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 Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.

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MessageSujet: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeDim 3 Avr - 10:01

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✿ Maxence Alaska Loan Stones

Feat Kristen Stewart

VINGT ANS ANGLAISE CHANTEUSE DANS UN BAR/ETUDIANTE EN LITTERATURE & PHOTOGRAPHIE CELIBATAIRE NEW COMER HETEROSEXUELLE


My Character
Maxence c'est pas une fille qui va très bien dans sa tête. Elle n'est pas schizophrène et elle ne le sera jamais, mais dans le fond, elle est brisée et blessée comme personne. Elle se noie dans sa propre douleur et a l'impression que quoi qu'elle fasse, ça ne servira à rien et qu'elle tombera. Elle reste une jeune femme calme et d'une douceur incomparable. Personne ne sait pourquoi elle agit comme ça envers une personne du sexe féminin, ou envers un enfant et pourquoi elle devient aussi noir que l'encre et aussi furie quand un homme l'approche et lui parle. Pourtant, quand on sait son histoire, c'est tellement évident. Max' a été violé pendant des années par des hommes, alors elle reste très impulsive et trop instable face à eux. Capable de mettre une claque et de leur hurler dessus pour rire quelques secondes après avec une femme. Être lunatique il a trop de fois fait défaut, mais elle est comme ça. Tous les jours, elle prend sur elle et essaie de s'adoucir et de ne pas envoyer bouler une personne quand ça ne va pas, mais c'est compliqué. Trop compliqué. Malgré son parcours plus qu'atypique, Max' a réussit à avoir un bac littéraire et elle vient d'entamer sa première année de fac. Elle est très sérieuse dans son travail et ça, personne ne lui a jamais reproché. La jeune femme a toujours été toute seule et dès son plus jeune âge, elle a apprit à devenir autonome et à ne jamais demander de l'aide à qui que soit. Pourtant, elle essaie de se dire que ça valait le coup, que maintenant elle peut vivre indépendamment de tout ça et que tout ira bien. Mais elle sait parfaitement que ça n'ira jamais plus droit, mais elle sourit à la vie autant que possible. Le problème avec Maxence c'est qu'elle a grandit beaucoup trop vite, sans prendre le temps de vivre convenablement son enfance et encore aujourd'hui, elle garde un côté enfantin et joueuse. Son truc à elle, c'est les blagues. Elle passe son temps à dire des phrases à côté de la plaque, même quand elle est seule. Elle faisait rire tout le monde et apportait un peu ce qu'elle n'avait jamais connue. Ses rires étaient faux, mais les autres étaient sincères. En plus, d'être la plus jeune, elle était la plus marrante. Mais ce n'était qu'une carapace. La jeune demoiselle n'a aucun problème d'équilibre, les talons hauts ça la connait, mais elle est très maladroite dans ses mots et elle arrive à s'enfoncer toute seule dans ses bêtises. Max' est très naïve et romantique. Elle croit tout ce qu'on lui dit, ou presque. Il ne faut pas pousser mémé dans les orties quand même. Elle a envie de croire que dans une vie antérieure, elle a vécue un conte de fée parfait avec un prince charmant et une voiture blanche. Selon elle, ça expliquerait pourquoi sa vie est aussi désastreuse. Ayant connue les profondeurs et tout ce qui va avec, la jolie brune fait tout pour aider son prochain, dans la limite du raisonnable, bien sûr.

Maxence c'est un grand mélange de tout et de n'importe quoi. Mais elle vit, ou plutôt survit, comme ça.

Dirty Personnality
• un animal : Un cheval.
• une saison : Le printemps & l'hiver
• une chanson: 100 Years
• un film : Et après
• une fleur : Un bleuet
• une célébrité : John Lennon.
• un pouvoir : L'invisibilité
• un pays : La France
• un vêtement : Un jeans
• un objet : Un ipod
• une ville : Londres
• un métier : Editrice ou photographe.


