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 la douleur est-elle forcément lié au malheur?

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MessageSujet: la douleur est-elle forcément lié au malheur?   la douleur est-elle forcément lié au malheur? Icon_minitimeSam 25 Juin - 23:41

la douleur est-elle forcément lié au malheur? Tumblr_lmk0xmiSLE1qztjfvo1_r1_500

Tout, tout mais pas ça. Voilà ce que je pensais intérieurement. J'avais des douleurs intenable au niveau du ventre et j'avais fait un malaise au bay coffee quand j'étais en train de me prendre la tête avec Zackary et son retour à Lewis. J'avais décidé de lui en faire baver pour son retour mais à un moment donné de temps je m'étais sentie mal. Très mal. Je pleurais de douleur. Oui on m'avait prévenu que certains coups pouvaient faire mal mais le problème était que je ne sentais plus mini-Lily bouger à l'intérieur de mon ventre et je commençais à avoir peur. Une des serveuses du bay coffee avait appelé une ambulance. Je la connaissais bien, à chaque fois c'était elle qui me servait quand je venais déjeuner ou prendre une collation ici. Dire que je n'avais souhaité qu'une simple tarte aux fraises. J'entendais le voix de Zack qui tentait de me rassurer et même si j'avais voulu le frapper quand j'avais aperçu son regard quelques heures auparavant, je le remerciais au fin fond de mon être de rester près de moi. Zack, je l'avais toujours aimé quand j'avais dis ça à Ismaël il avait vu carrément rouge. Ismaël, je voulais qu'il soit là. J'avais horreur des hôpitaux depuis ma tentative de suicide et je ne voulais en aucun cas me retrouver seule parmi des hommes et des femmes en blouse blanche. L'ambulance était arrivé et je ne voyais plus nettement le lieu où nous étions. J'avais des nausées affreuses. L'ambulance était arrivée et tout ce que je souhaitais c'était de ne pas me retrouver seule. Ma main cramponnée au bras de Zackary, je le regardais en murmurant quelques mots: « Je t'en pries, ne me laisse pas. » J'avais l'impression de revenir quelques années en arrière en le suppliant de ne pas me quitter et de me laisser seule. Je me demandais si aujourd'hui je pouvais de nouveau lui faire confiance, et vu son geste je compris que oui.

Il n'avait pas fallu longtemps pour que l'on atterrisse à l'hôpital. D'après la gynécologue qui me suivait ce malaise et ces douleurs étaient anormaux, j'avais passé une échographie quelques semaines auparavant et tout était en ordre. Je souffrais le martyre. On décida qu'il fallait que je passe un examen échographique en urgence et avant que l'on m'embarque j'attrapai le poignet de Zackary qui m'avait accompagné. « Préviens Ismaël s'il te plait, s'il ne répond pas laisse lui un message et... » Je le regarda droit dans les yeux. « ...reste...s'il te plait. » Je n'aurais jamais cru qu'en me réveillant le matin même que j'aurais le droit à une succession d'événements qui n'allaient pas me laisser indifférente. Dès le premier examen, le drame. Le cœur du bébé ne battait plus. Je sentis mes larmes montées à mes yeux, j'aurais voulu hurler, qu'on me rende ma fille. J'avais appris à l'aimer au fil des mois et voilà qu'on me l'enlevait. L'obstétricien avait déclenché l'accouchement et j'avais refusé de voir l'unique fois celle qui aurait du être ma fille. En l'espace de quelques heures, j'avais tout perdu. Plus de petite fille, plus une Lily épanouie. Pour éviter de faire des crises d'hystéries on m'avait placé sous sédatifs à cause de la violente crise de larmes que j'avais fait dans la salle d'accouchement. Je vivais en plein cauchemar. Dans ma chambre, le médecin m'expliqua que le bébé s'était étranglé avec le cordon ombilical. Que c'était un accident et que ce n'était pas de ma faute. Que si le soir même ma tension était bonne je pourrais rentrer mais que si j'étais prise de nausées et de vomissements il faudrait que je revienne. Je ne voulais pas revenir. Il partit me laissant seule.

