Sujet: Décidément nous deux [DEXTER] Ven 4 Mar - 7:21
DEXTER & CHARLIE
Le réveil sonna et ma main s'aplatit dessus. Il était sept heures du matin et fallait que je me lève. Et comme si le réveil n'avait pas suffit les chiens sont venue sur le lit. Le problème c'est que c'était un husky et chienne louve de Tchécoslovaquie. Donc y avait de quoi réveiller avec tout ça. Je leur fis le câlin du matin et ils descendirent. Je m'assis sur le rebord du lit. Une longue journée en perspective. Il fessait assez froid dans la maison. Je me levais et enfilait une veste. Avant de descendre en au rez-de-chaussé. Je retrouvais Caleb, mon cher qui préparé le petit déjeuné. J'arrivais doucement par derrière et le serrais par la taille. Posant ma tête sur son épaule en me hissant sur ma pointe des pieds et je murmurais « Bonjour mon amour ! ». Il se retourna me souris et me répondis « Bonjour toi ! Bien dormi ? ». J'hochais la tête et piquais un de ses pancakes délicieux. On déjeuna en amoureux tranquillement. Il partit au boulot et moi aussi de mon côté. Je filais à la bibliothèque ou je passais le plus clair de mon temps. Je rentrais à l'intérieure. Je m'y installée. Et toute ma matinée se passa là dedans. Au milieu de la poussière des livres et de l'odeur des vieux livres. J'adorais l'odeur des vieux livres, c'était agréable. Le temps filait sans que je m'en rende compte. Quand je vis qu'il était déjà midi et demie je rangeais rapidement tout dans mon sac les bouquins et tout et tout. Et je filais au café d'en face. Je n'avais guère besoin d'un bon repas. Un petit truc sucré et un bon café me suffisait largement. Je montais dans la voiture et j'allais droit à Tartines Bakery qui était d'ailleurs un de mes endroits favoris. Après m'être garé et avoir rejoint le café. J'entrais à l'intérieure, j'allais au comptoir prendre commande. Je pris mon plateau. Et évidemment un plateau avec une maladroite comme moi cela ne le fessait vraiment pas. Et comme en même temps j'écrivais un texto. Et oui c'est réellement une chose à ne pas faire. La catastrophe arriva. Et je cognais dans un personne. Le café se retrouva sur le pauvre homme et mon portable par terre, dans un sale état. Je relevais la tête pour m'excuser. Quand je découvris le visage de l'homme en question. Décidément, j'adorais lui rentrer dedans. L'autre fois avec la voiture et maintenant avec le café. Et une fois de plus j'étais toujours la fautive. Du coup le fait que je le reconnaisse m'avait coupée dans mon élan de m'excuser. Je fronçais les sourcils et grimaçais. De peur qui me fasse la même crise. De peur qu'il tienne autant à sa chemise qu'a sa voiture. A cette pensée je faillis exploser de rire mais je ne le fis pas. Je pris la parole « Décidément ! J'aime bien vous rentrer dedans ! Je suis réellement désolée ! Désolée pour vous et votre chemise !! ». Je lui fis un léger sourire. Et je poursuivis « Je vous paye le pressing et un café pour me faire pardonner ! Vous voulez bien ? ». J'avais ce regard de gamin qui supplie quelque chose accompagné d'un sourire.