DEPUIS COMBIEN DE TEMPS J'HABITE A LEWIS Tout au plus, je dirais quelques semaines, même pas un mois. Je suis arrivée là par hasard, cherchant un endroit où je pourrais recommencer une nouvelle vie, loin de tout ce que j'avais connu.
LA PIRE CHOSE QUE J'AI FAITE DANS MA VIE Nos parents nous disent toujours de ne pas écouter les inconnus et de ne surtout pas les suivre. C'est ce que j'ai fais.
MON PLUS GROS SECRET Un secret ça ne se dit pas. Celui n'a pas à être su par une autre personne que moi. Un jour, quelqu'un le sera sûrement, mais aujourd'hui, je le garde pour moi, ancrée au fond de mon coeur et de mon âme.
MON STYLE VESTIMENTAIRE Simple. Ultra simple. Jeans, tee-shirt, converses. Parfois un sweat. Rarement des jupes ou des robes, parce que je n'aime pas ça. J'en porte oui, mais pas tout le temps, parce que je ne suis pas à l'aise dedans. C'est aussi simple que ça.
MA PLUS GROSSE PHOBIE Mes plus grosses phobies, plutôt. Le noir, la nuit, les hommes. J'ai toujours eu peur dans le noir, c'est quelque chose que je ne serais pas expliquer autrement. Il est est ainsi et je n'essaie même pas de combattre ça. La nuit, parce qu'il se passe tellement de choses pendant ce laps de temps où tout le monde est sensé dormir. Un voleur qui rentre dans une maison et qui prend des affaires. D'ailleurs, je mets toujours un temps incalculable à m'endormir, à l'affût du moindre bruit. Je ne m'étendrais pas sur le dernier point.
MES PASSES-TEMPS Peu de choses. Je joue de la musique dans des bars, parce que j'ai toujours aimé ça et ensuite parce que ça me libère. Après, il y a les livres & la photo. Une façon d'exprimer ce qu'on ressent. Une autre manière de le dire.



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Bad Romance
Maxence Alaska Loan Stones née un certain quatorze février 1991, à Londres, dans un hôpital. Elle s'appelle comme ça, un peu par hasard. Père inconnu, mère morte à sa naissance. Placée dans un orphelinat, elle y a passé deux ans avant d'être adoptée. Il s'appelait Drew et pour elle, c'était son père, son héros. Pourtant, il ne ressemblait en rien à ça. Elle se rappelle de tout. Des coups, des cris, des pleures, des suppliques. Jamais une once d'amour ou de pitié. Rien. Maxence a grandit comme ça. Cette douleur qui lui était si familière a duré jusqu'à ses seize ans. Du jour au lendemain, elle c'est retrouvée dehors sans jamais rien comprendre. Elle a fermé les yeux chez elle et le lendemain en les rouvrant, elle était dehors, avec cette douleur dans son dos.. Elle est restée quelques mois dehors, survivant comme elle le pouvait. Elle mangeait quand elle trouvait à manger, buvait la plupart du temps l'eau qui tombait du ciel. C'est à ce moment que Maxence a arrêté le lycée. Elle ne pouvait plus continuer à aller en cours, alors que trouver à manger devenait de plus en plus difficile. Il lui arrivait de voir des gens de sa classe, de loin. Et puis, il l'a trouvé. Son bourreau. Satan. Le monstre en personne. Tout a commencé avec une proposition de chaleur, de nourriture, un toit sur la tête. Puis un viol, deux, trois, quatre ont suivis. En l'espace de quelques heures, Max venait de passer du simple statue de lycéenne battue à celui d'une ado de seize ans, violée. Lentement, elle a commencé à enchaîner les hommes et elle les faisait payer. Peu à peu, elle est devenue demander dans le réseau de prostitution. Elle se droguait, mais n'était pas accro, buvait, mais n'était pas alcoolique et se prostituait, mais détestait ça. Son enfer a duré quatre ans. Quatre malheureuses années dans une vie misérable, c'est rien, mais ça suffisait à détruire une jeune femme. Ils l'ont envoyés en cure de désintox' à Miami, mais elle est partit au bout de trois mois. Elle allait aussi bien que possible. Elle est montée dans le premier avion et a atterrit dans un trou paumé, dans l'espoir de se reconstruire une vie, plus seule qu'elle ne l'a jamais été. Sans aide, sans personne. Max est comme ça. Elle rejette les autres et leurs aides, parce qu'elle est persuadée qu'ils font tous ça par pitié. Sauf qu'ici, personne ne connaît son histoire, alors que va-t-il se passer, quand une personne le serra ?

Une enfance inexistante, une adolescence chamboulée. Des souvenirs partis en fumée et qu'on veut oublier à n'importe quel prix. Une douleur dans l'âme plus grande que tout. Un poids sur le coeur quasi constant. Parfois, c'est tellement plus simple de mourir. Vivre c'est dur, fatiguant, usant. Il aura suffit d'un choix, d'un geste pour faire voler en éclat toute une vie. Une personne pour en détruire une autre, beaucoup plus faible. Il aura fallut naître pour décider de son propre destin, contre son gré.