Je n'arrivais pas à m'y faire, je regardais ce ciel bleu dont j'avais l'impression qui me narguait. Posant mes mains sur mon ventre qui avait nettement perdu du volume, je laissais mes larmes coulées me souvenant du premier jour où avait été acheté des vêtements pour elle avec Ismaël, de cette petite robe verte qui aurait du lui aller à ravir. On avait frappé à la porte et après, Zack était là, il était resté malgré deux heures d'attente. « Zack... » Fis-je en murmurant son prénom ma voix éreintée de sanglots. Je devais être pas jolie à voir. « Tu es resté... » Je souriais légèrement. Il n'avait pas menti, il était réellement revenu à mes côtés. « J'ai perdu mon bébé. » Je fondis en larmes n'arrivant plus à me retenir malgré les calmants.
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Z. Clayton Stinson
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MessageSujet: Re: la douleur est-elle forcément lié au malheur?   la douleur est-elle forcément lié au malheur? Icon_minitimeDim 26 Juin - 1:01

la douleur est-elle forcément lié au malheur? Dave-Franco-dave-franco-19607244-500-184
✿ Lily & Zackary

C'est vraiment moche ce que j'ai fait... J'ai pas de raison à te donner, un jour je me suis levé, et c'était fini, j'y arrivais plus, c'est tout. C'était même pas un choix, j'ai eu un flash, et en un clin d'œil, en deux minutes, j'ai tout foutu en l'air. Je l'ai quitté.


Une étrange douleur tiraillait l'intérieur de l'estomac de Zackary, en quelques secondes tout avait basculé, la vie de Lily ne serait plus la même et la sienne non plus. Comment cela était arrivé, qu'est-ce qui avait bien pu déclencher cet affreuse douleur dans le bas du ventre de la jeune femme, qu'est-ce qui avait bien pu déclencher ce transport d'urgence à l'hôpital. Sans qu'il ne s'en rende réellement compte, Zackary se retrouvait dans cette ambulance, tenant franchement la main de le jeune femme qui souffrait le martyre, cette affreuse douleur tirant son visage d’ange en des centaines d'expression de souffrance. Une fois de plus, il réalisait qu'elle était réellement la seule qui comptait pour lui et qu'il serait prés à tout pour la retrouver, pour qu'elle lui permette de l'aimer une fois de plus, pour que cette dernière chance elle la lui accorde, car rien d'autre ne comptait sauf elle. Zack ne parvenait pas à retirer l'image de Lily s'effondrant sur le sol inerte, car la douleur était trop présente, intenable, une véritable torture. A présent, elle n'était plus inconsciente, mais elle avait mal, il le savait, mais pas simplement mal au ventre, mal au cœur, parce qu'elle devait se douter de l'abominable fin qui guettait son bébé, mais elle voulait y croire, tout comme lui, la voir malheureuse une fois de plus, Zackary ne pouvait s'y résoudre. La jeune femme était totalement accroché à son bras, lui plantant ses ongles dans la peau, mais il s'en foutait totalement, tout ce qui importait c'était elle et rien d'autre, il souhaitait être là pour elle, ne plus jamais la quitter, lui prouver qu'il l'aimait. « Je ne te laisserais pas Lily, plus jamais, je te le promet. ». Lorsque l'ambulance se stoppa, signe qu'ils étaient devant l'hôpital, Zackary suivit tentant toujours le bras de Lily, il courait avec les ambulanciers qui tentait de conduire la jeune femme chez la gynécologue le plus rapidement possible. Il lui lança un dernier regard encourageant, puis on lui demanda de ne pas les suivre car cette partie de l'hôpital était réservée aux patients et médecins. Une fois de plus, elle lui attrapa le bras lui demandant d’appeler Ismaël son meilleur ami et de ne pas la quitter. Zackary répondit à l'affirmative d'un geste de la tête n'étant plus capable d'articuler un mot. Il regarda alors le brancard disparaître derrière les portes battantes et c'est là que commença l'attente interminable, mêlant l’inquiétude et la culpabilité, donnant un mélange de sentiments plus que toxiques.

