CHAPITRE 1
Un jour son esprit me parlera. Et sa mémoire, près de moi, me guidera

J'avais neuf ans quand mon papa est décédé, il était soldat dans l'armée et il s'est fait tué. Je me rappellerais toujours, de ce jour où deux hommes habillés comme papa, avait sonné à la maison et que je leur avais ouvert. Ils avaient dit vouloir parler à maman. Et ils avaient parlé à maman. Elle les avait raccompagnés à la porte en larmes. Je m'étais demandée ce qu'ils avaient bien pu dire à ma maman pour qu'elle pleure. Mon grand frère était arrivé et avait regardé maman. Et je crois qu'il a de suite compris car il m'avait pris la main et m'avait emmenée dans ma chambre. Je lui avais demandée « Ay' qu'est-ce qui ce passe ? ». Pour toute réponse il m'avait serrée contre lui fort et j'avais pu voir ses larmes couler. Puis maman rentra dans ma chambre. C'était agenouillée prés de mon lit m'avait pris la main et m'avait dit « Ma princesse … ». J'avais regardé ma maman. Ma si belle maman et je lui avais dit « Pourquoi tu pleures maman ? Pourquoi c'est messieurs étaient habillés comme papa ? Qu'est- ce qu'il y a maman ?! ». Elle était montée sur le lit et m'avait dit en remettant une de mes mèches en place « C'est papa ma chérie ! Il ne reviendra pas ! Il a rejoint les anges ! Il … ». J'avais enfin compris. Je m'étais mise à pleurer. J'étais si proche de mon papa. Mon père c'était mon héros. Celui dont je suivais les pas. Celui avec qui j'adorais passé du temps quand il était là. C'était mon papa. C'est lui qui m'avait appris à croire en moi et en mes rêves. Tant de souvenirs avec lui. Mon papa. J'avais regardé maman et je lui avais dis « Mais je veux voir papa ! Je veux lui dire en revoir ! Je veux lui dire je t'aime ! Je veux voir papa !!! ». Je savais que c'était impossible. Mais je le voulais tellement. Ma mère m'avait serrée contre elle et m'avait dit « Ma chérie, c'est impossible ! Mais ton papa serait toujours auprès de toi ! Là dans ton cœur ! Il sera toujours là pour toi, il sera ton ange gardien. Rien sur terre ne meurt réellement. Il y a toujours une partie qui reste ! Et ton papa veillera sur toi ! Je te le promets ! Il sera toujours là prés de toi et dans ton cœur ma princesse ! ». Je le croyais très fort, très fort.

Quelques jours après on a enterré mon papa. J'avais neuf ans, et pourtant je gardais la tête haute, je n'avais pas pleuré une seule fois. Pas que je ne souffrais pas de son absence. Mais les paroles de maman me revenait toujours en tête. Quand elle me disait qu'il serait près de moi. J'y croyais tellement. Je le sentais près de moi. Et je savais qu'a partir de maintenant il guidera toujours mes pas. Je l'avais dans mon cœur et dans ma tête. Il ne m'avait pas réellement quitté. Il était mon ange gardien. J'entendis « Charlie voulez vous dire un mot ! ». Je hochais la tête et je me déplaçais près du curé et fière et triste à la fois je pris la parole « Mon père c'était ma moitié ! Quand il revenait de mission, il avait l'habitude de m'emmener manger une glace en ville, après cette glace nous partions vers le parc et là on faisait les imbéciles ! On se roulait dans l'herbe ! On faisait le concours de celui qui courrait le plus vite ! Il me faisait faire l'avion au dessus de lui ! Nos éclats de rire battant au rythme de la douce brise du parc ! C'est moment avec lui était unique ! Je me rappellerais toujours de lui ! C'était mon héros et il est encore mon héros. Maintenant il veille sur moi ! Pas comme il l'aurait pu faire vivant mais il est là près de moi et je le sais ! Il est un ange gardien ! Car c'était son destin ! Il a toujours eu une âme de gardien ! Je me rappelle quand j'étais petite et que je me blessais, il était toujours à mes petits soins. Ou quand j'allais pour me blesser il arrivait et enlevait le danger ! J'ai lu une citation de Caroline Anouilh qui disait Papa veillait sur moi comme un animal guette les faux-pas de son petit. . Cela décrit à merveille ce que papa faisait avec moi ! ». Je finis mon discours. J'avais réussi à faire pleurer toute l'assemblée. J'avais neuf ans et pourtant j'avais touché tout le monde. Car j'avais juste trouvé les bons mots pour rendre hommage à mon père.