One Time
ton prénom ☛ Marine
ton âge ☛ ( facultatif ) Seize carottes
comment as-tu découvert le forum ☛ Par PRD, je crois Arrow
le code du règlement ? ☛ Shut up and let me go
un dernier mot ? ☛ Je reviens, nouvelle fiche, nouvelle histoire, nouveaux liens Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  413982 .



Dernière édition par Maxence A. Stones le Mer 6 Avr - 2:07, édité 6 fois
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Son rêve à elle c'était de devenir une princesse.

MIAMI. ETATS-UNIS. ;

Un mois. Maxence a vingt ans.

Un petit gratouillis sur la porte et une jeune fille de vingt ans avec un drôle d'air entre dans la pièce. Elle referme silencieusement la porte derrière elle et s'appuie sur cette dernière. Elle n'a pas prit cette initiative seule. On l'a forcé à venir voir un psy et à lui parler. Lui raconter ses malheurs d'enfants, ses souvenirs, ses pleures. C'est pas son truc. Ce qu'elle veut c'est terminer cette cure et aller s'installer dans une ville loin de tout ça. Elle vient de rentrer, mais elle ne sait pas dans combien de temps tout ça va se finir. Quelque part, elle a peur de cette nouveauté. Maxence est comme ça. La peur fait partie d'elle. Celle de l'inconnue, celle du mystère, la peur de mourir, de vivre, d'aimer. Elle vit avec ça depuis toujours. Elle a apprit à faire avec. Elle sursaute quand la voix légèrement bourru de celui qui va l'aider s'élève dans la pièce.

« Mademoiselle Stones ! Entrez, ne restez pas là. Venez vous assoir. »

Elle hésite, se méfie, a peur. Lui faire confiance ou non ? Finalement, d'un pas mal-assuré et encore plus tremblante, elle avance. Elle ne le connaît pas, mais ça n'aurait rien changé. Sa vie est une mascarade, son avenir est mort à la seconde où elle est née. Sa mère n'est plus là, elle est complètement paumée dans un monde qui n'est pas le sien. Son père, biologique s'entend, ne connaît même pas son existence. Elle est seule. D'une main habile, elle essuie une larme. La jeune demoiselle a l'habitude de pleurer. Elle soupire et s'avance sur la petite chaise, en face du bureau. Aucun mot n'a été échangé, mais tout a déjà été dit. Ses épaules voûtées, son tee-shirt troué, son sac en piteuse été, sa peau violette par endroit, ses cernes sous ses yeux qui font partis de son visage. Elle n'a jamais été bien traité et n'importe qui a connu des jours meilleurs. Sa fragilité est palpable à des kilomètres autour. Ses fesses se posent sur le support froid. Un frisson monte dans son dos et elle ferme les yeux. Elle a froid, faim et voudrait bien dormir une nuit entière. Elle soupire et fixe ses yeux sur ses chaussures. Ne jamais regarder quelqu'un dans les yeux, et écouter tout le temps. La voix de l'homme face à elle s'élève, comme une caresse et Max ferme les yeux.

« Bien. Je voudrais que tu me parles de toi, pour aujourd'hui. Ton prénom, ton âge, où tu vivais et avec qui. Le travail que font ton papa et ta maman, si tu as des frères et soeurs. Quand tu étais à l'école, les matières que tu aimais et que tu détestais. Et je suppose que tu as des cours au centre ? Parle-moi de toi et de tes goûts. »
« Vous savez tout ça. »
« Je veux l'entendre de ta propre bouche. »

Elle fronce les sourcils. Parler, c'est pas son truc. Elle se renferme sur elle-même et attend que ça se passe en espérant que tout ira bien. Elle passe sa vie à attendre qu'elle passe. Lente, douloureuse, parfois cruelle, mais elle passe. Maxence ne veut pas relever les yeux, elle a peur. Un soupir franchit les lèvres du psy et elle lève les yeux derrière ses cils. Elle le voit noter quelque chose et déglutit. Lentement, il se relève et lui demande de venir s'assoir. Elle prend place sur un sofa, mais jamais elle ne le regarde. Ses yeux étudient la pièce avec le plus grand intérêt. C'est grand, blanc, impersonnel. Il toussote et l'adolescente ne bouge pas d'un millimètre. D'abord, se mettre en confiance et ensuite parler. Lui attend en l'étudiant. Il a rarement vue des jeunes filles aussi sombres que sa nouvelle patiente. Elle est connue dans le centre pour sa fragilité et sa peur des autres. Il se rend compte qu'elle a peur et on dira un petit lapin, prêt à partir au moindre bruit trop fort. Une jeune fille brisée avec un passé horrible, un présent malheureux et un futur aussi noir. Sauf, si elle s'en sort. Et il veut l'aider. Un nouveau soupir le sort de sa contemplation et ses yeux se posent sur le bas de ses reins. Son tee shirt, trop petit, est relevé et il voit une cicatrice. Longue ? Petite ? Il ne le sait pas. Qui lui a infligé ça, il l'ignore.

