prettiest girls ♛ CHARLIE.

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PRETTIEST GIRLS ♣ - Y'en a qui disent que les femmes aiment les fleurs, alors que nan, j'pense qu'elles n'aiment pas les fleurs. - Si. - Nan! - Si. - Nan! Alors pourquoi à chaque fois qu'on vous en offre, vous dites ' fallait pas ? ' Fallait pas, fallait nous l'dire quand on était chez l'fleuriste. Y'a un truc marrant aussi quand on vous tend l'bouquet vous dites ' C'est pour moi ? ' Putain le nombre de fois où on a eut envie dvous dire ' Nan mais puisque t'es là prends-les qu'est-ce qu'tu veux que j'te dise... '

Où était donc ce putain de dvd? Nan mais sans déconner, j'avais perdu Spirit quoi. Ce dessin-animé qui racontait la vie d'un mustang, c'était de l'art. Je le regardais au moins trois fois par semaine avant de l'égarer. Depuis maintenant plusieurs semaines, je le cherchais partout, tous les jours et je n'aurais de repos que lorsque je l'aurais retrouver. Disons qu'il devait traîner sous une pile de fringues, ou bien en dessous d'un meuble. Je balançais les vêtements, les couvertures, je m'énervais toute seule sur mes habits et pour finir je trébucha sur le pied d'une chaise et m'étala par-terre comme une merde. Mes nerfs allaient exploser. Et pour bien empirer la situation, maladroite comme j'étais, j'avais renversé dans ma chute, la bouteille de lait sur mon tee-shirt. Shit, je soupirais en tentant tant bien que mal de me relever. Je manqua de peu de retomber en glissant sur le lait renversé mais me rattrapa grâce à la table. Mon chat, Zéphyr, s'approchait en trottinant, sa clochette retentissant dans toute la pièce et vint boire le lait. Bon ba ça f'ra une chose en moins à nettoyer.. Oui, je tentais de positiver les choses. Je m'attacha alors les cheveux, ayant chaud après tant d'énervement et me dirigeais vers la salle de bain.

Trente minutes plus tard, je ressortais en serviette, les cheveux mouillés. J'avaisi l'impression de sortir d'une essoreuse. Je filais vite fait dans ma chambre et décidais de m'habiller. Je prennais un slim clair, une chemise blanche serrée à la taille et une veste en cuir. J'enfilais mes victorias et partais dans la cuisine, voir l'étendue des dégâts. Le chat avait nettoyé le plus gros, je me chargea donc du reste. Le temps que je range tout le bordel, mes cheveux avaient eu le temps de sécher, ainsi je pouvais me coiffer et me maquiller.

Il était maintenant 13h et je me décidai enfin à sortir de la maison. Je prend nais un sac avec toutes mes affaires dedans, même si là où j'allais elles ne me serviront surement à rien. J'y allais à pieds, pour faire un peu de " sport ".

Mes écouteurs aux oreilles, j'y étais enfin, entourée par d'immenses arbres majestueux. Le vent se faisait frais, je m'les caillais un peu j'dois dire. Je tentais de resserrer ma veste avec mes bras , pour me réchauffer, en marchant tel un fantôme, slalomant entre les troncs. Plusieurs couples se baladaient mais je ne préfèraient même pas les regarder. Des histoires d'amours sincères, j'avais jamais connu. Je n'étais jamais tomber amoureuse, et je faisais tout pour l'éviter. Je jouais avec les garçons comme les photographes jouaient avec les lumières et les contrastes. Mes yeux se posèrent sur le sol, évitant tous les regards des couples sur une meuf comme moi qui se trimballait en solo. Je me doutais bien qu'à un moment donné, je foncerai dans quelqu'un. Et ce moment ne se fit pas attendre. Un violent choc se produisit contre mon corps et en un rien de temps, je me retrouva assise sur le sol, mes écouteurs ayant désertés mes oreilles. Je me relèvais sans même regarder la personne dans qui j'avais foncé et prononça d'une voix légère Désolé, je ne regardai pas où... Ma voix se stoppa alors que mon regard se posait sur Charlie. Un sourire apparut sur mon visage et je frottais mon derrière pour enlever la terre. Je rangeais mes écouteurs, contente de la croiser ici. Tu n'as rien?

