JE-M’EN-FOUTISTE
Et oui les pros du foutisme existent toujours, au plus grand malheur de certaine personne. Je suis le genre de fille qui n'en a rien à faire de tout, je n'angoisse jamais sur mes choix ou sur mes décisions. Je vis en gros le moment présent et je ne regarde jamais ce que l'avenir m'apportera. Si vous m'ennuyez, je vous le ferais savoir et sans hésitation, mon plus grand ennemi est l'ennui et ça tout le monde est au courant. Suivez mon dicton, la vie est courte alors l'amusement est le meilleur remède pour la rendre plus longue.

SÉDUCTRICE, NYMPHOMANE ET MANIPULATRICE
Mes proches disent que j'ai le charme et la sensualité de Brigitte Bardot et l'assurance de Marilyn Monroe, est-ce vrai ? On s'en fout, j'ai un pouvoir de séduction avec tout le monde et je le sais très bien, j'en joue d'ailleurs. Malgré mes petits airs de fifille à papa, je suis une grande manipulatrice née, quant je souhaite quelque chose je ferais absolument n'importe quoi pour l'avoir, même si cela veut dire briser des cœurs. La plupart du temps, dans une relation je n'ai pas vraiment de sentiments, je ne joue jamais cette carte, ce que je recherche n'est pas l'homme de ma vie, mais un coup d'un soir.

ATTENTIONNÉE ET DRÔLE
Une chose que tout le monde aiment chez moi, c'est sûrement ma gentillesse envers mes proches, je suis toujours à l'écoute et disponible pour eux. Par contre, si vous êtes mon ennemi, je ne vais pas vous laissez de marbre pour autant, soyez en certain ... Une de mes grandes qualités c'est certainement mon sens de l'humour. J'adore faire la folle et dire des blagues - même si elles ne sont pas toujours bien drôles - à part m'amuser je ne fais rien d'autre de très spécial. Mais attention, je suis très sérieuse quand les études sont concernées et j'y prête une grande intention.

FORTE ET MYSTÉRIEUSE
Je suis une personne extrêmement forte et réaliste envers la vie. J'ai traversé beaucoup d'épreuves, et à chaque fois je deviens de plus en plus forte, une chose est sûre ma vie est loin d'être heureuse, mais comme je le dis "quelqu'un d'heureux est une personne ennuyeuse." et j'ai bien raison. Sinon, je ne suis pas du genre à étaler ma vie et mon passé un peu partout, je reste assez distante avec les questions concernant ma vie privée. Je veux juste oublier certaines choses et certaines personnes, donc je n'apprécie guère quant on me pose des questions assez personnelles.

• un animal : Un oiseau • une saison : L'été • une chanson: Love the way you lie • un film : Sexy dance • une fleur : Une rose avec des épines • une célébrité : Moi (a)

• un pouvoir : Lire dans les pensées • un pays : Le Brésil • un vêtement : Une petite robe sexy • un objet : Une télévision • une ville : Marseille • un métier : Chômeur

DEPUIS COMBIEN DE TEMPS J'HABITE A LEWIS ✿ Je suis arrivée à Lewis il n'y a que quelques mois de ça parce que je suis allée vivre chez ma tante qui a toujours vécu ici après m'être fait jeté de chez ma mère.
LA PIRE CHOSE QUE J'AI FAITE DANS MA VIE ✿ La pire chose que j'ai faite, c'est surement de commencer à toucher à la drogue.
MON PLUS GROS SECRET ✿ J'ai abandonné mon bébé, il y a maintenant un an.
MON STYLE VESTIMENTAIRE ✿ Je suis assez branchée, toujours à la pointe de la mode, toute en couleur. J'ai un style bien à moi qui varie entre les jeans, les robes et les salopettes. Tout ce qui est beau, je le porte parce qu'avec ma taille tout me va.
MA PLUS GROSSE PHOBIE ✿ J'ai toujours eu une peur bleue des araignées, mais que se soit des toutes petites, des bébés araignées ou des grosses mygales, je suis incapable de me démerder toute seule quand il y en a une. Berk.
MES PASSES-TEMPS ✿ Mon passe-temps favoris est évidemment faire la fête avec mes amis, j'adore m'amuser, fumer, boire, passer une bonne journée. Autrement j'adore finir mes soirées avec des garçons ou des filles, une bonne soirée, un coup d'un soir. J'aime aussi beaucoup passer mes journées à prendre soin de moi, coiffeur, shopping et salon de beauté.

Bobbie Pandora Dergvan naquit le 15 mars dans la très grande ville des célébrités, Los Angeles. Sa naissance n'était pas attendue, avec un père qui était une rockstar et une mère mannequine, sa vie fut assez étrange et dure par moment. En clair, sa vie était loin d'être seine et normale, elle était trimbalée de ville en ville chaque jour. Cette vie aurait pu paraître classe et pépère pour certaines personnes mais c'était très loin d'être le cas. En effet, le père de Pandora était sans arrêt sur les routes pour ses concerts et sa mère de son côté s'en fichait un peu d'elle - et c'est toujours le cas - donc elle a du grandir sans parents à ses côtés, enfin bon si on enlève les centaines de nourrisses qui lui servaient entre parenthèse de "maman" elle était bien seule, le sentiment d'abandon était toujours présent dans son esprit si fragile à l'époque.