« Je m'appelle Maxence Stones. Et mon prénom complet c'est Maxence Alaska Loan Stones. J'ai vingt ans et je suis née le jour des amoureux, le quatorze février à Londres. »

Elle sourit, amer. Le jour des amoureux, la saint-valentin. Ça sonne tellement poétique et tellement niais qu'elle en a la nausée. Elle entend un stylo gribouillé sur du papier et elle sait qu'il note. Quoi, elle ne le sera jamais et ça ne va pas changer grand chose. Elle reprend d'une voix mal assuré, après un léger encouragement intérieur.

« J'ai pas de frères et de soeurs et heureusement. J'aurais pas voulu qu'une autre personne connaisse cet enfer. Je sais que des tas de gens le vivent, mais quelque part, j'me dis que tant que ça se passe pas dans ma famille, je réaliserais pas. »
« Parle-moi de ce que tu vis. »
« Ma mère est morte en me donnant naissance. Ou après, je sais pas. Mais je l'ai jamais connu. Mon père ignore mon existence et j'ai été adopté à deux ans, par Drew. »
« Qu'est-ce qu'il fait comme métier ? »
« J'aimais l'école, mais pas un concours de circonstances j'ai dus arrêter. Je déteste les matières scientifiques, comme les maths ou la physique. Mais j'aime bien la biologie. J'adore les langues, l'art, l'histoire et la littérature, mais pas la géo. J'aimerais bien faire un métier dans les livres, mais j'irais jamais à la fac. Je joue de la guitare et je lis pas mal. »
« Maxence ... »
« Max, c'est mieux. »
« Bien. Max, tu es sensé répondre aux questions que je te pose. »

Elle hausse les épaules et son regard accroche la pendule. Elle aurait dût être chez elle à ce moment. En train de préparer la nuit et la soirée. Elle pince ses lèvres et grimace. Une larme dévale sa joue, lentement. Mais là, elle doit aller à un cours d'elle ne sais pas trop quoi et ce soir, elle va encore souffrir. Elle se relève, lentement. Le psy pose sa main sur son bras pour la faire rester. Maxence dégage son bras de son emprise et le darde ses pupilles vertes qui lancent des éclairs. Il laisse son bras retomber mollement le long de son corps. Cette fille est trop docile la minute d'avant, pour devenir un véritable chaton énervé, la seconde d'après. Elle fixe un autre rendez-vous pour dans quelques jours et pars, tête basse, épaules voûtées. Il s'assoit sur son fauteuil en cuir et prend sa tête entre ses deux mains. Il fixe son carnet. Trois petits mots noirs sur une grande page blanche « Maxence. Vingt ans. Détruite. »


.FLASKBACK.


La jeune adolescente court dans la rue, sans parapluie se faisant mouiller, mais ce n'est rien. L'eau va sécher et puis comme ça, elle peut pleurer et personne n'en sera rien. On ne l'arrêtera pas en lui demandant si ça allait, si elle avait besoin d'aide. Tout le monde en a besoin, mais jamais elle ne le dira. Aussi monstrueux soit-il, c'est son père. Elle arrive en bas de chez elle et rentre précipitamment dans le hall, mettant de l'eau partout. Son sac glisse de son épaule et elle jure. Une flaque se créée à cet endroit et elle se dépêche de monter par les escaliers. Elle a entendu l'ascenseur monter et elle sait. Maxence arrive la première, mais le temps de prendre ses clés sous le tapis, il est au bout du couloir et la regarde. Elle frisonne et une nouvelle larme glisse sur sa joue. Un sourire sadique dessine le visage de la personne face à elle. Aussi rapide que possible, sa clé glisse dans la serrure, elle ouvre la porte et toujours aussi rapidement, se précipite à l'intérieur de l'appartement miteux qu'elle partage avec ce monstre. Son monstre. Il rit, sachant déjà qu'elle va perdre. La jeune femme rentre dans l'appartement et s'emmêle les pieds au sol, échouant lamentablement au sol. Son front cogne et elle pleure. Derrière elle, la porte claque et elle n'a plus la force de regarder son bourreau dans les yeux. Elle sait que ce soir, elle aura une nouvelle plaie à cicatriser.