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undomiel & Aurélie

HONEY & CHARLIE

« Charlie ! Chérie ! Faut te lever allez la belle au bois dormant ! ». Je sentais les doigts frais de Caleb sur ma joue. D'un coup je réalisais que si il avait les doigts frais c'est qu'il revenait de dehors. Oh noooon cela voulait dire qu'il était déjà bien tard. Je me levais d'un bond, faillie tomber par terre, mais Caleb eu me réflexe de me rattraper et en profita pour me voler un baiser. Je souris et en coin je regardais le réveil, qui affichait dix heures et demi. Je soupirais et je dis à Caleb « Tu aurais pu me réveiller quand tu es parti avec les chiens quand même. Tu savais qu'il fallait que je me lève ! ». Je m'arrachais – malheureusement – de ses bras, avant de lui tourner le dos et faire semblant de le bouder. Je l'entendis me dire « Mais tu dormais si bien ! J'ai pas voulu te réveiller dans ton rêve ! Ouais parce que tu rêvais ! Tu marmonnais des choses ! J'ai apprécié t'écouter d'ailleurs ! C'était fort … ». Je me retournais vivement et sans lui laissais le temps de finir sa phrase. Médusée je me mis avec mes petits poins à lui cogner sur le torse, pas méchamment forcément. Je lui dis « Non mais tu n'as pas honte ! Au lieu de m'écoutais marmonner tu aurais dû me réveiller ! Franchement … ». Il me laissa pas le temps de finir, que ses lèvres s'abattirent sur les miennes et que je me retrouvais couchée sur le lit. Quand il eu finis de m'embrasser je murmurais « C'est pas juste ce que tu viens de faire ! Maintenant je suis plus en colère ! ». Il me fit un sourire fier. Évidemment que maintenant il pouvait bien être fier. Je l'embrassais et il me dis « Y a du café en bas & je t'ai ramenais des croissants tout frais ». L'art de ce faire pardonnée. Je filais au rez-de-chaussée, je dis bonjour à tout ses petits animaux. Puis Caleb fila à son travail. Et je me retrouvais toute seule. Je déjeunais tranquillement. Je sortis un livre et commençais à livre. Le soleil perçait ma fenêtre. Et je regrettais d'un coup d'être ainsi enfermée dans la maison. Je montais m'habiller comme il fallait. Je mis la laisse aux chiens et j'allais vers Cypress Forest. Les chiens appréciaient ce balader vers là-bas tout comme moi.

Je l'ai lâchais afin qu'ils puissent gambader tout seul. Toute façon il suffira que je siffle pour les voir réapparaitre. Je marchais tranquillement profitant du soleil. Je ne regrettais pas de m'être couverte car il fessait assez frais. Il y avait pas mal de couple ici. C'était beau à voir. Avec Caleb parfois on aimée venir par ici. Mais ça fessait un moment qu'on n'avait pas eu le temps. Aujourd'hui c'était toute seule que je naviguais à travers les troncs. Ma balade était tranquille jusqu'à ce qu'il y est le choc. Je reculais de trois pas. Le temps que tout me monte au cerveau. Et que je relève la tête j'entendis Désolé, je ne regardai pas où.. . Je reconnue immédiatement sa voix. C'était ma petite Honey, mon visage s'illumina d'un grand sourire. Ça me fessais tellement plaisir de la croiser ici. Elle me demanda si je n'avais rien. Et en m'approchant d'elle avec un grand sourire et je lui dis « Bonjour jolie miss ! Et je n'ai rien ne t'en fais pas & toi alors tu ne t'ai pas fait mal ? ». Je posais sur elle un regard protecteur et inquiet. Comme une grande sœur s'inquièterait de la petite. Et le choc avait quand même était assez conséquent.

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prettiest girls ♛ CHARLIE. Emmaroberts003

(c) shiya

PRETTIEST GIRLS ♣

La dictature, c'est ‘ferme ta gueule' ; la démocratie, c'est ‘cause toujours'.