Coupable, oui, il se sentait coupable, totalement fautif de ce qui était arrivé à Lily, s'il ne l'avait pas mis dans tous ses états en l'abordant dans ce café, s'il ne l'avait pas énervée en tentant de se faire pardonner, de la retenir, rien de tout cela ne se serait produit, il en était sûr. Assis, sur une chaise de la salle d'attente, la tête entre les mains, il ne parvenait plus à rester calme, comment avait-il pu être aussi con ? Sa sœur avait raison, il distillait les problèmes partout où il se rendait, à croire que Zackary était nocif pour son entourage, à présent il la croyait. Deuxième fois que Lily se retrouvait à l'hôpital par sa faute. Sortant son portable de sa poche, Zack se résigna à téléphoner à Ismaël, il guettait sa réaction, il savait déjà ce qu'il allait lui dire, que tout était de sa faute une fois de plus. « Ismaël, ouais c'est Zackary. Oui, je sais que tu ne veux pas me parler - Non commence pas à hurler, Lily est à l'hôpital, on réglera nos comptes plus tard. ... - Oui à l'hôpital, alors bouge toi, elle à besoin de son meilleur ami. ». Il raccrocha, le regard dans le vide il ne parvenait plus à lâcher le téléphone, dans un geste colérique il le balança contre le mur face à lui, pourquoi ça lui arrivait à elle ? Pourquoi ? C'est à cet instant que le médecin s'occupant du cas de Lily, entra dans la salle. « La famille de Mademoiselle Breaknow ? » Zackary se redressa en entendant le nom de la jeune femme, il se leva d'un bond et s'approcha rapidement du médecin en question. « Oui ! Je euh...enfin je suis son futur mari. » Il ferma les yeux un instant espérant que son mensonge passe. Heureusement pour lui, ce fut le cas. « Très bien, je suppose que vous étiez aussi le père de l'enfant, je suis désolé nous avons fait tout notre possible, mais le fœtus n'a pas survécu...Il s'est étranglé avec le cordon ombilical, c'est un accident, je suis désolé. Si vous souhaitez la voir, c'est la chambre 445. » Sans lui laisser le temps de répondre, le médecin disparût aussi vite qu'il était arrivé, Zackary quant à lui donna un grand coup dans le mur, ses mains tremblaient, il ne parvenait plus à contenir la colère et la culpabilité qui le tiraillait de toutes parts.

Il ne savait même plus comment il avait fait pour se retrouver ici, devant la chambre d'hôpital de Lily, le 445. Mais tout ce qu'il savait c'est qu'il avait besoin de la voir, de lui faire sentir, de lui prouver qu'il ne la quitterait plus, qu'à présent il était là pour elle. Le mains moites il frappa à la pore, un faible oui se fit entendre, il entra donc doucement, elle était sur le côté de dos à la porte, elle paraissait si fragile et forte que cela en était déconcertant, elle pleurait, son regard était vide, elle était perdue et malheureuse. Elle le regarda en prononçant son nom faiblement, oui il était resté, lui le gars qui fuyait toutes responsabilités ne s'était pas enfui en courant. « Oui et à présent je ne partirais plus, je serais toujours là pour toi.» Ensuite, en le regardant dans les yeux, elle lui annonça la perte du bébé, il eu mal au ventre, oui il avait mal pour elle, rien que de penser qu'elle était malheureuse le mettait en colère, lui prouvant une fois de plus que c'était elle et personne d'autre. « Je sais Lily, je sais... » D'un pas rapide et feutré, il se dirigea vers le lit de la jeune femme et s'y assit, passant son bras derrière son épaule, elle enfouie son visage dans le creux de ses reins, lentement il passa une main sur le visage de Lily, le lui caressant au rythme de ses sanglots, il serait toujours là, il ne la quitterait plus, il l'aimait.
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MessageSujet: Re: la douleur est-elle forcément lié au malheur?   la douleur est-elle forcément lié au malheur? Icon_minitimeDim 26 Juin - 5:07

la douleur est-elle forcément lié au malheur? Tumblr_lmk5m26vVT1qztjfvo1_500

Rien ne sera plus jamais comme avant. Je devais me résigner à ne pas voir grandir ma fille, à ne pas l'entendre rire et à la voir sourire. Je ne serais pas mère et même si au début j'avais été apeuré, j'avais remarqué que j'avais gagné en maturité. A présent, je n'étais plus qu'une épave et je me demandais si en fin de compte je n'aurais le droit qu'à un minimum de bonheur. Pas de mariage, pas d'enfant. Ma vie ne se résumerait-elle qu'à ça? Après tout je n'avais plus eu de nouvelles de celui qui était le père de ma fille, que j'avais même aimé, j'avais plus de travail, j'étais cuite... Je me retrouvais sans rien et à cette contestation mes larmes redoublèrent d'intensité. J'allais finir vieille fille avec mes douze chats. On m'avait apporté à manger, au cas où j'aurais faim. Les infirmières étaient débiles ou quoi? J'avais perdu ma fille et je devais...manger? Merci mais non merci, je n'avais envie de rien à part me noyer dans mes larmes. Je m'étais redressée sur mon lit pour regarder l'extérieur à travers la fenêtre. Je me sentais perdue, le regard vide... Ismaël avait du être mis au courant et je voulais juste qu'il me sorte de cette chambre. Je ne supportais pas ces murs blancs et cette odeur de médicaments qui m'avait accueilli quelques années plutôt. J'avais l'impression de revenir au point de départ, des sédatifs et pourquoi pas un psychologue. Non je ne voulais pas revenir ce sentiment de redevenir un fantôme qui passe à travers les pièces. Quelqu'un à l'air zombifié. Non, il fallait que je sois forte. Mais où trouver la force quand on sait que tout n'était plus que débris autour de nous? Il me fallait un signe, une aide pour que je me ressaisisse, que je me batte pour retrouver cette maturité que mon bébé m'avait donné. Pour elle, je serais forte afin d'honorer sa mémoire.