.FIN DU FLASKBACK.



MIAMI. ETATS-UNIS. ;

Deux mois. Maxence a vingt ans.

A nouveau ce petit gratouillement sur la porte. La même jeune femme brune que la dernière fois pousse la porte et rentre. Elle a peu changer, mais les progrès déjà fait sont plus qu'énormes. Elle soupire et d'un pas un peu lent s'avance vers le bureau de son psy. Cela fait un mois qu'ils se côtoient et Max a encore du mal avec lui. Un mois qu'elle vit dans cette prison. Elle a peur et c'est ancré au fond d'elle. Un nouveau soupir franchit ses lèvres et elle relève les yeux vers son docteur. Elle déteste ces séances, parce que ça l'oblige à se rappeler de tout et qu'elle veut juste oublier. Ici, une ancienne blessure qui s'efface. Juste là, au coin de son yeux, un petit trait qui ne partira plus. Ses joues sont creuses, ses lèvres sont fendus à plusieurs endroits. Elle a des bleus sur le visage et des marques sur ses avant-bras. Ses plaies ont dus mal à cicatriser et à disparaître. Des coups de griffes, des traces de morsures, des cicatrices indélébiles. Son corps en est parsemé. Le docteur se relève et vient lui serrer la main avec toute les précautions nécessaires. Il aimerait tellement l'aider et la libérer de ce fardeau, que seule elle ne pourra oublier.

« Max ! Comment vas-tu aujourd'hui ? »
« Comme les autres jours, je suppose. »

Elle grimace quand il lui prend la main et se tend. Elle déteste les contacts masculins et a peur. Aujourd'hui, elle ne sait pas ce qu'ils vont faire. La dernière fois, ils ont parlé politique. Peut-être qu'aujourd'hui Max va lui raconter son enfance. Ou alors, elle va lui raconter sa journée au centre. Ce matin, elle n'a pas eu la force de se lever. Son dos la faisait trop souffrir, elle n'avait pas réussit à sortir du lit. Elle était restée jusqu'à dix heures dans son lit, avant de sortir lentement et d'aller au prendre un peu l'air avant de venir rentrer manger. Elle avait attendu deux heures et pendant ce temps, elle avait lu dans sa chambre. Personne ne savait qu'elle était battue, mais les gens se posaient des question à cause de son visage encore blessé. Et puis, elle attendait toujours que les vestiaires soient vides pour se changer et rentrer chez elle. Tant pis si elle était en retard quelque part, il était hors de question que les autres voient son dos et lui posent des questions sur ses trois longues cicatrices qui le barrait. Maxence souffla et s'installa sur le canapé, ses jambes pendant dans le vide. Son psy savait comment faire avec elle et le plus simple était d'attendre qu'elle parle d'elle-même, de l'écouter sans vouloir la plaindre ou vouloir être compatissant. En un mois, il avait apprit la mort de sa mère, le manque que cela avait créé et surtout, que la personne qu'elle avait voulu aimer la frappait. Après un nouveau soupir, elle essuya sa joue.

« Il m'attendait tout les soirs après les cours. Il voulait voir le moindre truc qu'on avait dans la journée et même si un trait était mal tracé, il me frappait. Parfois, il me frappait avant et après sa vérification. »

C'était ce « il » qui faisait trembler la jeune anglaise. C'était à cause de ce « il » qu'elle avait des marques de coups, qu'elle avait peur et qu'elle pleurait. Il ne savait pas ce qu'il représentait pour Max mais elle ne semblait pas du tout l'aimer. La jeune fille déglutit. Le plus dure et le plus douloureux allait se faire maintenant. Personne ne savait et elle voulait garder ça secret encore longtemps. Elle ferma les yeux et laissa sa tête tomber en arrière. Le psy était là, mais il ne parlait pas, surveillant seulement la jeune anglaise.

« C'était mon père. Il … il me battait depuis que j'étais toute petite, depuis mon adoption. Toutes les traces de coups, les bleus, les saignements c'est sa faute. Il m'aime pas. Il a faillit me tuer une fois. J'avais sept ans et je rentrais de l'école. Il ne voulait pas que j'ai d'amies et ce jour-là, j'ai un peu joué avec la nouvelle. À la maison, il m'a frappé et m'a envoyé contre un mur. Ma tête a tapé dedans et j'ai saigné. J'arrivais plus à respirer aussi, mais le lendemain je me suis réveillée. »

Il ne note rien devant elle, il enregistre simplement. Il a bien vu qu'elle n'aime pas savoir que son psy note et dresse un portrait psychologique de sa personne. Pour dire quoi ? Enfant battue ? Ça ne servait à rien. Elle le savait et à partir du moment où elle connaissait la vérité, pour elle tout allait aussi bien que possible. Max poussa un nouveau soupir et rouvrit ses yeux. Elle fixa le plafond, les larmes aux yeux.