Mon Dieu, que j'aurais voulu être une fille comme Charlie. Si gentille, si belle et toutes les qualités que l'on pouvait imaginer. Elle avait un homme dans sa vie et semblait être heureuse avec. J'avais beau tenter de me convaincre du contraire, j'enviais les relations amoureuses. Toutes, qu'elles finissent mal ou bien. Car peu importe comment les histoires d'amour se finissaient, le plus important était pendant l'histoire. Mais, je n'étais pas jalouse de Charlie, je ne faisais que l'admirer. Je ne cherchais pas à devenir comme elle, préférant avoir ma propre personnalité. Mais une femme comme Charlie, on ne pouvait que l'aimer. J'étais maintenant relevée, et je n'avais plus aucunes traces de terre sur mon jean ou mes affaires. Enfin j'espérais, car marcher avec une grosse tache de terre sur le cul, s'était pas la grande classe et comme me taper la honte était inconsciemment mon passe-temps préféré... Bref, Charlie s'approche de moi, affichant sur son visage rayonnant un beau sourire. ▬ Bonjour jolie miss ! Et je n'ai rien ne t'en fais pas & toi alors tu ne t'ai pas fait mal ? Rien que d'entendre sa jolie voix, un sourire radieux étira mes lèvres.

Je me baissais pour reprendre mon sec qui était tombé au sol, ainsi que ramasser les quelques conneries qui en étaient tombés. Je me relevais, toujours souriante et tout en parlant, fis glisser une mèche de cheveux derrière mon oreille. ▬ Heu, nan j'ai rien... J'ai l'cul solide. Après cette phrase je ris presque silencieusement. Je me retournais, faisant maintenant dos à Charlie. Ma tête était pourtant presque tournée vers la jeune demoiselle. J'ai des traces de terre? lui demandas-je avec un ton amusé. Je faisais toujours très attention à mon physique et mon apparence lorsque j'étais en publique. Certaines personnes pouvaient trouver ça débile, mais je gardais toujours cette même simplicité qui faisait de moi la Honey que j'étais. En attendant sa réponse j'engageais la conversion - chose que je faisais très rarement. - Je suis étonnée de te voir seule ici... Tu n'es pas avec Caleb? Oui, étonnée était le mot. Cet endroit accueillait principalement les couples et rares étaient les gens qui s'y baladaient seules. Mis à part peut-être moi et certaines personnes célibataires qui venaient simplement profiter de l'air frais. Mais la voir sans Caleb n'était pas plus mal. Être avec elle était toujours un pur bonheur. Nous nous connaissions depuis déjà 4 années et je ne regrettais en rien ce jour, où je l'avais aidé à retrouver son chemin.

Invité

J'étais toute seule dans ma grande maison, avec pour seul compagnie mes chiens, mon chat & mes livres. Pas que je déteste ses moments au contraire. Mais quand le soleil me fit de l'œil et que je pouvais aller profiter du soleil pour une fois que je ne travaillais pas. J'étais partit pour Cypress Forest avec les deux chiens. Ça me faisais balader tout comme ça me faisais balader moi. Malgrè qu'il fasse froid, le soleil était au rendez-vous. Et cela faisais du bien d'en sentir les rayons sur la peau. C'était une sensation agréable. Qui montrait tout de même que les beaux jours ne tarderais pas à arriver. Et je trouvais que c'était une bonne chose. Même si je préférais les mi saisons. J'avais lâché les chiens qui couraient comme ils le voulaient. Toute façon un coup de sifflet et les revoilà à côté de moi. Ils étaient bien dressés. J'étais dans mes pensées quand je reçu un choc. Et c'était la petite Honey qui m'avait foncée droit dessus. Elle s'était retrouvée par terre la pauvre. Elle me demanda si j'allais bien. Je répondis que oui, que c'était plutôt à elle qui fallait demander. Moi je n'avais que reculée de quelques mètres, elle elle s'était retrouvée sur les fesses par terre. Elle me répondit ▬ Heu, nan j'ai rien... J'ai l'cul solide. . Je ris légèrement. Elle me fis soudain dos, alors que ça tête était presque toujours tournée vers moi et me demanda J'ai des traces de terre? . Je regardais. Et je lui répondis avec un grand sourire « Heureusement que tu as les fesses solide ! Et non tu n'as pas de terre ! Mais attends ! ». Je m'approchais doucement d'elle. Et dans un geste doux, calme, délicat et très maternelle, avec un petit sourire, je lui enlevé une brindille qu'elle avait dans une de ses mèches de cheveux. Je brandis la brindille devant elle et je dis « Et voilà tu avais ça dans les cheveux ! ». Grand sourire. Et je laissais la brindille retrouver le sol. Puis elle me demanda Je suis étonnée de te voir seule ici... Tu n'es pas avec Caleb? . Je regardais autour de moi vite fais. C'est vrai ce lieu accueillais pratiquement que des couples. Je venais souvent avec Caleb avant, quand le temps nous le permettais. Je haussais les épaules et je répondis en regardant dans la direction des chiens « Je ne suis pas toute seule ! J'ai les chiens ! Et Caleb et au boulot ! Et aujourd'hui je ne travaille pas donc j'ai voulue prendre l'air ! ». Je souris à la belle avant de rajouter d'un ton taquin, le même air sur mon visage « Tu es toute seule toi aussi ? Pas de copain dans les parages ? ». Je sourire taquine.

