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 Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT)

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MessageSujet: Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT)   Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT) Icon_minitimeMar 15 Mar - 12:34


    Alors que je montais dans ma voiture, je balançais quelque peu ma paperasse sur la banquette arrière. Assis sur le siège conducteur, je défis les plus hauts boutons de ma chemise et desserra ma cravate. J’avais eu une grosse journée au boulot, j’étais fatigué et je n’avais d’envie que d’une chose, rentrer et me mettre à l’aise. Un bon dîner, un bon bain ou juste un bon film, peu importe. J’avais juste un grand besoin de me relaxer. Il était déjà sept heures du soir. Charlie devait déjà être rentrée a la maison. J’avais hâte de retrouver ma petite femme, j’avais hâte de la prendre dans mes bras et j’avais hâte de l’embrasser et lui dire à quel point je l’aime. Je démarrais donc ma voiture, le parking du bureau était pratiquement vide, mais pas complètement. Ma journée avait été chargée, mais Dieu merci, je n’étais pas le dernier à quitter le travail, pas ce soir tout du moins.


    Alors que je patientais déjà à un feu rouge, je décidais d’allumer la radio. Somewhere Only We Know était en train de tourner. Je montais le volume un peu plus fort. La rue était déserte, le temps était pluvieux, je suppose que personne ne sort pour se promener sous la pluie. J’ai toujours aimé la pluie. Je trouve cela relaxant, m’endormir au son des gouttes d’eau venant ruisseler sur les vitres, je trouvais cela apaisant, et même romantique. Les dimanches pluvieux sous la couette, ce n’est pas une légende urbaine ! Rien de mieux pour terminer un week-end et être boosté pour la semaine. Le feu passa au vert et je pus rouler.En conduisant, je pensais à ma journée, à tout ce qu’il c’était passé, mais en le réalisant, je secouais la tête comme si je voulais absolument me sortir le travail de la tête. J’avais eu ma dose pour aujourd’hui. J’étais en plein de la publication d’un nouveau roman. L’auteur avec qui je travaillais était un vrai con. Il ne cessait de reculer ses dates de remise de chapitre et il était toujours en retard aux rendez-vous. Malheureusement étant l’un des meilleurs auteurs que l’entreprise ait en ce moment, il était difficile pour moi de dire quoi que ce soit. Avec ce nouveau livre, il pourrait nous rapporter pas mal et il était hors de question de laisser cette occasion en or nous passer sous le nez. En plus de cela, si j’arrive à mener ce dossier à bien, j’allais certainement être promu associé. Je n’allais pas abandonner si proche du but tout de même ! Ce n’est pas mon genre et ça ne l’a jamais été. La circulation étant inexistante, il ne m’avait fallu que quelque dix minutes supplémentaires pour apercevoir notre allée de garage. J’allais pouvoir enfiler un bon jean et un simple t-shirt. La pluie continuait de battre son plein lorsque j’ouvris la porte du garage à l’aide de ma commande électronique. Je n’avais qu’à descendre de la voiture à l’abri du garage, tant mieux, j’aime le son que produit la pluie, mais je déteste être mouillé. J’inspirais un bon coup, attrapais mes papiers posés grossièrement sur la banquette arrière et sortais enfin de la voiture. A quelque mètres de moi, la voiture de Charlie était là, comme si elle m’attendait.Malgré mes bras chargés, j’arrivais à ouvrir la porte communicante donnant sur l’entrée de la maison. Je décidais de poser mes dossiers sur l’un des meubles du couloir, je sais que Charlie déteste que je m’éparpille partout dans la maison, mais que voulez-vous ? Je suis désordonné et surtout, je suis extenué. Je n’ai pas la force (physique et mentale) de prendre la peine de poser tout ça dans mon bureau. Je mourrais de faim. Après avoir retiré mes chaussures, je m’avançais à pas de souris vers le salon, la salle à manger et la cuisine.La joie de vivre en Amérique, les pièces sont toutes ouvertes les unes sur les autres.

    « Charlie ? Je suis rentré ! »


    Alors que je tournais pour tomber nez à nez avec la cuisine, je la voyais enfin. Elle était tournée vers le four, apparemment en train de cuisiner. Marchant un peu plus vite j’allais me laisser tomber sur le canapé, la télé étant déjà allumée. Je savais que ça allait la faire enrager, mais tant pis. Moi j’allais rigoler un peu. J’avais bien besoin d’un bon petit rire après une journée de dur labeur.

    « Où est mon dîner femme ? J’ai faim ! »


    Je patientais quelques secondes histoire de voir une réaction venir. Je m’étais tourné dans le canapé et la fixais, les yeux dépassant du dossier, je devais ressembler à gosse attendant de voir la réaction de sa mère après avoir dit un gros mot.Charlie s’était retourné et elle me regardait d’un air mécontent. Je me levais donc en vitesse, contournais le sofa et m’avançais vers le comptoir de la cuisine. Je fis mon sourire ravageur auquel elle ne peut résister, puis en quelques secondes, je m’approchais d’elle, l’enlaçant amoureusement. Je me mis dans son dos et entoura son corps de mes bras, posant mon menton sur son épaule et commençant à l’embrasser dans le coup. Je ne pouvais pas résister à ce parfum. Son parfum… Elle sentait si bon et sa peau était si douce. Ma Charlie. Ma douce Charlie. Une journée sans elle et voilà que je ne pouvais déjà plus tenir.Même après 7 ans, j’étais toujours amoureux comme au premier jour.

