. J’avais peur qu’elle se brise. D’ailleurs, c’était d’abord avec des remarques pareilles et en n’ayant pas confiance l’un en l’autre que notre affection s’effriterait. Je devrais peut-être ne plus faire attention à Zack et juste redevenir un ami exemplaire, seulement là lorsque l’on avait besoin de moi, autrement, il fallait que je reste invisible. Pourtant, je n’étais pas sûr que c’était une excellente démarche non plus. Me mêler aux affaires de Lily, cela prouvait quand même que je tenais beaucoup à elle, à tel point que je ne pouvais même plus m’autoriser à me foutre de sa vie pour une journée. C’était limite si je ne me souciais pas plus pour elle que pour moi. Non, à vrai dire, c’était réellement le cas. Lily passait avant moi dans ma tête, cela avait toujours été ainsi. Et je supposais que c’était réciproque, après tout, à quoi cela servait d’être meilleurs amis si ce n’était pas pour veiller l’un sur l’autre ?

Malgré tout ce qui me turlupinait ces derniers temps, je ne pus résister à lui soutirer un câlin contre un dollar. Ouais, je sais, c’était radin, mais j’étais coiffeur, moi, pas propriétaire pétrolier milliardaire. Et puis, il y avait une amélioration : d’ordinaire, je me serais tout simplement jeté sur lui sans lui demander son avis. Cette technique m’ayant apporté un certain lot d’yeux au beurre noir, je m’étais résigné à la laisser de côté. Pour l’instant. « Un dollar seulement ? C'est pas cher payé. Je crois que ça vaut un peu plus que ça. » Evidemment, il avait raison. Surtout qu’il avait un physique plutôt vendeur. Je n’étais même pas sûr d’avoir de l’argent sur moi. Mais il n’était pas obligé de le savoir. Au pire, il me faisait crédit et je le rembourserais plus tard. Enfin, je devais bien avoir un dollar dans le fond d’une poche. « Ceci-dit, vu que je suis un type vachement sympa, je pense que je peux le faire. » Du tac au tac, j’aurais très bien pu lui sortir un : je crois que je suis amoureux. Mais il ne s’agissait pas de le faire fuir non plus. J’avais appris à me contrôler, récemment, en lisant la drague pour les nuls. Bon, même s’il s’avérait que je n’avais pas trouvé de version gay de cet ouvrage, il se révélait tout de même relativement instructif. Je l’avais commandé sur eBay, parcouru en une soirée, j’avais amassé tellement d’informations en un temps record que j’en avais très vite zappé la moitié. Mis à part qu’il ne fallait pas se montrer trop affectueux dès le départ, je n’avais rien retenu. Aheum. En fait, ça commençait plutôt mal, là ? Oh, et puis zut, stupide bouquin ! Il ne m’avait pas donné de conseils pour convertir un hétéro affirmé…

Puisqu’il était passé de couché à assis, je m’assis également, juste à côté. J’étais toujours autant sans-gêne, par contre. [color=DarkSeaGreen] « Pauvre petit, tu as l'air déprimé... » Pas trop difficile à déduire, je présume. Je lui adressai un sourire faiblard, pour faire honneur à son ironie. Cependant, je n’aimais pas qu’on me rappelle que j’avais cet air-là. « Bah… C’est pas compliqué à comprendre, à la maison, c’est Zack ceci, Zack cela. Tu devrais essayer de connaitre Zack plutôt que de juger Zack et gnagnagna. Dis-moi que je suis pas le seul à qui ça fait cet effet-là. » J’ignorais si Lily le bassiner lui aussi avec son cher et tendre ex-petit ami qui n’allait pas tarder à redevenir son copain si elle poursuivait dans cette voie. Elle devait tenter de le convaincre de la sincérité de Zack, étant donné qu’il appréciait Stinson autant que moi. Posant mon regard sur son matériel, je ne sais pourquoi, mais je fus absolument ravi de me souvenir que c’était un artiste. J’étais content avec un rien, mais si jamais vous aviez le cerveau en passoire comme moi, vous verriez à quel point cela faisait plaisir de découvrir qu’on avait un minimum de mémoire. J’avoue que le matériel qui gisait là m’avait beaucoup aidé sur ce coup-là, néanmoins… Chut. Ayant bien contemplé les vaguelettes pendant quelques secondes, je me tournai vers lui, passai mes bras autour de ses épaules et enfouis mon visage dans son cou. Il sentait vachement bon. Puis, me rendant compte que mon geste avait été fort soudain, je me reculai en regardant le ciel comme si de rien n’était. « Hum. Excuse-moi, j’ai beau savoir que tu es un artiste, arrête-moi si je plante, j’ai complètement oublié ton prénom. Je reconnais plus souvent les gens parce qu’ils sont canons que parce que je connais leur nom. Mais, en fait, ça me parait logique. »
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