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(c) shiya

PRETTIEST GIRLS ♣

La dictature, c'est ‘ferme ta gueule' ; la démocratie, c'est ‘cause toujours'.

Charlie semblait heureuse de me croiser ici. Le hasard faisait quand même bien les choses, parce que je voulais justement lui envoyer un message pour qu'on puisse se voir. J'avais besoin de la voir régulièrement, même si s'était des croisements brefs. Cette femme réussissait à me faire rire, elle était comme la grande sœur que je rêvais d'avoir. Elle ne supportait pas que l'on me fasse du mal, et elle était toujours là pour moi. Un ange, je vous dit. Ma remarque sur mon cul solide la fit rire, et je souris rien qu'à entendre son rire. Alors que j'étais de dos à elle, Charlie me répondit. ▬ Heureusement que tu as les fesses solide ! Et non tu n'as pas de terre ! Mais attends ! Mon sourire n'avait pas quitté mon visage depuis que je l'avais vu. Je sentis alors que quelqu'un me tirait légèrement les cheveux, et une fois le geste terminé je me retournais face à elle. Charlie tendait une brindille face à moi. Et voilà tu avais ça dans les cheveux ! Je passa alors une main dans mes cheveux, et entrepris d'enlever le nom que la brindille avait créée. Ce ne fut pas très difficile bien que je grimaça lorsque je tirais pour l'enlever. La brindille se trouvait maintenant à terre. ▬ Merci. Charlie était plus grande que moi, je me devais de lever légèrement les yeux pour la regarder. Ce qui n'était pas plus mal vu notre relation amicale. La grande sœur qui protège la petite.

Après ma question, elle observa autour d'elle, semblant remarquer que les beaucoup de couples traînaient dans cette forêt. Je me doutais qu'elle était déjà venue ici avec Caleb, tous les couples se rendaient au moins une fois ici pour profiter de l'air frais. ▬ Je ne suis pas toute seule ! J'ai les chiens ! Et Caleb est au boulot ! Et aujourd'hui je ne travaille pas donc j'ai voulue prendre l'air ! Mon regard se dirigeait là où était le sien. Je vis alors ses chiens qui couraient et s'amusaient dans tous les sens, tout en gardant un œil sur leur maîtresse au cas où elle les appellerait. Ses chiens étaient vraiment bien dressés. Il suffisait simplement qu'elle siffle pour qu'ils reviennent. Si seulement les hommes étaient pareil. Tu es toute seule toi aussi ? Pas de copain dans les parages ? Ajouta-t-elle avec une voix taquine. Son regard, posé sur moi, était autant taquin que ses paroles. Je souris avec amusement et commençait à marcher. Je regardais Charlie, toujours le même sourire étirant mes lèvres. ▬ Je préfère encore les chiens aux hommes. Ils sont bien plus obéissants et restent fidèles quoi qu'il arrive. Et puis ils coûtent moins cher, sauf quand il faut les soigner. On peut les balader avec des laisses, et on peut les occuper avec des jouets. Un chien vaut cinq mec selon mon étude. Bien sûre, je n'avais fait aucunes études approfondies ou scientifique sur la chose, ce n'était que mon avis purement personnel.