Cependant, je n'arrivais pas à faire que mes larmes s'arrêtent. Mes mains accrochés aux draps blancs, j'essayais de canaliser ma tristesse, en vain. Puis, il était là. Zackary. Il était resté comme je lui avais demandé, il était dans cette chambre que je détestais rien que pour me soutenir et me consoler. Mes larmes ravageaient mon visage et j'arrivais à peine à parler, il s'était rapproché en déclarant qu'il ne partirait plus à présent et je le croyais. Il y a trois heures je lui aurait rit au nez en le traitant de sale menteur mais plus maintenant car tout avait changé. J'avais changé, la situation avait changé et lui aussi. Il n'était pas parti et rien que ça me montra combien finalement il tenait à ma petite personne. J'étais contente qu'il soit là car après tout mon cœur avait toujours battu pour lui même après notre rupture. Ses paroles étaient plus que rassurantes et j'en avais vraiment besoin. En le regardant je lui avait fait part de la perte du bébé il me dit qu'il savait. Cela me rassura vis-à-vis du fait que je ne voulais pas en parler, trop de souffrance. Or, je savais qu'à l'arrivée d'Ismaël celui-ci me poserait un tas de questions et je me doutais que j'allais plus pleurer que de répondre. Je voulais essayer d'oublier mais ce serait en rentrant chez moi que tout se compliquerait, les vêtements de bébés, les peluches tellement mignonnes, qu'est ce qu'on ferait de tout ça? J'oubliais un temps soit peu mes pensées quand Zackary se posa sur mon lit et essuyait mes larmes. Il y a un mois je l'aurais giflé. Aujourd'hui, non. Sa main était d'une chaleur réconfortante.

Je relevais mes yeux vers les siens, embrumés de larmes. « Je suis tellement idiote. » Fis-je en pleurant. Idiote oui, pour ne pas être vulgaire. J'avais fait du mal à tout le monde et à moi-même. Déjà, à Ismaël, je l'avais traité comme un moins que rien. Ensuite, à June, la traitant limite de salope alors que ses histoires ne me concernaient pas. Enfin, à Zack qui avait été si sérieux trois heures auparavant et que j'avais cru qu'il blaguait et venait pour se moquer une nouvelle fois de moi. « Je ne t'ai même pas cru alors que tu es resté avec moi ici, deux heures. Tu aurais pu partir mais tu ne l'as pas fait et j'ai compris que tu étais sérieux quand tu disais que tu m'aimais. » Je m'arrêta quelques minutes en continuant de pleurer. « Je souffre tellement si tu savais, je me sens faible et tout ça c'est ma faute. Je l'aimais cette petite fille qui grandissait en moi. Je l'aimais tellement. » Je regardais de nouveau par la fenêtre, en soufflant doucement pour calmer ma crise de larmes tandis que Zack avait des gestes tendres à mon égard. « Tu sais tu m'aimes... » Commençais-je avant d'avouer enfin ce que j'avais sur le cœur. « ...moi aussi je t'aime. » Je le regardais à présent. « Mais je ne veux pas souffrir encore. Je ne veux plus souffrir. Promets le moi. » Finis-je en murmurant.
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MessageSujet: Re: la douleur est-elle forcément lié au malheur?   la douleur est-elle forcément lié au malheur? Icon_minitimeVen 1 Juil - 3:34