    « Hum mm… Excuse- moi chaton. Je plaisantais. Tu sais que je te respecte trop pour un jour te parler comme ça ! »


    Je fis mes petits yeux de chien battu pour qu’elle me pardonne. Elle était si belle que je ne voulais pas la lâcher, je ne voulais pas non plus arrêter de l’embrasser. Je la fis tourner sur elle-même et l’attrapa par la taille tout en l’attirant vers moi. Je lui volais un baiser qui dura quelques secondes. J’étais déjà beaucoup plus détendu pour le coup et surtout, je me sentais vraiment à la maison. Enfin, je me décidais à la lâcher. Je continuais de lui sourire tout en retirant totalement ma cravate cette fois. Je repassais derrière le comptoir et commençais à déboutonner ma chemise.

    « Je vais aller me changer. Je ne supporte pas ces habits pour rester à la maison. Tu sais ce que je dis ?! Un jean et un vieux t-shirt, y’a que ça de vrai ! »


    Je fis un rapide clin d’œil à l’intention de Charlie et couru à l’étage pour me changer. J’aimais beaucoup cette maison. Elle était pratique, grande et ordonnée. Nous avions eu beaucoup de chance de la trouver encore sur le marché et surtout à un prix raisonnable. En entrant dans notre chambre, je me dirigerais vers la salle de bain. J’adorais passer mon temps dans cette chambre, avec Charlie bien sûr. Je la trouvais cosy et relaxante. Le lit était un vrai paradis. J’enlevais ma chemise, la laissant tomber sur le sol. Je m’éclaboussais ensuite le visage avec de l’eau bien chaude.Me séchant le visage dans une serviette, je retournais sur mes pas pour trouver un t-shirt à mettre. Je pris le premier qui me passait sous la main. Un simple haut noir qui laissait voir mes tablettes de chocolat, ou du moins qui les laisserait être devinées, si j’en avais réellement. Et je ne parle pas de quelques abdos, je n’ai pas de graisse, mais de la musculature, cela dit, je ne suis pas musclor. Déboutonnant mon pantalon, je le laissais glisser sur mes jambes. J’enfilais ensuite un jean ni trop large ni trop moulant. Le simple jean droit de base si vous préférez. Je retournais une dernière fois dans la salle de bain pour me passer un coup dans les cheveux et un peu de déodorant, avant de finalement redescendre.

    « Alors ? Comment était ta journée ? Quelqu’un t’as fait des malheurs ? Tu peux me le dire hein ?! Parce que si jamais quelqu’un t’embête, je vais lui casser la gueule ! »


    J’avais pris ma grosse voix pour lui dire cela. Elle savait très bien que je n’étais pas bagarreur pour un sous. Cela dit il ne vaut mieux pas s’en prendre à Charlie si vous voulez rester dans mes petits papiers. Je ne suis pas violent, mais je ne me laisse pas faire non plus, et si jamais on touche à un seul cheveux de ma chérie, alors la je risque de ne pas être aussi gentil que cela. Alors que j’attendais de savoir ce qu’elle avait fait de beau dans sa journée, j’ouvrais un placard d’où je tirais deux assiettes. Puis je me tournais vers Charlie d’un air interrogateur.

    « Dîner à table, sur le comptoir ou plateau télé ? »


    N’étant que deux, nous ne faisions jamais très conventionnel. C’était même plutôt relax chez nous. Peut-être que si un jour nous avons des enfants, les choses changeront et nous nous mettrons à manger autour d’une table tous les soirs, mais en attendant, il était rare que nous nous asseyions autour de la table de la salle à manger. Le comptoir de la cuisine était amplement suffisant. Parfois nous étions tous les deux trop fatigués pour rester un minimum sérieux et nous nous plantions simplement devant la télévision. Peu importe l’endroit, nous maintenions toujours un minimum de conversation.