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« Souris Bobbie sinon les paparazzis vont croire que je suis une mauvaise mère. » La bonne blague. Elle faisait comme d'habitude, elle faisait tout pour que son image ne soit pas endommagée par ma faute. Ce jour-là, nous étions toutes les deux au restaurant chic du coin, et c'est vrai que je ne souriais pas. L'idée de l'avoir en face de moi me donnait des nausées. « En effet, c’est le cas. » Bah quoi ? Je n'allais sûrement pas lui dire qu'elle avait raison ou autre chose du genre, je la détestais comme jamais et je ne me faisais pas désirer pour le montrer. J'en avais marre de faire mon hypocrite devant tout le monde. « Ne me parle pas de ce ton veux-tu. Tu n’as que 14 ans, alors à ta place je me tairais avant que tu n’ailles en pension, t'as compris ?! » Je soupira et fis donc ce qu'elle me disait, c'était clair que je voulais partir loin de cette ville de malade et surtout de cette mère infecte mais la pension très peu pour moi.

Mon père était sans cesse absent, je lui en voulais dans un sens, il me laissait seule avec ma mère et il savait à quel point je la détestais et savait que c'était réciproque parce qu'à cause de moi madame avait prit des vergetures, mais il ne voulait rien entendre la-dessus. J'avais besoin d'un échappatoire, quelque chose qui puisse me redonner le sourire et le gout de vivre. Ce quelque chose c'est quelques personnes que j'avais rencontré lors de mon année de collège. Je commença donc la drogue et les fêtes arrosées des fils à papa de Beverly Hills. Au fond, j'adorais ça, c'était en quelque sorte un échappatoire à ma vie familiale. A cet époque j'avais une mauvaise influence avec tout le monde, je couchais un peu à droite à gauche tous les soirs, donc j'avais un peu une réputation de traînée et le pire c'est que j'en étais pas consciente, du tout. Je ne voulais pas m'arrêter de faire ça, ça me rendait heureuse, je m'évadais de mes conflits que la vie avait fait, je planais. Mais tout c'est arrêté un jour, il le fallait bien, oui mais peut-être pas comme ça. C'est le jour où j'en ai prit conscience, c'est quand mon test de grossesse était positif. Cette journée là j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Le père ? Je savais qui c'était mais je ne lui ai jamais dis.

Ni une ni deux, quand ma mère apprit cette nouvelle, elle était encore plus méchante et froide qu'avant, mon enfer commença donc. Et je n'étais pas au bout de ce tunnel même si j'avais conscience qu'elle n'allait pas sauter de joie en apprenant cette grossesse. « J’ai honte que tu sois ma fille. » Comme d'habitude elle ne pensait qu'à elle, elle ne savait pas ce que je vivais. Elle avait peur que ma grossesse et que ma réputation s'ébruite et que tout le monde sachent que la fille de la "grande" et très célèbre Georgia Dergvan avait une réputation de trainée et était tombée enceinte d'un bel inconnu parce qu'elle sautait tout ce qui bougeait. Oui comme d'habitude, elle ne pensait qu'à elle. Mais elle ne savait pas à quel point je souffrais, j'avais dix fois plus peur qu'elle, je n'étais pas prête à être une mère, je n'avais que 15 ans. De là j'avais deux solutions qui venaient à moi, avorter ou alors le garder sachant qu'il sera adopter à sa naissance. J'avais choisi de le garder, j'allais sûrement faire la plus grosse erreur de ma vie, mais au fond, je savais que je n'avais pas vraiment le choix, abandonner un petit être était contre ma nature. Moi qui avait vécut toute seule pendant dix huit ans je ne voulais pas que mon enfant est ce même sentiment d'abandon que j'ai eu auparavant. Mais malheureusement je n'étais pas prête à être mère et j'avais la vie devant moi, l'adoption était la seule solution. Entre temps, j'étais partie vivre chez une amie à ma mère, qui ne voulait plus me parler, à New York.

Presque un an est passé depuis cet évènement, et la relation entre ma mère et moi n'a guère changée et au fond je m'en fou réellement. Elle ne m'adresse plus la parole depuis que je lui ai appris que j'étais enceinte. J'essaie de passer à autre chose et de reprendre ma vie là où je l'avais arrêtée, dans les fêtes et l’amusement. Je ne vis plus chez l'amie de ma mère mais chez sa sœur, ma tante, qui habite à Lewis. J'ai tout quitté, mes amis, mon école pour reprendre ma vie à zéro même si j'avoue que je pense encore à ce bout de chou... Je suis entrée dans un lycée pour continuer mes études, mais je n'oublie jamais de faire la fête le week end même si ce n'est pas très recommandé ... Mais merde quoi ! On s'en fiche.

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