Je ne savais plus trop ce qui se produisait en ce moment. J’essayais de comprendre Lily du mieux que je le pouvais, mais il n’y avait rien à faire, cela me dépassait. J’avais beau être gay, j’en n’étais pas moins un homme pour autant, et ces histoires de femme enceinte, c’était un monde jusqu’alors parfaitement inconnu pour moi. J’avais terriblement envie que cette petite fille naisse pour que tout redevienne enfin comme avant, avec des pleurs nocturnes et des couches à changer en prime. Cela ne me faisait pas peur, car je croyais en Lily, je la connaissais mieux que personne, au fond, et j’étais persuadé qu’elle s’en sortirait très bien avec un enfant. Néanmoins, sa grossesse amplifiait son mauvais caractère et cela devenait réellement insupportable pour moi et surtout pour mon crâne, avec ses crises qui n’en finissaient plus. Elle m’épuisait et rien que de la voir s’énerver toutes les demi-heures environ dévorait toute mon énergie. Voilà pourquoi je dormais profondément sur le canapé, m’étant décidé à faire une sieste puisqu’elle n’était pas là pour m’empêcher de sombrer dans le pays des rêves. Quand, c’était trop beau pour être vrai, mon téléphone sonna et je tombai par terre sans pouvoir me rattraper à cause du réveil en sursaut. Tiré violemment du sommeil, et donc bougon au possible, je décrochai. Zackary. Genre ? Pourquoi ce connard m’appelait, il se foutait de ma gueule ? Je haussai évidemment d’un ton, même si je ne parvenais pas bien à parler, sous l’effet de la colère. Il me pria de me calmer et je n’en fis rien, jusqu’à ce qu’il me lance que Lily était à l’hôpital. Je restai sidéré un moment avant de lui demander de répéter. Il raccrocha et je jetai mon téléphone au travers de la pièce. Lily, à l’hôpital, alors qu’elle détestait cela. Ça ne pouvait qu’être grave. Mais ce qui me mettait dans une rage folle, c’était que Zack soit là. Pourquoi lui ? Pourquoi elle ne m’avait pas prévenu, bon sang ? Je l’imaginais déjà, naïve comme elle était : Oh, Zack, tu es venu avec moi à l’hôpital, je te pardonne tout. Lily n’avait aucune volonté quand elle était faible.

Dix minutes plus tard, j’entrai dans le bâtiment, toujours énervé, mais aussi complètement terrifié. De toute façon, quoiqu’il soit arrivé à Lily, ça ne pouvait être que de la faute de Zack. Il n’avait certainement pas à être ici aujourd’hui. « Je cherche Lily Breaknow. » L’infirmière me regarda bêtement avant de me lancer la formule la plus débile qui soit : « On n’accepte que la famille proche pour l’instant. » Sans doute que je n’avais pas un air de ressemblance avec ma meilleure amie, fallait croire que j’avais vraiment une gueule d’Israélien. « Ouais, c’est ça, et l’autre con, il est pas avec elle peut-être ? » Elle continua à me fixer de son œil bovin et je commençai sérieusement à m’impatienter lorsqu’elle me fit, le plus sérieusement du monde : « Son fiancé ? Nous considérons que c’est de la famille proche. » Si elle n’avait pas été une fille, elle aurait probablement reçu un poing en pleine figure, mais j’avais une autre idée de qui pourrait se prendre une bonne droite. Je me penchai donc sur le comptoir d’accueil et je m’informai moi-même du numéro de chambre de Lily, puis partis en courant avant que l’infirmière de service n’appelle la sécurité.

J’étais à la porte à présent, elle était entrouverte et des bribes de conversation vinrent à mes oreilles, c’était la voix de Lily. « Tu sais tu m'aimes... moi aussi je t'aime. Mais je ne veux pas souffrir encore. Je ne veux plus souffrir. Promets-le moi. » Je demeurai estomaqué, j’avais envie de vomir, qu’est-ce qui lui prenait ? Je ne pouvais pas y croire, ce ne pouvait pas être Zack à qui elle déclarait de pareilles choses… C’était inconcevable… J’ouvris brusquement la porte, je devais en avoir le cœur net. Lily était sur son lit d’hôpital et elle arborait une mine épouvantable. J’ignorais ce qui s’était passé, pourtant, je sentais que ça n’augurait rien de bon. Je me précipitai vers elle, lui caressant les cheveux, plus inquiet encore. « Lily, que s’est-il passé ? » J’avais les yeux rivés sur elle, ne pouvant pas les détacher de son visage, elle avait tellement l’air de souffrir. Ensuite, je pris la mauvaise initiative de lever les yeux et ils n’apprécièrent absolument pas ce qu’ils virent. De l’autre côté du lit, il y avait Zack et j’étais partagé entre un sentiment d’incompréhension la plus totale et une animosité à toute épreuve. Lily m’avait extrêmement bien dressé en ce qui concernait Zack, je me comportais comme un chien de garde et je me serais mis à grogner que cela n’aurait étonné personne. Je bouillonnai à nouveau, et cela ne me rendait que plus confus, puisqu’en plus de tout cela, je craignais d’entendre ce que Lily avait à m’annoncer. Je le toisai froidement. « Toi, tu dégages, on n’a plus besoin de toi. »
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MessageSujet: Re: la douleur est-elle forcément lié au malheur?   la douleur est-elle forcément lié au malheur? Icon_minitimeMer 3 Aoû - 8:47

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✿ Lily & Zackary

C'est vraiment moche ce que j'ai fait... J'ai pas de raison à te donner, un jour je me suis levé, et c'était fini, j'y arrivais plus, c'est tout. C'était même pas un choix, j'ai eu un flash, et en un clin d'œil, en deux minutes, j'ai tout foutu en l'air. Je l'ai quitté.