Dernière édition par Nathan Caleb Silvensons le Dim 20 Mar - 5:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT)   Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT) Icon_minitimeMer 16 Mar - 0:13

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♥ CALEB & CHARLIE



« I Was Born To Tell You I Love You »


Je sortais de la bibliothèque sur les coups de dix sept heures, je montais dans ma voitures, mettant mes bouquins sur le siège passager. Je mis le contact et je partis vers la maison. J'avais eu une journée assez éprouvante, j'avais transmis en début de matinée mon article de dix pages à mon patron, sur ses pages étaient écris toute mes hypothèses sur l'événement sur lequel j'avais bossée durant plus d'un mois. Passant des heures entière à traduire des livres entier, passant par tout les dictionnaire possible et inimaginable. J'avais après réussi à finir l'article à temps dans lequel j'exposais toute mes hypothèses et mes idées ainsi que mes conclusions. Je tournais à droite et je finis par arriver devant la maison. J'étais assez inquiète du fait que mon patron ne m'est toujours pas appelé, j'avais peur de ne pas l'avoir convaincu. Mais bon je me faisais patience et j'attendais. Je me garai la voiture alors que la pluie tombée encore. Je rentrais rapidement en courant dans la maison. J'enlevais mes chaussures pour ne pas salir la maison, puis j'entrais plus et déposais mes bouquins sur la table et installée ma veste sur le dossier d'un siège. J'enlevais le chouchou qui me retenais les cheveux et je secouais ma tignasse. Je montais à l'étage où je me mis à l'aise. La petite minette vint me voir et je me mis à la câliner. Avant d'aller vers la salle d'eau. Je brossais mes cheveux et l'est rattachée en une queue de cheval haute. Maintenant que j'étais à l'aise. Je redescendis. J'allais vers la cuisine. Où je sortis le plat pour faire à manger. J'avais envie de faire des pizzas. Alors je sortis tout ce dont j'avais besoin, farine etc. J'étais pas la meilleure de toute les cuisinières j'avoue mais je m'en sortais quand même. Je fis la pâte. Que je laissais poser durant une heure. Pendant ce temps j'allais allumer la télé. Les deux chiens que nous possédions était couchés dans leur panier. Je souris en les voyants. Et la minette qui c'était installée entre eux. C'était un jolie tableau. Bref je m'installais un peu sur le canapé afin de me détendre un peu devant la télé. Puis quand le minuteur sonna. Je me levais et je sortis la sauce tomate que j'avais faite y a quelque jour et comme il en restait je l'avais congelé et l'a je l'avais décongelé, la crème fraîche, jambon, fromage et je préparais mes pizzas. Deux ça suffisait largement pour nous deux. Juste quand je l'ai enfilée dans le four j'entendis « Charlie ? Je suis rentré ! » . Je mettais le thermostat et les minutes et je me relevais. Il était affalé sur le canapé. Un grand sourire s'étira sur mes lèvres juste avant qu'il me dise « Où est mon dîner femme ? J’ai faim ! » . Vivement je me suis retournée, pas très contente. Je détestais qu'on me parlé ainsi.

Je retournais à ma tâche dans la cuisine, essayant tout le bazar que j'avais fait avec un petit air boudeur de gamine. Je le sentis arriver derrière moi, je tournais légèrement la tête avant qu'il entoure mon corps de ses bras. Il posa son menton sur mon épaule et commença à m'embrasser dans le cou. Et là forcément je ne pu m'empêcher de sourire, il me dit « Hum mm… Excuse- moi chaton. Je plaisantais. Tu sais que je te respecte trop pour un jour te parler comme ça ! » . Il avait des yeux de chiens battu. Je lâchais un petit rire avant de répliquer « Fait pas cette tête ! Tu sais que je te pardonne ! ». C'est vrai que je n'étais pas la plus pénible des femmes. Je pardonnais presque tout. Et surtout ça, je savais qu'il avait plaisanté et ça sera bête de pas pardonner pour une chose aussi bête. Surtout que Caleb je l'aimais comme une folle. Et je ne pourrais