Invité

Je lui enlevais une brindille qu'elle avait dans les cheveux. Dans un geste très maternelle. Cette petite je l'a considérée comme ma petite sœur. Si on touchais à ma petite Honey la gentille Charlie se transformerais en vrai démon. Ah oui fallait pas toucher, faire du mal à celle que je considérais comme ma petite sœur. J'avais neuf ans de plus qu'elle. J'avais toujours rêvée d'avoir une petite sœur et je l'avais trouvée en elle. Ma petite sœur rêvée. Elle m'avait questionnée sur le fait que j'étais toute seule et que Caleb n'était pas là. Et bien lui était au boulot et moi j'étais seule dans ce parc avec les chiens. Un lieu remplie de couple. Et que au moins une fois chaque amoureux était venue ici. Et si ils étaient vraiment romantique étaient allés plus au fond de la forêt et avais gravé sur l'arbre leur initiale. C'était ce que nous avions fait avec Caleb. Chaque année nous avions l'habitude d'y retournés. Mais le temps passe tellement vite. Que finalement on a plus le temps de rien faire. Et c'était bien regrettable. Je lui répondis que j'étais avec les chiens. Je l'ai regardée pour l'est lui montrer. Et je stipulais que Caleb travaillais. Elle regarda à son tour où mon regard était posée. Sur mes chiens. Ils étaient dressé au top. Ils obéissaient au doigt et à l'œil. Mais avec deux gros chiens comme eux nous étions obligés, un husky et un chien-loup, fallait du dressage sinon on se faisait rapidement bouffé. Je lui dit que elle aussi était toute seule et je rajoutais si elle avait pas de copain dans les parages avec un air taquin. Elle souriais et commençais à marcher, je l'a suivais. Elle me dis ▬ Je préfère encore les chiens aux hommes. Ils sont bien plus obéissants et restent fidèles quoi qu'il arrive. Et puis ils coûtent moins cher, sauf quand il faut les soigner. On peut les balader avec des laisses, et on peut les occuper avec des jouets. Un chien vaut cinq mec selon mon étude. . J'éclatais de rire. Elle n'avait pas tord d'un côté. Puis les chiens vous comprenez aussi. Parfois on se trouve idiot de parler à son chien mais ils nous comprennent très très bien et oui. Je posais un regard sur elle avec un grand sourire en disant « Tu n'as pas totalement tord ! Et au moins eux ne nous brise pas le cœur ! Ils sont pas chiant ! Et ils passe aussi l'aspirateur ! ». Ca c'était en parlant du fait qu'ils mangeaient tout ce qu'on faisais tomber par terre. Quand j'étais en cuisine ils étaient toujours là dans mes pattes, à attendre que quelque chose tombe. Je rajoutais « Je suis sûr même que un chien vaut encore plus que cinq mec ! ». Je disais ça mais j'avais Caleb. Et je l'aimais plus que tout au monde. Mais regardais cela faisais sept ans qu'on vivait ensemble, qu'on était en couple. Et plus de dix ans qu'on se connaissais et nous étions toujours pas marié et nous n'avions toujours pas d'enfants. Malgré que nous nous aimions plus que toi & adorons les moments passé ensemble nous restions assez indépendant dans notre quotidien. Mais l'amour était là et réellement là. Je crois juste que j'avais trouvée la perle rare. Je souris et je lui dis « Crois pas Caleb c'est ma perle rare, y en a pas beaucoup des comme lui ! Viens je veux te montrer quelque chose ! ». Je lui offrit un grand sourire. Je sifflais les chiens pour qu'ils me suivent. Ils déboulèrent près de nous tout content. Et nous suivirent. On arrivais près d'un arbre. Et du doigt je lui montré, y avait C & C. Je lui souris et je dis « C'est notre arbre a Caleb & moi ! Quand on venait ici tout les deux, car maintenant on y vient plus très souvent ! & je suis certain qu'un jour toi aussi tu auras ton initial au côté de celui de ton âme sœur car oui comme tout le monde tu le trouveras un jour ! ». J'étais ce genre de fille qui croyais à l'âme sœur et au coup de foudre. Car je l'avais trouvé & vécu alors je ne pouvais que y croire. Je posais mon bras sur les épaules de la belle et je rajoutais « Raconte moi ta vie un peu alors ? Des nouvelles ? Qu'est-ce que tu me racontes de beau ? ».

» Confidences pour Confidences ♣ Charlie
» Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT)
» Charlie&Ali ♦ Les pigeons ... Ca craint !
» CHARLIE ♦ Je veux vivre a en crever ♦ FINISH
» CHARLIE ♦ Pour un nouveau départ ♦ FINISH

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