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 Une partie ça te dis ? [ISMAEL]

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MessageSujet: Une partie ça te dis ? [ISMAEL]   Une partie ça te dis ? [ISMAEL] Icon_minitimeMar 15 Mar - 6:30



ISMAEL & CHARLIE


« Je t'aime ma belle a ce soir ! ». J'étais à l'étage en train de faire le ménage. Et oui déjà de bon matin j'étais a fond. J'avais profité de mettre levée tôt pour faire le ménage dans la maison avant de partir à la bibliothèque. Je me penchée au dessus de la rambarde « Je t'aime aussi à c'soir ! ». La porte claqua et je retournais a mon balai. Sur les coups de sept heures trente, donc vingt minute après. Je partis à la douche vite fait, je m'habillais et jusqu'à environ quatorze heures j'étais dans la bibliothèque avec tout mes bouquins. A traduire tel ou tel page, tel ou tel langue. Pour certaine personne c'était barbare pour d'autre comme moi c'était passionnant et on ne s'en lassais jamais. Bref, je retournais à la maison. Je sortis rapidement les chiens. Le temps qu'ils se dégourdisse un peu les temps, pipi ,caca et hop retour à la maison. Durant quelques heures, j'allais au grenier et fouillais dans le grenier dans les cartons qui étaient encore fermé depuis que j'avais emménagée ici. Je grimpais au grenier, ça sentait le vieux le renfermé. J'appréciais cette odeur. Je chopais un carton, l'ouvrit et fouillais à l'intérieur. Puis un autre et un autre. Tellement de souvenirs dans ces boites. Des souvenirs de mon enfance, des choses que j'avais gardée et que je ne voulais pas me débarrasser. Je retrouvais une vieille brosse à cheveux. Je m'en rappelais encore c'était la première fois que mon frère tenait une brosse à cheveux et me coiffée. Je crois que mes cheveux s'en souvienne encore. Puis je retrouvais, un vieux journal intime, quand je l'ouvris au milieu de ses pages jaunies, j'arrivais à discerner 1991. J'avais neuf ans à cette époque là. Mes lèvres s'étirèrent d'un grand sourire. Je me levais et allée choper un autre carton. Quand je l'ouvris, je retrouvais un vieux ballon de basket. J'éclatais de rire. En repensant à ce ballon. Dans la cour d'en bas de notre grande maison, avec mon frère on appréciais jouer au basket. Bien sûr il me laissais toujours gagner. Car il voulait pas trop me faire pousser par rapport à mon cœur. Et pourtant je me défoulais, allant toujours à la limite du raisonnable. D'ailleurs souvent il me disais d'aller plus doucement. Mais j'adorais jouer au basket, à ma manière. J'eus une envie soudaine de jouer. J'avais du temps.

J'enfilais un jogging, des baskets. Je pris mon iPod, mis de la musique à fond. Je pris le ballon sous mes mains. Je quittais la maison. Et autant commencer à se mettre dans le bain non ? Alors c'est tout doucement en courant sans trop m'essouffler que j'allais au complexe sportif. Je savais que là-bas il y avait un terrain de basket. Il devait à présent être sur les coups de dix huit heures. J'arrivais au terrain de basket. Je m'arrêtais au milieu du terrain mes cheveux bruns secouait de droite à gauche se calmé doucement. Je levais la tête vers le panier. Je devais quand même être pas mal rouillée. Depuis les années où je n'avais pas jouée. Je fermais les yeux et je revis comment mon frère tenait le ballon. Je rouvris les yeux et balançais le ballon …. Loupé ! D'un côté fallait s'en douter. J'étais tout de même sûr que d'ici peu de temps je serais « correctement » y rejouer. Je fis quelques dribbles avant de retirer. Le ballon rentra. Et comme une gamine je me mis à sauter de joie. Oui je m'enflammer pour très peu. Quand je me retournais. J'eus la surprise de voir un jeune homme que je connaissais bien. D'ailleurs pour jouer en duel je crois que c'était un bon adversaire. Sportif. On avait l'habitude de faire du sport ensemble. Et je l'appréciais. Je m'approchais de lui et je déposais un baiser sur sa joue. Et je dis « Bonjour ! Tu vas bien ? ». J'étais toute souriante et pétillante comme toujours. Je trépignais presque sur place. Et puis en soulevant le ballon je lui demandais « Une partie ça te dis tout les deux ? »
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MessageSujet: Re: Une partie ça te dis ? [ISMAEL]   Une partie ça te dis ? [ISMAEL] Icon_minitimeLun 21 Mar - 7:31