Malgré ce que lui avait dit le médecin, Zack ne parvenait pas à détacher cet affreux sentiment de culpabilité de son esprit, il avait l'affreuse sensation que s'il n'avait ps abordé Lily, s'il ne l'avait pas mis dans tout ses états, rien ne serait jamais arrivé. Mais pour le moment, il ne devait plus y penser, tout ce qui importait c'était Lily, uniquement Lily, même s'il aurait aimé la retrouver dans une autre situation et surtout dans un autre état physique et moral. Assis sur le lit de Lily, Zack continuait à lui caresser le visage avec douceur, geste rassurant, il voulait lui prouver qu'il serait là cette fois, qu'il resterait auprès d'elle, qu'elle pouvait avoir confiance en lui, parce qu'il l'aimait, à présent il savait. Il ferma les yeux, une larme déferla sur sa joue, putain qu'est-ce qu'il se sentait mal, chienne de vie, pourquoi faisait-elle subir ça à Lily, elle ne le méritait pas, alors que lui si, peut-être que justement, elle la faisait souffrir à elle pour l'atteindre à lui, parce que tout le monde le savait, Lily c'était sa faiblesse, elle l'avait toujours été même lorsque le pari avait débuté, même quand il s'était achevé. Aujourd'hui, ils allaient commencer, sans mensonges parce c'est ce qui leur avait manqué, ce qui avait avait manqué à Zackary, le mythomane de ces dames, mais avec elle s'était différent, tout l'était. Ensemble, ils allaient remonter, de toutes ses forces il la pousserait vers le haut, parce qu'il comprenait que sans elle il n'était rien, il comprenait que sans elle rien n'avait plus de sens, alors elle remonterait une fois de plus, comme elle l'avait toujours fait, mais cette fois, Zackary serait là, il la soutiendrait.

Elle était tellement malheureuse que ça lui en arrachait le cœur, il ne l'avait jamais vu ainsi et c'était extrêmement douloureux, elle ne cessait de pleurer, les larmes ravageaient ses joues, mais elle n'en demeurait pas moins belle qu'à l'accoutumée, en toute situation elle l'était. Zack ferma les yeux quand elle annonça qu'elle se trouvait idiote, non elle n'était pas idiote, c'était lui le pauvre débile qui avait fait un jour l'erreur de la quitter et la voir comme ça lui faisait un mal fou. « Non Lily, tu es bien loin d'être idiote, tu étais en colère, tu m'en voulais et tu sais je te comprend, je me déteste moi même de t'avoir fait subir tout ça, je me déteste de t'avoir laisser, parce que tu es la seule chose qui compte vraiment pour moi et ne crois pas que ce soit de la flatterie pour que tu revienne vers moi, parce que je t'aime Lily et je suis plus sérieux que jamais. » Ouf, c'est bon il l'avait enfin dit et elle le croyait, ça lui faisait un bien fou, mais la voir dans ce lit d'hôpital, tremblante, pleurant comme jamais, le fit vite redescendre de son nuage de "bonheur", oui à présent il serait là avec elle, même si ce serait long, même si cela faisait mal. Il devait se montrer fort pour elle, mais c'était dur de la voir comme ça, surtout lorsqu'elle lui avoua qu'elle souffrait et qu'elle se sentait mal. « J'ose même pas imaginer, Lily, je serais là, tu te relèvera je te le promet. Non ! Ce n'est absolument pas de ta faute, mais la mienne, si je n'étais pas venu te parler aujourd'hui pour tout t'avouer, pour tenter de me faire pardonner, rien de tout cela ne serait arrivé, je m'en veux tellement, si tu savais... » Ses mains tremblèrent, il se sentit défaillir, c'était comme s'il était une nouvelle fois responsable de la douleur de Lily et il ne pouvait plus le supporter, elle n'avait pas l'air de se rendre compte que tout était de sa faute, il ne voulait pas qu'elle lui pardonne parce qu'elle se sentait faible, anéantie par la mort de son enfant. « Je ne peux pas te promettre que tu ne souffriras pas, mais je ferais tout pour que ce ne soit pas le cas, je serais toujours là pour qu'il ne t'arrive rien, je te promet que moi je ne te ferais plus souffrir. Mais je...» Il n'eut pas le temps d'achever sa phrase que la porte de la chambre s'ouvrit à la volé, laissant apparaitre un Ismaël à la fois en colère et totalement déboussolé, qui se dirigea immédiatement en direction du lit de sa meilleure amie.