« Ça a duré longtemps. Pour chaque question, je me tournais vers ma prof de sciences. J'aimais bien sa matière, et même si j'avais pas des résultats excellents, je travaillais et j'essayais de comprendre et ça lui plaisait. Je la considérais un peu comme ma mère et elle avait bien vu que Drew me battait. Mais je lui avais dis de rien faire. J'avais peur pour elle, peur qu'il lui fasse du mal ou je sais pas quoi. De mon côté, je m'en foutais. »
« Pourquoi ? »

La phrase avais fusé d'elle-même sans qu'il ne puisse l'arrêter. Max osa les épaules et essuya une larme. Faire quoi ? Dire à la police que son père la battait ? Et après, elle irait où ? Dans une famille d'accueil ? Non, c'était hors de question. Même si elle l'avait détesté, il était resté son père pendant des années et elle n'aurait pas pu. De toute façon, les menaces fusaient souvent chez eux, et Max avait été habitué. Alors lui dire qu'elle n'était qu'une sale petite garce et qu'on la tuer, ça ne lui faisait plus rien.

« Aucune importance. De toute façon, il est partit je sais pas trop où et il a probablement été en prison. Il m'a frappé la veille et je me suis endormie. Quand j'ai ouvert les yeux, j'étais dans la rue et j'y suis restée quelques mois. »

Elle se releva lentement, salua le psy, prit son rendez-vous et elle ressortit. Maxence voulait partir de cet endroit, mais elle ne tentait rien. À quoi bon ? Ils avaient bien vu que la drogue et l'alcool ça ne la branchait pas. Ses mains tremblaient souvent, mais elle n'était pas en manque. Enfin si, mais elle ne rêvait de prendre une dose ou un verre.



MIAMI. ETATS-UNIS. ;

Troise mois. Maxence a vingt ans.

Encore cette jeune femme brune qui rentre dans cette même pièce. Encore ce même visage jolie, mais marquée à vie par son passé. Elle baisse la tête et se tortille les doigts. Elle a peur de cette séance aujourd'hui. Hier, elle a été dans un lycée passer son bac. On est en été et elle avait chaud et surtout très peur. Il y avait trop de monde et Maxence ne savait pas du tout comment elle allait réagir quand sa prison la laisserait repartir, quand elle retournerait à la civilisation normale. Elle passait le plus clair de son temps seule, et même dans sa chambre elle était seule. Pas d'amies, pas de connaissances, rien. Les autres lui faisaient peur et elle leur faisait peur. Un cercle vicieux qu'elle ne voulait pas briser. Sa solitude lui convenait pour le moment. Elle soupira et s'avança vers le fauteuil, où elle venait prendre place. Maxence faisait partie des jeunes les moins agressifs du centre, du moins avec le psy. Elle n'aimait pas tellement lui parler, mais elle le faisait quand même, par peur de ne jamais repartie de là. Puis elle sentait que son cœur s'allégeait un tout petit peu comme ça. Elle passa une main dans ses cheveux et regarda l'homme face à elle. La jeune demoiselle lui avait dit qu'elle avait été marqué à vie, physiquement. Un soir, il l'avait battu et fouetté avec sa ceinture. Elle gardait trois grands traits dans tout son dos, et ça la faisait souffrir. Elle laissa sa tête tomber en arrière et soupira tout en fermant les yeux. Elle voulait commencer par quelque chose de simple, quelque chose où elle pouvait parler sans pleurer, ni avoir envie de se cacher tellement elle avait honte.

« J'ai été dans un lycée aujourd'hui, pour passer le bac. »
« Oui j'en ai entendu parler. Comment ça c'est passé ? »
« Bien, je crois. Les sujets étaient assez facile et j'pense pas avoir trop massacré la philo avec ma vision des choses, mais je sais pas. »
« Comment tu t'es senti au milieu des autres ? »
« Mal. J'avais l'impression de les voir de partout, comme s'ils me suivaient tout les deux et les regards des autres jeunes me faisaient peur. J'étais pas bien et j'ai dus sortir pendant l'épreuve. Je sais qu'on a pas le droit, mais j'avais l'impression d'étouffer et comme y avait des pions du centre avec nous, ils m'ont emmenés dehors. »

Le psy hocha la tête et regarda cette jolie brune. Cette fille lui faisait pitié. Pas parce qu'elle n'avait pas connu la vie, mais parce qu'elle ne semblait pas se rendre compte que la chance qu'elle avait de vivre. Soit, elle avait été blessé et ses plaies étaient importantes et non négligeables, mais elle avait toujours la vie. Maxence semblait imperméable à toutes émotions ou sentiments humains. Elle rejetait la moindre trace de pitié ou de compassion chez les gens, n'hésitant pas à devenir méchante. Elle soupira, ramenant le psy avec elle et se releva pour se mettre face à lui, en position assise.