certainement pas imaginer ma vie sans lui. Je crois que sans lui je serais trop perdue. Il occupait chaque parcelle de moi. Et je l'aimais plus que tout sur terre. Il me fit tourner sur moi-même, et m'attrapant par la taille pour m'attirer à lui il me vola un baiser qui durant un petit temps. Je lui rendis son baiser. Ça faisais du bien après toute une journée. C'était apaisant et rassurant. Finalement il me lâcha. Et commença a enlever sa cravate puis en passant derrière le comptoir en déboutonnant sa chemine il me dit « Je vais aller me changer. Je ne supporte pas ces habits pour rester à la maison. Tu sais ce que je dis ?! Un jean et un vieux t-shirt, y’a que ça de vrai ! » . Il m'adressa un clin d'œil et je lâchais un petit rire, je dis rapidement « Ta raison fait donc ! ». Je finissais de ranger la cuisine rapidement. Elle était toute nickel. J'allais ranger ce qu'il avait laissé traîner en rentrant. Maniaque ? Non j'aimais juste quand la maison était rangée. Déjà qu'elle était grande, alors si en plus on laissait tout s'accumuler on s'en sortirais certainement pas. Alors je rangeais et nettoyer au fur et à mesure. Je retournais en cuisine voir où en était les pizzas et je l'entendis redescendre et me dire avec sa grosse voix « Alors ? Comment était ta journée ? Quelqu’un t’as fait des malheurs ? Tu peux me le dire hein ?! Parce que si jamais quelqu’un t’embête, je vais lui casser la gueule ! » . Je me mis à rire. Il était pas bagarreur du tout. Et en fait j'avais du mal à l'imaginer mettre son poing dans la figure de quelqu'un. Mais ce que je savais très bien c'était que si un jour quelqu'un venait à me faire du mal il ne serait plus si gentil que ça. Et c'était rassurant et sécurisant. C'était ça aussi être amoureux. Ce sentir en sécurité et rassuré dans les bras de l'homme que vous aimiez non ? Je l'avais trouvée et j'étais extrêmement bien avec lui. C'était mon Caleb et je me demandais encore aujourd'hui comment j'avais fais pour attendre si longtemps avant que l'on se mette en couple. C'est vrai après tout on se connait depuis plus de dix ans et cela faisait sept ans que l'on partagé une vie de couple. Je finis par lui répondre « Ma journée était stressante ! J'ai rendu mon article à mon cher patron, tu sais celui sur lequel je travaillais depuis plus d'un mois ?! J'attends son avis, il m'a toujours pas appeler ! C'est stressant ! Et personne m'a fait des malheurs ! A part la table que je me suis pris dans la hanche à la bibliothèque ! ». Oui dans le genre maladroite j'étais la number 1. Toujours à me prendre les choses dans les pattes et tout et tout. Je fis un énorme sourire à Caleb, alors qu'il sortait deux assiettes du placard, il me demandais « Dîner à table, sur le comptoir ou plateau télé ? » . Je fis genre de réfléchir avant de dire tout excité comme une gamine « Plateau télé ! J'ai le repas qui va avec ! Pizza !! ». Je désignais le four. D'ailleurs fallait que je l'ai sorte du four. Je me baissais, mis les gants et je l'ai sortit. Elles étaient toute belle. J'étais fière de mes pizzas sauf que maintenant fallait savoir si elles étaient bonne. En l'es emmenant sur la table basse, je demandais à mon cher amour « Et toi alors ta journée raconte moi ?! Ça c'est bien passé ? ». J'étais curieuse de le savoir. Je retournais vers la cuisine, mon chemin croisa celui de Caleb et je l'attrapais au passage et déposa un furtif baiser sur ses lèvres. Ça m'avait trop tenté. Je rigolais légèrement avant d'aller au frigo prendre le coca-cola. Et au passage je chopais la boite de médicament que je devais prendre à cause de ma malformation cardiaque. Et je retournais sur la table basse. Je crois qu'il ne manquait rien. L'avantage d'être deux c'est qu'on pouvait faire ça.
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MessageSujet: Re: Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT)   Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT) Icon_minitimeMer 16 Mar - 14:09


