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 Viens m'sauver la vie, p'tit cactus Ø Fauve

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MessageSujet: Viens m'sauver la vie, p'tit cactus Ø Fauve   Viens m'sauver la vie, p'tit cactus Ø Fauve Icon_minitimeVen 8 Juil - 0:16

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Personne ne connaît personne ; tu ne me connaîtras jamais.

« Putain, laissez-moi sortir d'ici. » La tête entre deux barreaux, Juno se lamentait et lâchait des jurons depuis plus de deux heures. Il avait beau s’énerver, aucun des policiers assis devant la cellule ne réagissait. Ils ne dédaignaient même pas lever la tête de leur journal. Exactement le cliché du policer au ventre flasque affalé dans son fauteuil, un gâteau à la main. Et c'est cet individe répugnant qui devrait faire la fierté de la ville ? Tu parles. La preuve ; l'un d'eux avait arrêté Juno durant cette nuit. La cause : un joint dans ses mains. Un joint ! Ce n'est pas comme si il était en pleine rue avec une pancarte disant "je vends de la marijuana, servez-vous. C'est illégal, mais on s'en tape. Fuck la police." Seulement, pour les policiers, un joint à la main est un délit grave. Juno s'est donc retrouvé trentre minutes plus tard dans un cellule au poste de police. Il ne s'est pas vraiment débattu, il n'en a rien à faire et savait qu'on allait tout de même le libérer. Sauf que là, ça fait plusieurs heures qu'il tourne en rond comme un lion en cage. Le pire, c'est qu'aucun des policiers ne réagit à ses lamentations. Ses mains s'écrasent violement sur le bareau et un nouveau chapelet de jurons s'échappe de sa bouche. « Vous êtes sourds ? Je veux sortir. C'est bon, j'ai purgé ma peine, je ne recommencerai plus, j'ai compris la leçon et je suis un bon garçon. J'ai une famille et une petite fille qui a besoin que je la nourrisse... » Un des policer toussota et pris la peine de bouger pour ouvrir la porte de la cellule. Il tira Juno par le bras et le mit face à un vieux téléphone accroché au mur. Juno le fixa, perplexe. L'homme prit enfin la parole. « Allez, c'est bon, tu sors. Et que je ne revoie jamais. Appelle quelqu'un, je ne compte surement pas te lâcher dans la rue tout seul. » Juno leva un doigt et ouvrit la bouche pour protester mais le policier fit un geste de la main et se alla se rasseoir dans son fauteuil. Appeler quelqu'un. Impasse. Juno n'avait personne. Personne à part Fauve. Et il n'avait aucune envie d'appeler Fauve si c'était pour qu'elle refuse et lui hurle encore dessus. Pourtant, il fallait bien que Juno se sorte de là. En plus, il n'est que cinq heures du matin, Fauve doit être en train de cuver tout l'alcool qu'elle a avalé la veille. Juno soupira, décrocha le téléphone vieux comme le monde et composa le numéro de Fauve qu'il a heureusement mémorisé par coeur. Le "bip" retentit plusieurs fois, Juno se mit à paniquer qu'elle ne décroche pas. Heureusement, au huitième son, Fauve décrocha. Juno ne bafouilla que quelques mots. « J'suis à la station de police. Viens m'sauver la vie ou tu me reverra jamais. Et puis, t'aura ma mort sur la conscience. » Il raccrocha. Maintenant, il n'avait plus qu'à attendre. Elle ne viendra pas, elle est trop méchante et sans coeur. Quoique, elle est fort curieuse, elle viendrait juste pour savoir ce qu'il se passe. Ou alors, elle s'occupe un tant soit peu de Juno et voudra savoir ce qui lui arrive. Juno fouilla dans sa poche et en sortit son éternelle clope, sa meilleure amie. Il s'affala sur la chaise à côté du téléphone et porte la cigarette à sa bouche. Il vit le policer lever un sourcil pour s'assurer que la cigarette n'était pas suspecte. Juno laissa la fumée l'entourer et attendit. Elle viendra. Vingt minutes. Elle ne viendra pas. Quarante cinq minutes. Elle le déteste. Un heure. Pauvre conne. Juno désespère. Il ne sortira jamais de ce trou pourri, il sera même obligé