Mes mains me démangeaient atrocement. Comme à chaque fois que je ne bossais pas. J’avais envie d’entendre le cliquetis des ciseaux, de l’eau tiède rinçant des mèches colorées, le ronronnement des sèche-cheveux mettant des chevelures en forme. J’étais un vrai drogué de la coiffure, à la fin. En même temps, c’était bien de faire un métier qu’on aimait. Surtout qu’à mes yeux, c’était plus un jeu qu’autre chose. Enfin, aujourd’hui, une petite stagiaire me remplaçait. Evidemment, c’était moi qu’on évinçait en premier, systématiquement. La patronne trouvait que je travaillais trop. Je savais bien que c’était pour mon bien et parce qu’elle m’appréciait qu’elle ne voulait pas que je me tue à la tâche, mais quand même. Je ne venais déjà pas le samedi à cause de ma religion, quoi. Elle pouvait donner congé à une de mes collègues, pour une fois, elle saurait bien mieux comment profiter de son congé. Moi je restais toujours scotché devant la télévision à regarder les chaînes zen en me demandant à quoi elles pouvaient bien servir. Souvent, je m’endormais devant. Donc, je ne faisais que perdre de précieuses heures que j’aurais pu passer à faire des coupes à mes clientes. Ma patronne est une femme illogique, fin de la démonstration.

Comme j’ignorais quoi faire et que je sentais encore une journée très entamée et totalement inutile se profiler à l’horizon, je décidai d’aller faire un peu de sport. J’avais remarqué ce matin que j’avais pris un kilogramme trois cents, ce qui me déprimait autant que si on m’avait annoncé qu’il n’y aurait pas une nouvelle saison de Desperate Housewives. Je pariai que c’était dû à mon manque d’activité. J’étais beaucoup trop cloîtré à l’appartement ces dernières semaines. Il m’aurait bien fallu une Charlie dans les parages pour me motiver. Hum, sans doute que je la croiserais à la salle de sport. De toute façon, si elle n’y était pas, dans le pire des cas, il y aurait toujours des sportifs canons pratiquant leur passion torse nu. Ouais, le complexe sportif était une bonne idée, à la fois bénéfique pour ma santé mentale, mon physique et mes yeux. Ce fut en particulier ce point-là qui me convainquit de m’y rendre. Les beaux garçons avaient le chic de me donner l’envie de faire n’importe quoi. Evidemment, comme d’habitude, il n’y en aurait aucun qui me trouverait à son gout. Mais bon, on ne peut pas tout avoir, et puis, à force, je n’y prêtais même plus attention. Tant qu’ils me laissaient mater, moi, ça me convenait parfaitement… J’enfilai short, t-shirt trop large, chaussettes de tennis et baskets, le tout magnifiquement assorti – je vous assure que je suis le seul type au monde à me soucier de la mode quand je vais faire du sport –, attrapai un sac, bouteille d’eau, serviette et compagnie, puis partis en sprint jusqu’à la salle, toute proche. Bah oui, j’avais hâte, quoi. De toute manière, je n’ai jamais été foutu de faire comme tous les gens normaux.

Il faisait bon, malgré l’heure. Cependant, au dehors, c’était désert, excepté sur le terrain de football. Football américain, des brutes casquées, pas très sexy, en somme. Ce que je pouvais regretter Londres et ses vrais footballeurs avec leur short moulant. Bon, allons voir du côté des basketteurs, quoiqu’il ne devait pas y avoir foule non plus. J’arrivai tranquillement et je reconnus Charlie qui s’entraînait au lancer franc, me semblait-il, je souris en allant me poster derrière elle. Elle venait de marquer et elle sautait de joie. J’applaudis son exploit. Elle se retourna, me reconnut et me fit la bise avant de me dire bonjour. « Oui, ça peut aller. Et toi ? T’as décidé d’intégrer la NBA ? » fis-je en rigolant. Elle me proposa une partie, ce à quoi je répondis en lui piquant le ballon et en le projetant tout droit dans le panier. J’exécutai ma danse de la victoire, tout attardé que j’étais. « Le premier à vingt-et-un ? Je vais te ratatiner. » Je riais de bon cœur en lui envoyant la balle, celle-ci avait d’ailleurs atterri au bon endroit par pure chance. Oui, parfois, j’en avais.
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