    Après avoir déposé les assiettes sur le comptoir, attendant de les remplir de nourriture, j’écoutais Charlie me raconter sa journée.Apparemment je n’étais pas la seul à avoir eut une sale journée. J’avais pris un air plus sérieux au fur et a mesure qu’elle me disait ce qui lui était arrivé. J’étais resté bloqué sur le fait qu’elle était angoissée, je détestais lorsqu’elle l’était, j’avais toujours peur que ça lui provoque quelque chose au niveau du cœur. Lorsqu’on en venait à elle et sa santé, je me faisais toujours beaucoup plus de soucis que pour moi-même ou pour les autres. Charlie est plus sensible, plus fragile. Si ça ne tenait qu’à moi, je la garderais dans une tour, rien ne pourrait la toucher, la blesser ou la mettre en danger, et je ne la garderais que pour moi. Mais si je faisais cela, elle ne serait pas heureuse, et son bonheur, oui, son bonheur c’est la chose que je veux le plus au monde. Alors si, pour la rendre heureuse, je dois accepter de la laisser prendre des risques, ou si je dois passer mes jours et mes nuits à m’inquiéter que son cœur bat encore, je le ferais. Peu importe ce que je veux, le plus important c’est qu’elle fasse et aie ce qu’elle mérite. Alors qu’elle prenait un coca dans le frigo, je la regardais du coin de l’œil. Au même moment, elle venait d’attraper une boîte de médicament qu’elle prenait chaque soir. J’étais habitué à tout ça, mais ça ne me faisait pas plus plaisir avec le temps. Parfois, je me disais qu’il serait plus simple de m’arracher le cœur pour le lui donner, au moins elle n’aurait plus à prendre toutes ces cochonneries. Je détestais la voir prendre des médicaments, même si je savais que c’était pour son bien. Il m’arrivait d’oublier qu’elle était malade, dans ces moments-là, je n’avais pas à m’inquiéter, mais d’autres fois, je paniquais comme un fou au point que c’était moi qui avais le cœur le plus proche de la crise cardiaque. Le simple fait de la voir s’agiter, s’énerver ou s’angoisser était suffisant à me faire me questionner. Elle venait de me dire que nous allions avoir de la pizza faite maison pour le dîner. Charlie était loin d’être la meilleure cuisinière du monde, mais elle apprenait un peu plus tous les jours et j’étais persuadé que part le temps où nous serions devenus deux vieux croûtons, elle serait enfin une vraie petite chef ! Dans tous les cas, ses pizzas sentaient bon et donnaient envie. Je pris une part et la posais dans mon assiette. Charlie était déjà installée devant la tele, elle avait posé ses petites affaires sur la table basse. Après ma journée, je n’étais pas vraiment dans l’ambiance d’un coca. Il me fallait un truc un peu plus fort. Je pris un verre et cherchais dans le frigo pour une bouteille de vin entamée la veille. Je ne buvais jamais d’alcool trop fort devant Charlie, mais au moins le vin était toujours mieux que de l’eau ou un simple soda, c’était juste histoire de me détendre. Je versais le vin dans le verre prévu à cet effet et porta mon assiette jusqu’au salon. Je la déposais sur la table basse à mon tour, gardant mon verre de vin a la main et en buvant une rapide gorgée. Je m’installais confortablement sur le canapé, tachant de réfléchir à la meilleure façon de répondre à Charlie. Ma journée, tout comme la sienne, avait été plutôt « sympathique » si vous voyez ce que je veux dire, mais m’ayant déjà dit ce qu’il en était pour elle, je n’avais pas envie de trop l’inquiéter avec mes problèmes au travail. Je me serrais le plus possible contre elle, rebuvant une gorgée de mon vin.
    « Humm. Ma journée est déjà bien mieux maintenant que je suis rentré, avec toi… »
    Je lui fis les yeux doux. Si nous n’étions pas en train de manger, je l’aurais bien embrassé et plus si affinité. En fait, j’avais même très envie d’un câlin. Mais bon, j’allais attendre un peu, le temps d’au moins finir de dîner. Je posai mon verre sur un sous-verre et pris mon assiette sur mes genoux, dévorant ma grosse part de pizza.Ayant beaucoup travaillé et n’ayant pas vu le temps filer, je ne m’étais même pas arrêté pour prendre mon lunch ce midi. Je fixais la télé quelques instants avant de me retourner vers Charlie.
    « C’est délicieux. Tu t’améliores de jour en jour ! Et c’est un compliment… »
    Je lui souris et lui caressa le bras avec ma main libre. Je la dévorais des yeux et j’avais vraiment du mal a ne pas la prendre dans mes bras pour lui faire un câlin, sentir encore un peu plus sa présence auprès de moi. J’avais envie d’enfouir mon visage dans son cou, passer mes mains dans ses cheveux, glisser mon corps tout près du sien, poser mes lèvres sur les siennes… Elle me rendait fou, jours après jours, elle me rendait dingue, dingue, dingue !
    « Je sais que nous avons tous les deux eut une journée difficile, mais … Tu crois que tu auras la force pour un petit dessert ? »
    J’avais dit cela d’un air innocent, je ne m’attendais pas à une nuit d’amour, juste quelques bisous et caresses, rien d’anormal pour un couple, rassurez-vous. Je me pinçais les lèvres avant de sourire de plus belle.
    « Tu comprends ? C’est que tu es si belle et que je t’aime tellement… Tu es mon péché mignon, je ne peux pas te résister. »