« Il s'appelait Jeff, mais on devait l'appeler boss ou maître. Une sorte de dominant en beaucoup plus pire. Il m'a trouvé dans la rue, alors que je mourais de soif et de faim, toute seule. Il m'a proposé un toit, de la nourriture et surtout de la chaleur. J'avais seize ans, j'étais conne et naïve et je voulais le croire, alors je l'ai suivis. Il m'a emmené devant un bâtiment, une boite et on est rentrée à l'intérieur. Je n'ai rien vu venir, rien sentis. Il m'a attrapé par derrière et m'a carrément arraché mes vêtements, avant de … avant d' … »
« Avant de te violer ? »

Elle hocha la tête, les larmes aux yeux. Il se leva et partit lui chercher un verre d'eau. Elle allait en avoir besoin. Il connaissait vaguement son histoire, mais savait que si elle était là, c'était grâce à une descente de flic dans un bordel de Londres. Ce qu'il ignorait c'est que c'était elle qui avait demandé à venir ici, à Miami. Elle ne voulait pas rester à Londres et avait décidé de partir de sa ville natale. Maxence n'avait pas eu de nouvelles des filles depuis son départ de la ville anglaise et personne n'avait pu lui en donner. Elle avait essayé d'appeler mais on lui avait refusé ce privilège. Docile, elle avait laissé tombé.

« J'me rappelle de ce qu'il m'a dit après. Il a attrapé mon visage entre ses doigts et a dit que je serais une bonne prostituée. Il m'a balancé un truc à la figure, une espèce de robe avec un décolleté très plongeant et très décolleté et qui s'arrêtait au ras des fesses. Il m'a murmuré à l'oreille que c'était mes nouvelles affaires, mais que le mien serait que je sois nue. J'ai refusé et j'ai pleuré, le suppliant de me laisser partir, mais il m'en a empêché et a promit de me frapper si je recommençais mes gamineries. Chaque soir, j'enchaînais les clients. Parfois en journée, j'allais sur le trottoir, mais c'était rare. J'étais devenue une pute. »

Elle ferma les yeux et son psy frissonna. Peut-être que ses réactions envers les hommes étaient justifiés maintenant. Il soupira et se leva et partit boire. Maxence avait l'habitude de le voir sortir de son bureau. Elle restait assise là et attendait que ça se passe. Elle ferma les yeux et se frotta le visage. Elle avait l'impression de brûler de l'intérieur, de mourir lentement. La drogue et l'alcool qu'elle avait ingurgité pour survivre et pour ne pas penser à ça, ne semblait rien à côté de l'étant dans lequel elle était. Ce matin, elle avait entendu une fille l'appeler l'épave humaine. C'était ce qu'elle était. Une loque, un déchet, une épave. Elle était jolie et plaisait, elle savait tout ça, mais s'en contre balançait. Maxence avait toute la vie devant elle, mais qu'est-ce qu'elle allait faire dedans ? Elle n'en savait foutrement rien. Sauver des vies, écouter le malheur des autres, ça ne l'intéressait pas plus que ça. Elle aimait les livres et depuis peu avait commencé à jouer de la guitare. Ce qu'elle ne savait pas c'est que les jeunes se mettaient devant sa porte et l'écoutais jouer. Elle ne mettait jamais de paroles sur ses chansons, parce que ça gâchait tout. Mais il lui arrivait de lâcher des morceaux de phrases par moment. Elle soupira et rouvris les yeux en entendant l'homme revenir. Elle releva ses yeux verts sur lui et il s'arrêta, surpris. Comment une jeune femme aussi belle et aussi jeune qu'elle, pouvait avoir des yeux aussi vides et aussi morts que les siens ? Il secoua la tête, se reprit et se réinstalla.

« Tu as déjà voulu te suicider ? »
« Une fois. Mais ça servirait à rien. »
« Pourquoi ? »
« Je sais pas. »
« Et maintenant, tu y penses ? »
« Jamais. »


LEWIS. TEXAS. ;

Quatre mois. Maxence a vingt ans.

