Je ne vous épargnerais pas, vous qui lisez ces lignes !! Déjà, je vous embrasse pour vous intéresser à mon scénario. Il est comme qu'il dirait hyper important, sans Castiel, César n'est qu'une crevure insignifiante Et personne ne veut ça pour lui pas vrai ? (a) Alors, je vous en supplie, prenez-le

Pour ce qui concerne l'avatar, je suis un peu difficile pour Castiel. Autant je ne le suis pas pour Eden, mais Castiel, je tiens quand même un peu à Mathias. Mais on peut se mettre d'accord, y'a pas de soucis, ce qui compte c'est quand même surtout le personnage lui meme (CASTIEL JE T'AIME). Ensuite, là je suis plus difficile, je demande quand même un niveau raisonnable. Pas Molière, hein, mais quelqu'un qui écrit entre 600 et 1200 mots, je le vénère ! *.* Plus, je l'admire x)

Je vous jure, je bénis et je m'offre en esclavage à celui qui poste à la suite pour m'annoncer que Castiel est là ! Parce que... Castiel quoi. Et si vous voulez lire ce qui suit pour comprendre mieux la relation entre Castiel et César, allez-y c'est fait pour

CESAR

J'écoute les Clash à fond. Le punk rock, c'est mon truc, j'adore ça les basses et les guitares électriques qui vous déchirent les tympans. Je suis étalé les yeux fermés sur mon lit, complètement en transe. Ça pue la clope et le hash, dans ma chambre, on dirait que je viens de faire un aquarium tellement il y a de la fumée partout. Mais au moins ça masque l'odeur de fringues sales qui trainent partout par terre. Mais je m'en tape, les filles que je ramène le soir sont trop bourrées pour remarquer quoi que ce soit. D'ailleurs, il y en a une allongée à côté de moi, à poil et trop défoncée pour bouger. Je jure, je la tue si elle dégueule. Mais pour l'instant elle me dérange pas. Pour l'instant... Parce que la seconde d'après j'entends qu'on frappe à ma porte. Merde, si c'est Eden je suis cuit. Mais genre, roti jusqu'à l'os parce qu'elle va gueuler comme pas possible en découvrant le foutoir que c'est, ici. Je me lève d'un bon, j'enfile le premier jean qui me tombe sous la main, et je commence à tirer la nana par le bras -je sais même pas qui c'est- pour qu'elle bouge son fion de mon lit. Elle gémit, mais elle se lève, ramasse ses affaires comme un robot. J'ouvre la fenêtre et je regarde en bas. Bon, je suis au premier étage, ça va pas le faire pour la balancer par là. Elle se pèterait une jambe tellement elle est bourrée. « Merde, putain ! Dégage, tire-toi vite de là, pigé ? » Elle hoche la tête. C'est bien, gentille fille. On refrappe encore à ma porte. « Ça va j'arrive ! » J'ouvre à la volée. Tant pis, je vais me faire tuer... Sauf que ce n'est pas Eden, c'est... Merde. Castiel. Mais il fout quoi là, lui ? Il est minuit passé, il devrait pas dormir ? Ça fait deux mois qu'il est là, et il commence déjà à me les briser. Sauf que je suis pas capable de bouger quand il me regarde comme ça. Il me met dans un état pas possible ce type, c'est horrible mais c'est vrai. J'ai chaud tout d'un coup. Je me retourne, je vire la fille de ma piaule. « La sortie c'est au bout à droite » je gueule, pour qu'elle trouve la sortie toute seule. Là y'a Castiel qui m'empêche de passer. « Tu devrais plus respecter les filles que tu emmènes dans ton lit. Elles ne méritent pas ce traitement. » J'ignore sa remarque, on dirait Eden. « Qu'est-ce que tu veux encore ? » J'ai un peu peur, la dernière fois qu'il est venu, il m'a chauffé comme pas possible, je vous raconte pas ! Il me touchait de partout, il me disait des trucs qui m'ont rendu dingue. Je le hais de me faire ça ! Mais qu'il est beau... « Je te veux toi. » Il s'approche, comme si il allait m'embrasser. Je me recule d'un coup en lançant un juron. De un, j'ai horreur qu'un mec me fasse des avances, de deux je suis complètement out. « Oh ça va, je plaisante. Mais un de ces jours tu devrais te laisser faire, tu sais pas ce que tu rates... » me dit-il. Je le regarde avec des yeux ronds, et ça le fait marrer. Il a l'air de prendre ça pour un oui parce qu'il réessaye de m'embrasser. Je me recule encore. « Mais arrête putain, tu joues à quoi là ! » Il roule des yeux d'un air exaspéré, et il se tire. Et voilà, rien d'autre. J'en reste sur le cul. Et le pire, c'est que je fais que de penser à lui tout le temps maintenant. Ah je vous jure, un de ces jours je vais faire un génocide.