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MessageSujet: Re: Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT)   Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT) Icon_minitimeJeu 17 Mar - 1:11

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♥ CALEB & CHARLIE


« Everything I Do .... I Do It ForYou »


J'avais préparée à manger, je n'étais pas la meilleure de toute les cuisines, j'étais très loin d'ouvrir un restaurant. Mais je m'en sortais de plus en plus enfin j'essayais. Ce soir j'avais préparée deux pizzas. Il m'avait demandé comme avait été ma journée. Alors je lui avais répondu franchement, qu'elle avait été stressante, vue que je n'avais pas encore eu des nouvelles de mon patron quant à mon article et ça me stressais beaucoup de ce fait. Quoique depuis qu'il était rentrée je l'étais beaucoup moi. Et pour cause Caleb occupait toute mes pensée. Au fur à mesure que je lui racontais, j'avais bien vue son air de plus en plus sérieux. Et je savais de ce fait qu'il s'inquiétait. S'inquiétait pour moi, pour le stresse que j'éprouvais et ce que cela pouvait donner à mon cœur. J'aimais plus que tout Caleb et je n'aimais pas quand il s'inquiétait pour moi. Même si le fait de s'inquiétait à ce point prouvé qu'il tenait à moi tout autant que moi je tenais à lui. Alors que la table était toute prête sur la table devant la télé. Je retournais en cuisine prendre un soda et ma boite de médicament. C'était tellement devenu une routine maintenant de les prendre. Puis j'allais m'installer sur le canapé. Où tout était installé. J'avais trouvée nécessaire de lui dire que les pizzas étaient faite par mes propres soins. Au moins si ça avait un goût horrible on savait très bien à qui s'en prendre. Là installé sur le canapé, il manquait quelqu'un au tableau. Et c'était mon Caleb. Mon regard se portait donc sur lui, il avait pris la bouteille de vin et le verre pour l'accompagner. Puis il s'en servis un verre et en prenant son assiette il me rejoignis sur le canapé. Il posa son assiette sur la table basse et bu une gorgée de son breuvage. Pour ma part j'ouvris ma canette de coca et je m'en versais dans mon verre. Il s'installa enfin confortablement sur le canapé. A présent je me sentais moins vide. Avec lui à mon côté. C'est fou comment je pouvais l'aimer. Avoir autant besoin de lui, de sa présence. De tout. Je l'aimais autant que la première fois. Et quand il m'embrassais j'éprouvais exactement la même chose, le même désir, la même passion que la toute première fois où mes lèvres avaient touchés les siennes. Je lui avait retourné la question, pour savoir comme sa journée à lui c'était passé. Il se serra plus contre moi. Et mes lèvres s'étirèrent d'un grand sourire. Il rebut une gorgé et dit « Humm. Ma journée est déjà bien mieux maintenant que je suis rentré, avec toi… ». Je lui offrit un énorme sourire, il avait évité de me dire comment avait été réellement sa journée. De tout me raconter. Mais il avait rajouté quelque chose qui faisais plaisir néanmoins. Je répondis taquine « Tricheur ! Tu as quelque peu évité comment dire … de me dire réellement ta journée ! ». Je soupirais toujours avec ce grand sourire avant de reprendre « Mais tu sais ma journée est aussi beaucoup mieux maintenant que tu es tout prés de moi ! ». C'est vrai à présent j'étais beaucoup moins stressé et je ne pensais plus à cet article, au coup de fil de mon patron. Je ne pensais qu'a Caleb et de notre soirée à tout les deux. Rien que tout les deux. Je me baissais légèrement pour attraper ma boite de médicament et j'en pris deux, j'attrapais mon verre de coca et j'avalais le tout d'une gorgée. Oui généralement fallait éviter de prendre des médoc avec des sodas. Mais je le faisais que très rarement. Ça n'allait pas me tuer hein ! Puis j'attrapais mon assiette avec ma part de pizza déposé dessus. Et je croquais dedans. Humm ça va c'était bon. Je ne m'étais pas loupée. J'étais contente de moi évidemment. Même si elle n'était à mon avis pas parfaite. Puis Caleb me dis « C’est délicieux. Tu t’améliores de jour en jour ! Et c’est un compliment… ». Ceci me fait très plaisir. Il me sourit et me caressa le bras. Mon sourire s'élargit encore plus. Je répondis « Mercii c'est très gentil ! ». Soudain j'avais plus tellement envie de finir mon bout de pizza. J'avais envie de l'embrasser. Et sentir mes lèvres contre les siennes. Je me mordais la lèvre inférieure. Puis il me dit « Je sais que nous avons tous les deux eut une journée difficile, mais … Tu crois que tu auras la force pour un petit dessert ? ». Il avait ce petit air innocent là. J'avais largement la force pour un petit dessert. Pour lui je l'aurais toujours d'ailleurs. Je rigolais légèrement. Avant qu'il ne rajoute « Tu comprends ? C’est que tu es si belle et que je t’aime tellement… Tu es mon péché mignon, je ne peux pas te résister. » . Alors là ce fut le top du top. Je posais mon assiette sur la table. Je pris son assiette et lui posé sur la table, à côté de la mienne. Et dans un mouvement contrôlé. Je me retrouvais à cheval sur lui. Je posais mes mains sur son doux visages et je ne l'embrassais pas de suite même si j'en mourrais d'envie. A la place je lui dis « C'est adorable ce que tu viens de dire ! & tu sais que quand tu es là tout le reste n'existe plus il n'y a plus que toi ! Je t'aime comme une dingue, comme au premier jour et il en sera jamais autrement ! ». Je le regardais dans les yeux, je passais ma main dans ses cheveux, je me pinçais la lèvre inférieure et enfin je plaquais mes lèvres sur les siennes. Un baiser plein d'amour et de passion.
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MessageSujet: Re: Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT)   Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT) Icon_minitimeVen 18 Mar - 15:00


    Après quelques bouchées de pizza, je n’avais faim que d’une chose, ou plutôt que d’une seule personne. Après mes petites avances, Charlie laissa tomber sa part de pizza dans son assiette qu’elle mit de côté. Elle passa l’une de ses jambes au-dessus des miennes, se retrouvant à cheval sur moi. Elle passa ses mains si douces sur mon visage mal rasé. Pendant quelques instants, nous ne faisions rien de plus que d’échanger un simple regard. Ses magnifiques yeux se plongèrent dans les mieux et en moins de deux secondes, je me retrouvais perdu en elle. J’avais dû être sacrement bon dans une vie antérieure pour mériter une fille comme elle. Je posais ma main sur ses jambes, proche de son joli petit derrière. J’avais toujours un faible pour les fesses de Charlie. Je suis un homme après tout, je ne me privais pas d’admirer les jolies choses. Lorsqu’elle me demandait conseil pour s’habiller (ce qui en fait n’arrivait pas si souvent que cela), je choisissais toujours ce qui lui moulait le plus son popotin de déesse. Je n’aimais pas particulièrement l’idée que d’autres hommes puissent s’y attarder, mais la voir dans tout ce qui pouvait la mettre en valeur, en particulier dans cette zone, me mettait toujours dans une humeur infernale. Elle fini par m’embrasser. Que c’était bon de se retrouver auprès d’elle. Si seulement je pouvais ne jamais la quitter et rester serré contre elle pour l’éternité et plus encore… Après notre échange de baiser, j’en revenais à notre discussion précédente.
    « Bon, tu as gagné… Ma journée était horrible, mais je n’ai pas envie de penser a ça lorsque ma petite femme m’offre une petite soirée sympa. Tachons de ne pas penser à nos journées de merde et continuons sur notre voie veux-tu ?! Cela dit ne t’inquiète pas pour ton boss, je suis sûr qu’il va te téléphoner très vite pour te dire que tu as fait un excellent travail.Tu es ma championne ! »