de fuguer et de tuer le policer. Ensuite, il sera recherché par interpole et devra changer de pays. Tout ça à cause d'une pauvre alcoolique qui refuse de le sauver. Il en est déjà à sa troisième clope quand la porte d'entrée claque et Fauve apparaît. Génial, elle se soucie un tant soit peu du sort de Juno. Celui-ci sourit faiblement et lance un regard vantard au policier. Il jette sa cigarette sur le sol et se dirige d'un pas rapide vers la jeune fille. Il est plus heureux de la voir qu'il ne le pensais. Son bras entour la fine taille de Fauve et la pousse vers l'extérieur. « C'est pas trop tôt. T'aurais pu bouger un peu plus vite ton cul, j'ai attendu toute la nuit dans ce trou. »

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MessageSujet: Re: Viens m'sauver la vie, p'tit cactus Ø Fauve   Viens m'sauver la vie, p'tit cactus Ø Fauve Icon_minitimeVen 8 Juil - 3:37


Viens m'sauver la vie, p'tit cactus Ø Fauve Dot1cz

J’aimerais pouvoir dormir toute ma vie. Le temps passerait sans que je m’en rende compte, et je pourrais imaginer tout ce que je souhaite dans mes rêves, même ce qui est normalement impossible dans la réalité. Au moins tant que je rêve j’ai l’impression que tout est réaliste, ce n’est qu’à mon réveil que je me rends compte que j’ai des rêves franchement étranges – quand j’arrive à m’en souvenir. Et c’est justement ce que je faisais en ce moment je rêvais quand j’entendis une sonnerie qui me paraissait lointaine, qui était de plus en plus forte, je finis par reconnaître ma sonnerie de téléphone, me rendant compte que je ne rêvais pas et que mon portable sonnait réellement. Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était, mais il était tôt, à voir le mal de tête ignoble que me provoquait cette sonnerie. Je cherchais les yeux clos mon téléphone encore à moitié endormie, je finis par le trouver et décrochais. « J'suis à la station de police. Viens m'sauver la vie ou tu me reverras jamais. Et puis, t'aura ma mort sur la conscience. » Je reconnus immédiatement la voix de Juno. J’ouvris la bouche pour répondre mais il avait déjà raccroché. Mon cerveau ne marchant encore que partiellement, je tentais d’analyser ce qu’il venait de me dire. Quand enfin l’information me monta au cerveau un soupire sortit de ma bouche. La colère monta en moi, ainsi que l’exaspération, ce qui me permit de me réveiller complètement. Je regardais l’heure, cinq heure du matin. Non mais c’était du pur délire, il se fouettait vraiment de moi. Qu’est-ce qu’il avait encore fait comme connerie pour se retrouver au poste ? Je m’en doutais un peu, c’était soit l’alcool, soit la drogue, ou peut être les deux. Je réfléchis quelques secondes. Si il m’avait appelé c’est parce qu’il ne pouvait pas repartir seul, donc si je reste là, il restera aussi au poste. Je me rallongeais un sourire aux lèvres dans mon lit. Il était hors de question que je sorte le chercher à une heure pareille, vu qu’il m’avait réveillé, je me devais de me venger. Au pire j’irais le chercher plus tard, dans quelques heures, ça lui fera pas de mal de rester au clou. Surtout que j’étais vraiment pas en état de sortir, bien évidemment j’avais passé la nuit dans un bar, et je sentais encore l’alcool, et mon mal de crane me confirmait que j’en avais bu pas mal. Je tentais de me rendormir en vain. A cet instant je détestais réellement Juno. J’allais devoir attendre que passe le temps. J’allais peut être allez le cherche en fin de compte. Comme ça il aura une dette envers moi, et j’aurais le temps de réfléchir à une vengeance mieux élaborée. Surtout que je savais qu’à part moi, il ne pourrait appeler personne d’autre, et j’étais surement la seule personne qui accepterait d’aller le récupérer. Je me levais, et allait dans la sale de bain. J’avais une tête lamentable, je pris donc une douche, en prenant le plus de temps possible. Je risquais pas de courir à sa rescousse, je