Pour le moment, il n'avait pas l'air d'avoir remarqué Zackary qui n'avait pas bougé de sa place initiale, le jeune homme espérait simplement qu'Ismaël ne s'énerverait pas, parce qu'il se sentirait blessé dans sa fierté et se sentirais obligé de répondre et une fois de plus ils se prendraient la tête devant Lily et ce n'était absoulement pas le moment. Sauf que malheureusement pour lui, Ismaël le remarqua et lui ordonna de dégager d'un ton autoritaire, qui ne lui plut absolument pas. Zackary se leva d'un bon, et fit faceà Ismaël, chacun de son côté du lit. « Tu arrive la bouche en cœur, avec ton air supérieur et tu me dis de dégager, mais tu te prend pour qui ? Je reste si Lily le veut et je crois que c'est le cas, alors ferme là, arrête de faire le chien de garde, elle n'en a plus besoin à présent ! » Oui, il se comportait comme un réel connard, mais ce sombre crétin l'avait bien cherché, de toute façon, quoi qu'il dise, quoi qu'il fasse, avec Ismaël ça n'avait jamais été. Cependant il savait, Zack savait tout ce qu'il avait fait pour Lily lorsqu'il était parti et même avant et ça il lui en était extrêmement reconnaissant, même s'il ne l'avouerait jamais, même s'il savait qu'entre eux rien ne changerait jamais vraiment, après tout, ils étaient les deux hommes de la vie de Lily.

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MessageSujet: Re: la douleur est-elle forcément lié au malheur?   la douleur est-elle forcément lié au malheur? Icon_minitimeSam 6 Aoû - 6:29

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Me retrouver ici, dans cet hôpital aux murs blancs, me rappelait de mauvais souvenirs qui s'étaient produits il y a deux ans. Une rupture, une tentative de suicide et des médecins qui me disaient que mon état émotionnel était trop fragile. Bien entendu, tout ceci avait conduit à un Ismaël trop protecteur qui surveillait le moindre de mes faits et gestes. Notre amitié en prenait un coup ces temps-ci, c'était comme si on arrivait plus à avancer ensemble alors que l'on s'était toujours soutenu. J'étais perdu, tellement perdu que j'essayais de me rattacher à la moindre bouée de sauvetage que l'on me tendait. Zackary était là, était resté comme je lui avais demandé et sans doute, était-il sérieux avec toutes ses paroles que j'avais essayé d'éviter. Je m'étais assise sur mon lit en le regardant tandis que mes larmes ravageaient mon visage. J'étais fatiguée par ce que je venais de subir, la perte de ma fille que je comptais chérir comme il fallait et ne pas refaire les erreurs de mes parents. J'aurais voulu qu'elle connaisse un bonheur sans précédent, au lieu de cela on me l'avait enlevé sans que je m'y attende. Un accident, juste un accident, et pourtant je me sentais terriblement coupable de tout ce qui se passait. J'étais plongée dans mes pensées quand Zackary me déclara qu'il m'aimait. Il m'aimait? Depuis deux ans j'avais espéré comme dans un film de cinéma qu'il frappe à la porte de mon appartement et qu'il me déclare qu'il avait un véritable connard et que tout ce qu'il souhaitait c'était d'être avec moi. Maintenant que cela se produisait, je restais d'un côté sceptique, et de l'autre les pulsations de mon cœur s'était accéléré. J'avais terriblement mal à la gorge tellement mes sanglots m'éreintaient. Je détestais que l'on me voit dans une telle situation, la dernière fois que j'avais autant pleuré c'était quand il m'avait annoncé qu'il me quittait et que j'avais arraché le pendentif qu'il m'avait offert en pleine figure en lui disant que je le détestais. On dit souvent que l'amour et la haine sont deux sentiments tellement réciproques, et à la minute qui en suivit je voulais bien le croire. Je l'aimais d'un amour que l'on ne pouvait pas décrire, je le désirais d'un désir où je ne pouvais pas en poser des mots pour le dire.