    J’appelais toujours Charlie « Ma petite femme », autrefois je le disais sans y prêter attention, ça sortait tout seul aucun de nous deux n’en faisait une affaire d’Etat. Mais depuis quelque temps, plus je le disais, plus j’avais envie que ça se concrétise. Et si en effet, elle devenait ma vraie petite femme? Apres sept ans à être ensemble, j’avais fini par la considérer comme ma femme, même si au fond il y avait toujours cette pensée que rien n’était officiel et que plus le temps passait plus j’avais envie de rendre la chose légale. J’avais envie de l’appeler Madame Charlie G. Silvensons, j’avais envie d’avancer dans notre relation, allez plus loin, devenir plus que ce que nous étions déjà. Evidemment je pensais aux enfants, à 29 ans, il n’était jamais trop tôt pour y penser. Depuis gamin, j’avais toujours rêvé d’une grande famille, je n’aurais jamais cru attendre jusqu'à ma trentaine pour devenir père. Charlie et moi en avions déjà parle, évidemment, mais jamais sérieusement au point d’envisager réaliser nos projets. Je savais déjà qu’elle était la femme de ma vie, je savais également que si je voulais des enfants, elle en serait la mère, mais malgré les années, notre évolution, je n’avais toujours pas ose lui poser la fameuse question. J’y avais déjà pensé pourtant, j’avais même déjà imaginé comment je le ferais, ou et quand et ce que je dirais. Mais avec nos travails respectifs, il était devenu difficile de trouver du temps et les seuls moments que nous passions tous les deux, nous nous amusions, décompressions du boulot ou bien on dormait. Nous avions désormais 29 ans tous les deux, encore un an et la trentaine allait sonner à la porte, nous étions dans une relation stable, avions tous les deux un emploi stable également. Je n’arrivais pas à voir ce qui jusque la nous avait empêché de sauter le pas, de mon côté, ce n’était sûrement pas l’envie. J’avais envie de passer le restant de mes jours avec elle, mais l’occasion ne s’était juste pas présentée. Je devais avoir pris un air un petit peu songeur car Charlie me fixait un peu plus étrangement elle aussi. Ce n’était pas mon genre d’être tête en l’air lors d’un câlin pourtant…
    « Désole. Je pensais à quelque chose… »

    Je ne savais pas si je devais me lancer pour celle-la ou plutôt la garder pour moi. Je n’étais pas dans l’humeur de suivre une conversation trop sérieuse ou même une dispute. C’était un sujet sensible bien que nous le voulions tout les deux et que nous nous aimions. Je fis une moue de réflexion. Parler de mariage, d’enfants… Ce n’était pas nouveau et encore fois, nous nous faisions de plus en plus âgés et si je voulais réaliser mon rêve de monter une équipe de foot, il allait falloir s’y mettre rapidement ! Je pris la tête de Charlie dans mes mains à mon tour, elle était si douce, si belle. Je suis sûr qu’elle ferait des bébés magnifiques ! Je lui fis un tendre bisou le front et plongeais de nouveau mon regard dans les siens. Je savais qu’elle pouvait voir que je pensais à nous, au futur, elle le savait toujours. J’espérais secrètement qu’elle me poserait la question. Moi, je décidais de ne rien dire si elle n’ouvrait pas le sujet.

    Pour changer un peu et ne pas ne la fixer sur le fait que j’étais pensif, j’entrepris de passer mes mains sous son t-shirt. Mais mes mains furent arrêtées dans mon élan. Apparemment nous allions bel et bien parler. Charlie tenait mes mains dans les siennes. Je la guidais autour de mon cou, et glissais mes mains dans son dos. L’obligeant quelque peu à se coller contre ma poitrine, je me mis à agiter ma main tout doucement dans son dos. Enfin, elle s’écartait de moi et nous nous fixions simplement.
    « Je t’aime tellement. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi… »

    J’aurais pu le dire « et donc je pense qu’on devrait se marier ! », « Epouse-moi ! », « Fais-moi un enfant, tout de suite, la, maintenant ! ». J’aurais pu dire quelque chose, mais je ne l’ai pas fait. Premièrement car nous méritions mieux que cela, il était hors de question que je la demande en mariage dans de telles conditions, il faudrait au moins que l’on soit dans un endroit magique ! Et deuxièmement, je ne suis pas du genre coup de tête, même si comme vous pouvez le voir, j’y ai déjà bien réfléchi. Je me mis à embrasser ses mains, ses paumes, son bras, remontant de plus en plus haut jusqu'à atteindre sa nuque. J’adorais y poser ma tête ou bien y déposer mes baisers.
    « Parles-moi… Dis-moi n’importe quoi, j’ai juste envie de t’entendre parler. Entendre ta voix. Parles-moi. »



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MessageSujet: Re: Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT)   Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT) Icon_minitimeSam 19 Mar - 6:27

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♥ CALEB & CHARLIE



« It's a love story, baby just say... yes.»