La vie a suivit. Car la vie suit toujours elle continue. Il n'aurait pas aimé qu'on s'enterre et qu'on le pleure. Alors je vis, je vis au grès de mes envies. Je vis avec ce que je crois. Je fais tout pour réaliser mes rêves et mes croyances. Je le sais toujours près de moi. Je vis au jour au le jour à fond. Car j'ai appris qu'il fallait profiter de la vie à fond et ne rien laisser passer. Car elle pouvait s'arrêter à n'importe quel moment. Parfois quand je doute et je ne sais plus trop bien ce que je dois faire je lui parle, je lui demande conseil. Et le matin quand je me réveille le plus souvent j'ai la solution. Je vis sur ses traces et je suis fière de ça. Je vais attaquer l'adolescence et je suis toujours une enfant. Enfin je veux dire que je suis encore si enfantine, rêveuse et naïve mais pourtant forte et sur de moi.

CHAPITRE 2
Tell me how to win your heart. For I haven’t got a clue.But let me start by sayin. I love you

Le temps à continuer à passer. Aujourd'hui je suis âgée de seize ans. Ne voulant pas suivre le cursus normal, j'ai intégrée une école d'art à Dublin. Je me suis inscrite dans des cours de photographie, musique et art de la scène et scénariste. C'est tout ce que j'aime. C'est vrai la photographie c'est une ouverture sur un autre monde. Quand on prend une personne ou un paysage en photo on peut dire c'est juste une photo. Mais c'est un moment figé dans le temps. Un moment qui sera éternel, car il a été arrêté. Un souvenir. Et dans une photographie tant d'émotion passe c'est juste sublime. La musique, c'est une histoire d'amour. Mon père était un brillant pianiste, violoniste et il chantait si bien. J'ai apparemment hérité de lui. J'ai très vite appris le piano et le violon, la guitare à suivit de suite après. Au départ je devais pas suivre le cursus chant. Mais la prof de violon me voyant toujours chanter à décider de m'inscrire en cours de chant. Ce que j'ai réellement apprécié. Je ne pensais pas pouvoir chanter comme ça. Et enfin l'art de la scène. Je suis une grande comédienne. Qui adore jouer, alors je pensais que la scène était faite pour moi. Et enfin parce que j'avais toujours voulue être une brillante scénariste. Un jour, je m'en rappellerais toujours, c'était un vingt quatre novembre. La professeur de chant à dis « Cher élève ! Je vous demandes d'accueillir comme il se doit Monsieur Shawn ! Nouveau venu ! ».. Il entra dans la salle. Et là j'ai bien cru que je n'y survivrais pas. Il était si beau. Un vrai dieu. D'ailleurs je n'étais pas la seule toutes les filles le regardait comme si il sortait d'un autre monde. Il y avait beaucoup de place. Mais c'est à côté de moi qu'il décida de s'asseoir. J'ai cru mourir. Madame Silven reprit la parole « Bien ! Pour vous accueillir comme il se doit, je vous offre le premier duo avec ... et bien vu que vous êtes assis à côté d'elle, ce sera avec Mademoiselle Charlie ! ».. Non Non Non. Il se leva et me tendit la main. En plus c'était un gentleman. Je sus que j'en rendais des jalouses des filles. Je l'attrapais. Et on se mit près du piano où je m'installais. La prof nous donna les notes et les paroles. Et nous nous sommes mis à chanter notre premier duo. Sur une chanson d'amour. Je devais bien dire que c'était fabuleux. Le cours se termina et je quittais rapidement la salle.