lui ferais pas ce plaisir. Après ça j’enfilais les premiers trucs qui me tombaient sous la main. Je pris ensuite mon paquet de clope, et je restais plusieurs minutes à attendre que ma cigarette ce consume à petit feu. Je pensais à ce con de Juno, qui devait attendre que je vienne le sauver, qui devait se dire que je ne viendrais pas au bout du compte, et je me marrais intérieurement rien qu’à l’imaginer désespéré et s’énerver après moi. Je finis par m’étirer longuement avant de prendre une veste et de sortir. Bien qu’on soit en été, je suis frileuse, et à une heure aussi matinale la température est suffisamment basse pour que j’ai froid. J’habite pas très loin du poste de police, et en quelques minutes j’y arrive. Il aura attendu un peu plus d’une heure, bof, j’aurais pu mettre plus de temps. J’entre dans le poste et claque la porte. Je le vois assis sur sa chaise à fumer sa clope, tel un petit enfant qui est puni et qui attend qu’on lève sa punition, c’était comique à voir. Il sourit faiblement quand il m’aperçu, je préférais sourire poliment au policier qui regarda Juno partir l’air exaspéré. Ce dernier me prit par la taille et m’entraine à l’extérieur, je m’écartais une fois dehors. « C'est pas trop tôt. T'aurais pu bouger un peu plus vite ton cul, j'ai attendu toute la nuit dans ce trou. » Si j’avais pu je l’aurais déjà tué pour ce commentaire, mais c’était plutôt une mauvaise idée vu où nous nous trouvions, je me contentais donc de le fusiller du regard. Il allait pas non plus se plaindre, c’était par ses conneries qu’il s’était retrouvé là. « T’as pas intérêt à faire le moindre commentaire de plus, j’aurais pu ne pas venir du tout. Si t’es pas content je retourne voir le flic et je porte plainte contre toi, pour harcèlement, ou je trouverais un truc suffisamment grave pour que tu restes bien plus qu’une nuit en taule ! ». Il savait très bien que j’aurais pu le faire. Enfin ce qui m’intéressait surtout à présent c’était de savoir ce qu’il avait fait pour arriver là, je m’attendais à tout. « Qu’est-ce que t’as foutu pour arriver ici ? Laisse-moi deviner. Soit t’as tenté de tuer quelqu’un, soit tu t’es battu, ou alors c’est l’alcool, ou bien la drogue. »
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MessageSujet: Re: Viens m'sauver la vie, p'tit cactus Ø Fauve   Viens m'sauver la vie, p'tit cactus Ø Fauve Icon_minitimeVen 8 Juil - 8:44

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Finalement, elle a prit la peine de venir. Le simple fait de penser à sa tête quand la sonnerie de son téléphone a retentit fait sourire Juno. Fauve était probablement en train de dormir profondément et Juno l'a énervé. Parfait. Finalement, le fait qu'il soit obligé d'appeler quelqu'un pour rentrer était une très bonne chose. Depuis qu'il la connait, il a appris que Fauve est une fille qu'on énerve très facilement et dont les nerfs lâchent très vite. Et ça, c'est un vrai régal. Il suffit de lui faire une petite pique et elle hurle, façon de parler. Enfin, elle a également le don d'énerver les gens. Particulièrement Juno. Elle l'insulte, le maltraite et ne se gêne pas pour lui lâcher des répliques cinglantes en pleine gueule. Evidemment, elle le met hors de lui. Il se retiens parfois d'écraser son poing dans son visage enfantin comme il l'avait fait le soir de leur rencontre. D'accord, Juno était soûl, très soûl. Soûl au point de coucher avec cette folle. Heureusement qu'il n'en a pratiquement aucun souvenir, comme d'habitude. Aucun à part une cuisse laiteuse dépassant du drap qui l'avait légèrement troublé. Il s'était maudit de ne plus être enivré par l'alcool au matin. C'est cette image qui lui revint à l'esprit quand Fauve surgit dans l'entrée du poste de police pour lui sauver la vie. Ça marchait toujours. Il suffit d'annoncer quelque chose de plus ou moins grave au téléphone, de ne pas laisser à l'interlocuteur le temps