Il culpabilisait pour tout ce qui s'était produit. Du moins, il culpabilisait surtout pour cet accident et s'en sentait coupable. Coupable de quoi? Il n'était pas responsable, personne ne l'était comme l'avait dit le médecin quand il m'avait annoncé que je ne pourrais jamais voir ma petite fille grandir. J'avais très mal, oui, mais je ne voulais pas que quelqu'un se sente coupable de ce qui s'était produit. C'était la dernière chose que je souhaitais. Je n'avais pas pu m'empêcher de poser une main sur la joue de Zack alors que mes lèvres tremblaient. « Tu n'es pas coupable. » Fis-je tout doucement, une douce voix réconfortante que j'avais employé mainte fois pour consoler quelqu'un. « C'était un accident. Un accident qui peut arriver à tout le monde... » J'avais l'impression d'attirer tout le malheur avec un aimant. Je me demandais si je pourrais enfin vivre une vie paisible comme la plupart des personnes sur Terre. Ne pas avoir de péripéties qui pourraient me détruire à petit feu. Juste une sensation de bonheur que je pourrais respirer à plein poumons. Sans m'en rendre compte, mes sentiments avaient pris le dessus et je déferlais un flot de paroles, en disant à quel point je l'aimais. Je ne voulais plus souffrir et je ne m'engagerais que dans une relation si je savais que je souffrirais qu'un minimum. Ma dernière relation en date, avec mon patron, m'avait montré qu'il ne fallait en aucun cas baisser les armes, que l'on pouvait à tout moment se faire avoir et se faire planter un coup de couteau dans le cœur. Zack me répondit qu'il ne pouvait pas me le promettre mais qu'il ferait tout son possible pour ne pas me faire souffrir. Il allait continuer quand une porte claqua d'un seul coup. Je fus même un léger bond.

Mes larmes avaient continué à couler et quand je tourna la tête en direction de la porte je vis mon meilleur ami se précipiter sur mon lit. Oups. Zack et Ismaël ensemble dans une même pièce était peut-être un peu trop...suicidaire. Il pourrait rapidement y avoir un massacre et les murs blancs de l'hôpital se recouvrir d'un liquide rouge sang. Je sentis la main de mon meilleur ami caresser tendrement mes cheveux avec une mine inquiète me demandant ce qui s'était passé. Il savait que j'avais une sainte horreur des établissements médicaux et que si j'étais là ce n'était pas par mon propre choix. « C'est... » A peine allais-je lui dire que je sentis un flot de larmes revenir et je parvenais difficilement à articuler quelques mots avant de souffler doucement pour qu'il entende ce que j'avais à dire, et je savais qu'une telle annonce allait le détruire. On avait été ensemble aux échographies, on avait même acheté quelques vêtements pour le bébé et c'était lui qui m'avait dit d'acheter des vêtements de maternité. « Le bébé...il...il n'a pas survécu. » Je n'osais plus rien dire. La colère d'Ismaël en plus de son inquiétude avait augmenté, priant à Zackary de dégager. Je n'avais pu m'empêcher de faire de gros yeux, un peu de politesse... Zack n'avait rien fait et Ismaël le traitait comme une vermine sans scrupule. Tout parti en cacahuète... C'était le cas de le dire, entre mon ex-petit ami qui se leva d'un bond du lit en déclarant qu'Ismaël pouvait arrêter de faire le chien de garde et qu'il allait rester car je le voulais. Je sentais vraiment leurs regards particulièrement...assassins et je ne pus m'empêcher de prendre la parole. Je ne voulais pas voir une scène de bataille, pas maintenant. « Arrêtez! » J'avais posé mes mains sur mes oreilles comme pour rien entendre, mon regard plongé dans mon drap blanc, je ne voulais pas les voir, aucun des deux se dirent les pires méchancetés du monde. Ismaël était mon meilleur ami depuis la naissance, mon frère en somme, on s'était toujours soutenu. Zackary avait été mon premier et grand amour, un amour que j'avais cru indescriptible. Tout les deux je les aimais, du manière différente mais je les aimais particulièrement. « J'ai déjà assez mal pour supporter une scène pareille! Ma petite fille est morte et tout ce que vous savez faire c'est tenté de vous taper dessus?! Respectez-la! » J'avais élevé d'un ton, sans doute que cela allait surprendre, mais je m'en moquais cordialement. Je relevais mon regard vers Is'. « Je veux que Zack reste. Je l'aime. » lui fis-je même si je savais que cela allait lui donner un coup sur la caboche. Je me retournais vers justement, le dit amoureux. « Et Ismaël va rester parce que c'est mon meilleur ami et que je l'aime profondément aussi. » Je finis en me blottissant contre mon oreiller, je me demandais ce que j'avais fait au bon Dieu pour mériter une journée aussi éprouvante et insupportable pour mes nerfs.

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