Elle était devant la grande grille blanche. Son bac quelque part dans sa valise, elle regardait alternativement la route et le centre. Elle avait finit son stage là-bas. Maintenant, elle devait retourner à la vie normale. Mais c'est quoi une vie normale ? Elle regarda autour d'elle et tira sur son short. Elle avait chaud malgré ses sandales, malgré son tee-shirt, malgré son short, malgré qu'il soit sept heures. Elle soupira et faillit pleurer. Elle avait vingt ans, mais on aurait dit qu'elle partait à la découverte du monde pour la première fois de sa vie. Elle regarda la voiture arriver devant elle et attendre qu'elle monte. Elle chargea ses affaire à l'arrière et demanda au chauffeur de l'emmener à l'aéroport. Maxence ne savait pas ce qu'elle faisait, mais elle le faisait. Elle soupira et posa sa tête sur la vitre, ses yeux se fermèrent lentement.

Ce n'est que bien plus tard que l'avion atterrit sur le sol Texan. Elle allait marcher ou demander sa route à quelqu'un et elle irait se perdre dans une ville. Maxence chopa un taxis et demanda à ce qu'on l'emmène dans la ville la plus proche d'ici. Le chauffeur roula tranquillement jusqu'à Lewis et en lui demandant une adresse où l'arrêter, elle le fit stopper au milieu de la route et descendis. Ses yeux se levèrent vers l'hôtel face à elle et elle demanda une chambre pour la nuit. De l'argent, elle en avait. Sale certes, mais elle en avait. Elle soupira et grimpa à l'étage de sa chambre. Ce n'était pas du grand luxe c'est certains, mais c'était mieux que la rue. Elle posa sa valise au sol et laissa tomber son corps contre la porte.

Tout ça, c'était il y a une semaine. Aujourd'hui, elle c'est dégotée un petit appartement pas trop cher, elle travaille dans un bar et chante et joue de la guitare. Elle a reprit ses études à la fac. Littérature et photographie. Un choix comme un autre. Maxence a commencé à écrire un livre. Un conseil de son psy pour l'aider à avancer dans sa vie. Personne ne connaît cette existence et elle ne cherche pas à se faire publier. Juste à raconter ce qu'elle a vécu et se libérer de tout ces poids trop lourd sur son coeur et son corps.


Dernière édition par Maxence A. Stones le Mer 6 Avr - 2:04, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeDim 3 Avr - 10:08

:O j'me suis demandée où était le bug xD
Welcome baaaack ! Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  846716
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeDim 3 Avr - 10:09

Yep, welcome back ma beeelle Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  846716
& bonne chance pour ta nouvelle fiche (:
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeDim 3 Avr - 10:09

C'est une double vision que j'ai pris en option, en fait Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  93598
Ca fait que tu vois bizarrement et que tu revois des choses déjà passées Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  389806 Arrow

Merci Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  389806

Merci June Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  389806
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeDim 3 Avr - 23:30

REBIENVENUE MA BELLE Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  846716
bonne chance :D
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeMar 5 Avr - 3:55

Merci G. Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  389806
Je m'occupe de tout bien finir et de tout bien rédiger ce soir, après mes devoirs et le pré et je poste au plus tard mercredi tout fini Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  413982
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeMar 5 Avr - 4:01

Pas de soucis Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  846716 GOOD LUCK ! ;D
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeMar 5 Avr - 5:56

REBIENVENUEEEE I love you
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeMar 5 Avr - 12:03

STEWART I love you bienvenue :)
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeMar 5 Avr - 19:32

    Bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeMar 5 Avr - 23:53

DOBREV I love you
Merci vous trois Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  846716

C'est très long, mais ça avance et les validateurs interdiction de ma taper Arrow
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeMer 6 Avr - 2:26

Re bienvenue. :)
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeMer 6 Avr - 5:02

Oh Mischa Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  389806
Merci beaucoup Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  846716
J'en profite, avec ma grande classe habituel, j'vous pète dans la bouche j'ai finis Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  461938
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeMer 6 Avr - 5:10

GOSH une fiche toujours aussi parfaite *-*
Je ne peux que te valider enfin !
Re-bienvenue ma belle Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  846716
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitimeMer 6 Avr - 5:11

Je suis parfaite, c'pour ça Arrow
Merci superJunesuperbombasse Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  389806
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MessageSujet: Re: Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.    Maxence Alaska Loan Stones » Il y a des circonstances où le mensonge est le plus saint des devoirs.  Icon_minitime

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