« Attends Charlie ! ». Je m'arrêtais instinctivement. Je me retournais et je revis son regard. C'était le genre mauvais garçon mais tellement beau. Je le regardais et je lui demandais « Oui ? Tu as besoin de quelque chose ? ». Moi et mon sens du partage et de l'aide. Il me sourit et me dit « Non mais je voulais faire plus connaissance avec toi ! ». Comme c'était chou. Et à cet instant là je me demandais pourquoi moi ! Pourquoi pas une autre des filles ! Nous avons passé le reste de la journée ensemble. Et le week-end qui suivit, nous l'avons aussi passé ensemble. Et ainsi nous avons passé du temps ensemble, beaucoup de temps. On s'entendait à merveille. On était complémentaire en fait. Un soir alors que j'étais tranquillement assise dans mon canapé en train de lire un livre que j'appréciais tant, on sonna à la porte. Ce fut ma mère qui alla ouvrir, et elle m'appela. J'allais donc à l'entrée et là je le découvrais lui, alors qu'il rentrait et se mettait à la lumière de la maison. Il saignait du nez, il avait la lèvre ouverte, et il avait l'arcade ouverte. Je le regardais complètement paniquée et je lui dis « Shawn comment tu t'es fait ça ? Viens je vais tout nettoyer ! ». Je lui attrapais la main et je l'emmenais dans la salle de bain. Je l'obligeais à s'assoir sur le rebord de la baignoire. Et alors que je sortais de quoi le soigner. Je lui redemandais « Shawn qui t'as fait ça ? ». Il planta ses yeux dans les miens, tandis que je mettais face à lui, le désinfectant dans les mains. Il me dit « C'est rien d'accord ! Je ne sais même pas pourquoi je suis venu chez toi ! ». Il poussa ma main et se leva et commença à partir. Alors je criais « Shawn reste ! Il faut qu'on soigne ça ! Je t'en prie rassis toi, je pose plus de questions je te promets ! ». Il sembla apprécier et se rassis. Et là je désinfectais dans un silence ravageur. Quand j'ai enfin fini. Et que j'étais dos à lui en train de tout ranger. Il se mit derrière moi, me retourna et me serra contre lui. Je le serrais aussi fort. Et il me dit « Si tu veux tout savoir c'est mon père qui m'a fait ça ! Mais j'ai l'habitude ne t'en fais pas d'accord ! ». Je me reculais d'un pas. Le regardant. Son père le battait. A cet instant je me suis mis à haïr son père. Comment un père pouvait faire ça à son enfant. Je murmurais alors « Tu peux rester à la maison Shawn ! Au moins là tu seras en sécurité ! Mon frère et ma mère seront d'accord ! Reste avec moi ici sous mon toit ! ». Il rigola légèrement. Me releva la tête de son doigt et m'embrassa. Notre tout premier baiser. Le premier d'une longue liste. Vous l'avez compris après ça Shawn est resté vivre chez moi et on s'est mis en couple. J'étais amoureuse de lui depuis le premier jour.

CHAPITRE 3
Don't be a drag, just be a queen. Whether you're broke or evergreen. You're black, white, beige, chola descent. You're lebanese, you're orient Whether life's disabilities. Left you outcast, bullied, or teased. Rejoice and love yourself today. Cause baby you were born this way

Nous sommes ensuite tous les deux sortit diplômé. Nous avons pris un an tranquille afin de profiter de la vie. On a pris la voiture et pendant un an nous avons roulé sur les routes, s'arrêtant un peu partout. Laissant notre empreinte un peu partout dans le monde. On était jeune et on profitait. Puis il y a deux ans donc pour nos vingt et un ans on es tombé sur Lewis, et ce fut le coup de foudre pour cette ville. Et nous avons décidé de nous y installer. J'ai déjà pris tellement de photo de cette ville. Doucement nous envisageons de nous fiancer puis de nous marier ou sauter l'étape fiançailles et passer étape mariage. Mais on se dit qu'on est encore jeune et qu'on a encore le temps. Nous parlons souvent de nos futurs enfants ou de comment on voit notre mariage. Mais ce ne sont que des projets. Rien n'est encore sûr. On veut juste profiter de notre nouvelle vie. Le seul petit problème c'est que je viens d'apprendre que j'attends un bébé de Shawn. Nausée sur nausée mal au ventre, je me demandais ce que j'avais et le médecin m'a dit la chose suivant : madame vous êtes enceinte. Super nous qui voulions profiter de notre jeunesse. Je ne l'ai pas encore dit à Shawn mais je compte le faire rapidement.

✿ ton prénom ☛ Lily
✿ ton âge ☛ ( facultatif ) 18 ans
✿ comment as-tu découvert le forum ☛ je ne sais plus vraiment ça fait un moment que je suis dessus ♥
✿ le code du règlement ? ☛ Shut up and let me go
✿ un dernier mot ? ☛ JE VOUS AIMES & CHARLIE LE RETOUR EN FORCE !!!!

Bon nouveau départ ma Charlie **
Je suis heureuse que tu reviennes ma belle.

Je suis DESOLEE pour l'attente, je n'avais pas vu & tu ne l'avais pas postée dans les fiches terminées T.T

Passes-tu toujours ? -out-