de parler et de raccrocher. Ça marche sur les imbéciles. Sur Fauve quoi. Au moins, elle était venue. Ca cache quelque chose. Juno lui devra assurément quelque chose. Elle peut rêver. Juno ne fera rien pour elle, cette fille ne décidera rien et ne lui donnera aucun ordre. Sauf qu'à la première seconde où Juno sort enfin du poste, Fauve se met déjà à faire des chantages. « T’as pas intérêt à faire le moindre commentaire de plus, j’aurais pu ne pas venir du tout. Si t’es pas content je retourne voir le flic et je porte plainte contre toi, pour harcèlement, ou je trouverais un truc suffisamment grave pour que tu restes bien plus qu’une nuit en taule ! » Un sourire satisfait fendit le visage de Juno. Il avait finalement finit par réussir à l'énerver. Comme c'est satisfaisant. Le bras qu'elle a méchamment repoussé retourne se nicher dans le creux de ses reins.« Tais-toi, Fauve. Tu es extrêmement heureuse de me voir et très fière de m'avoir sortit de là. D'ailleurs, si tu es venue c'est que tu te soucie de moi, non ? » Juno ne montre rien en apparence mais un léger stress l'assaille car il sait que Fauve peut très bien se mutiler elle-même et se pointer au poste en hurlant que je l'ai agressée ou violée. Et bien sûr, elle veut savoir comment il est arrivé ici. Elle devrait le savoir, après tout, Juno et Fauve sont pareils. Ce n'est pas positif du tout, au contraire c'est terrifiant et très emmerdant. « Qu’est-ce que t’as foutu pour arriver ici ? Laisse-moi deviner. Soit t’as tenté de tuer quelqu’un, soit tu t’es battu, ou alors c’est l’alcool, ou bien la drogue. » Tuer quelqu'un ? Elle ne le croit quand même pas capable de tuer ? « Si je devais tuer quelqu'un, c'est toi, méchante fille désintéressée et ingrate. Au fait, c'est la drogue. Un tout petit joint. Tu t'rends compte, on m'a arrêté pour un joint de cinq centimètres ! C'est eux que l'on devrait jeter en prison, on arrête pas les gens pour un joint, minuscule qui plus est. » Un grognement mécontent s'échappa de sa bouche et il lâcha Fauve en la bousculant le plus brusquement qu'il le pouvait. Il s'étira longuement et fis un pas sur le trottoir. Qu'allaient-ils faire à six heures du matin. Boire, Juno ne voyait rien d'autre. « Bon, on fait quoi maintenant ? On a trois choix pour fêter nos joyeuses retrouvailles ; drogue , sexe, alcool. Personnellement, je vote pour le troisième. Au fait, je suis sûr que t'es pas venue me chercher pour rien. Tu compte te venger en faisant quoi ? Ne va pas hurler au policer que je t'ai violée, sil te plait, pas ça. »
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MessageSujet: Re: Viens m'sauver la vie, p'tit cactus Ø Fauve   Viens m'sauver la vie, p'tit cactus Ø Fauve Icon_minitimeVen 8 Juil - 11:21

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Ce qui lui plaisait le plus, c’était de me rendre à bout de nerfs. Pour lui c’était aussi simple que dire bonjour, à croire qu’il m’envoyait des ondes au cerveau pour me rendre folle dès qu’il ouvrait la bouche. Un vrai chieur de première qui n’a rien dans le crâne. Surtout que ça le faisait bien marrer de me voir m’énerver ainsi. Je pourrais arrêter de m’emporter, pour qu’il soit lassé, mais c’est impossible, totalement impossible que je reste calme avec lui à côté. Mais bon, c’est aussi très distrayant de l’énerver, et également très simple. Je pourrais faire ça pendant des jours. Je vois bien que des fois il a envie de me frapper, mais il se retient. Tant mieux pour lui, parce que je ne me gênerais pas pour lui rendre. C’est un manège sans fin. Il me saoule, je le saoule. Il me ressemble trop, et c’est pour ça qu’il m’énerve à ce point. Comme d’habitude un sourire apparait sur son visage dès que je commence à le menacer, et son bras reprend sa place initiale. Je ne bronche pas de toute façon que je le repousse ou non ça ne change pas grand-chose. « Tais-toi, Fauve. Tu es extrêmement heureuse de me voir et très fière de m'avoir sortit de là. D'ailleurs, si tu es venue c'est que tu te soucie de moi, non ? » Je pouffe de rire. Paroles totalement contraires à la réalité. Je savais surtout que si je n’étais pas venue le chercher, premièrement il aurait fait une petite crise de nerf, et deuxièmement il me l’aurait fait payer. « Hilarant. Non, je voulais surtout éviter ta petite crise capricieuse digne d’un gamin de cinq an et demi, même si c’est drôle à voir, ça reste exaspérant. » En réalité j’en aurais surement fait autant, mais par la suite j’aurais également appliqué ma technique du boudage intensif, et je l’aurais totalement ignoré durant plusieurs jours, voir plusieurs semaines. Très bonne technique qui marche à tous les coups, et qui rend à bout la personne visée, c’est franchement drôle à faire. « Si je devais tuer quelqu'un, c'est toi, méchante fille désintéressée et ingrate. Au fait, c'est la drogue. Un tout petit joint. Tu t'rends compte, on m'a arrêté pour un joint de cinq centimètres ! C'est eux que l'on devrait jeter en prison, on arrête pas les gens pour un joint, minuscule qui plus est. » Je soupirais, je me faisais pas de soucis sur ce point, c’est pas demain la vieille que monsieur va me tuer, de toute façon il aurait très mal joué le rôle d’un criminel, j’trouve qu’il a pas la tête d’un assassin. La drogue, c’est ce qu’il me semblait le plus probable. « Tu m’tueras jamais, je te manquerais trop si j’étais plus là. Tu devrais même remercier dieu tout les jours d’avoir fait ma merveilleuse rencontre, et prier pour qu’il ne m’arrive rien de grave. Pauvre enfant ! C’est bien fait pour toi, t’avais qu’à pas fumer ce joint. Ils auraient du te garder plus longtemps que ça, une nuit c’est pas suffisant, tu mérites bien plus. ». Il finit par me lâcher, en ne se privant pas de me bousculer fortement. Vraiment une tête à claque. Je le dévisage mais ne dit rien. Maintenant que j’étais là, il fallait bien faire quelque chose. J’aurais pu rentrer chez moi, mais l’idée de devoir trouver une occupation pour passer le reste de la journée ou au moins le reste de la matinée me semblait suicidaire. « Bon, on fait quoi maintenant ? On a trois choix pour fêter nos joyeuses retrouvailles ; drogue , sexe, alcool. Personnellement, je vote pour le troisième. Au fait, je suis sûr que t'es pas venue me chercher pour rien. Tu compte te venger en faisant quoi ? Ne va pas hurler au policer que je t'ai violée, sil te plait, pas ça. » Drogue, merci bien mais non. Sexe, une fois c’était déjà bien suffisant, c’était la dernière personne avec qui j’avais envie de coucher, et même si j’étais la plus bourrée du monde je m’abstiendrais. J’étais bien contente d’avoir oublié la totalité de la nuit que j’avais passé avec lui. Alcool donc c’est la meilleure solution. Je sourie sadiquement à ces derniers mots. C‘est bien il avait quand même peur que je le fasse. « Alcool c’est bien. Et je te préviens que je finirais pas bourré, parce que boire le matin ça me fou la nausée, donc je vais pas boire pour trois. Et je ne te dirais pas comment je vais me venger, c’est pas drôle sinon. Tu finiras bien par le découvrir t’inquiète pas. Je garde ma plainte pour viol pour plus tard, si tu me saoule vraiment, j’irais voir les flics, j’ai déjà réfléchis à ce que j’allais dire et mes accusations, alors fait gaffe petite nullité ! » Question suivante. Boire c’est cool, mais où veut-il trouver de l’alcool à six heure du mat’ dans une ville pareil ? Les magasins sont fermés, et les bars ouverts doivent être peuplé de cas sociaux, mais y’a pas trop le choix de toute façon. « T’as vraiment choisi ton heure pour sortir de taule. A cette heure les bars sont peuplés de pervers et/ou d’assassins psychopathes, je ressortirais même pas vivante. Après c’est toi qui auras ma mort sur la conscience. »
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