Après tout ce qu'il venait de me dire, je ne pouvais pas ne pas réagir. Il me demandais si j'avais de la force pour un dessert. Évidemment. J'avais attrapée les assiettes, pour les poser sur la table basse. Et je m'étais mis à cheval sur ses genoux. Fessant languir le baiser. Même si j'en avais plus qu'envie. Mais tout passée par le regard à cet instant précis. Je lui passée ma main sur son doux visage. Il passa sa main sur mes jambes très proche de mes fesses. Je partageais sa vie depuis sept ans, ça ne me dérangeais donc certainement pas. Je finis tout de même par plaquer mes lèvres contre les siennes. Je ne pouvais tout simplement plus attendre. C'était tellement tentant et j'en avais tellement envie. Parfois quand je me trouvais dans ses bras, même tout le temps quand je me trouvais là comme ça, j'avais envie de dire au temps de s'arrêter. De stopper net le temps pour que tout dire une éternité. Car je voulais l'éternité avec lui. Ne jamais se quitter pour allé travailler. Toujours être que nous. Le baiser s'acheva et il me dit revenant sur le sujet précédent « Bon, tu as gagné… Ma journée était horrible, mais je n’ai pas envie de penser a ça lorsque ma petite femme m’offre une petite soirée sympa. Tachons de ne pas penser à nos journées de merde et continuons sur notre voie veux-tu ?! Cela dit ne t’inquiète pas pour ton boss, je suis sûr qu’il va te téléphoner très vite pour te dire que tu as fait un excellent travail. Tu es ma championne ! » . Je l'écoutais donc parler. Je me mis à rire quand il m'annonça que j'étais sa championne. Un rire frais qui détendait vraiment. Je lui dis « Je suis désolée que t'as journée à été pourri ! Mais ta soirée rattrape tout ! Et je suis pas une vraie championne. Si je le suis ce n'est que pour toi ! ». Je lui fis un clin d'œil. J'étais toujours à cheval sur ses genoux et j'étais bien. Je n'allais certainement pas bouger. J'aimais tellement quand il m'appelais « sa petite femme » et parfois je me demandais quand j'allais réellement le devenir. Avoir des petits Caleb qui courrait partout. J'avais toujours cette image en tête. C'est vrai la plupart des gens qui entretienne sept ans de relation, sont déjà marié et on déjà un voir deux si ce n'est plus encore d'enfant. Avec Caleb on était toujours que nous deux et pas d'alliance. Et pourtant on y songeait souvent. Toute façon je ne voyais pas ma vie avec un autre homme que Caleb. C'était lui & personne d'autre. Il n'y avait que lui. Vous devez vous demandez pourquoi on es toujours pas marié et toujours pas parents ? Bah je ne sais pas exactement. Le travail, le temps si court. Je ne sais pas. Mais c'est tant ci j'avais réellement envie de concrétiser notre relation. J'y songeais vraiment, sérieusement. Caleb avait tout d'un coup un air assez égarée, je le regardais étrangement. Je pensais savoir à quoi il pensais. Il s'excusa en disant qu'il pensait à quelque chose. Je lui offrit un grand sourire. Je savais à quoi il pensait, je l'avais deviné. Il finit par prendre ma tête entre ses mains. Il déposa un baiser tendre sur mon front. J'avais toujours ce sourire posé sur mes lèvres. Et il plongea ses yeux dans les miens. Je pourrais m'y perdre dans ses yeux. M'y noyer même. Tellement ils étaient beau et remplie d'amour. Puis doucement il passa ses sous mon tee-shirt mais je l'arrêtais dans son élan, j'avais envie d'aborder le sujet. Mais comment lui dire correctement les choses sans passer par mille chemin mais sans non plus lui dire la fameuse phrase. J'étais le genre de fille à pouvoir totalement le demander. Mais je ne le ferais pas car j'étais quand même assez romantique dans l'âme. Et c'était l'homme qui demandé. J'avais ses mains entre les miennes. Je me mis à mordre ma lèvre inférieure. Il me guida vers son cou, et glissa ses mains dans mon dos, j'étais presque coller à sa poitrine. Il agita doucement sa main dans mon dos. Je m'écartais et nous nous sommes mis à nous fixer. Il me dit « Je t’aime tellement. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi… ». Je me mis à sourire encore plus. Et moi donc qu'est-ce que je ferais sans lui. C'était lui qui me donner la force de me battre chaque jour de mon existence. C'était lui qui me donnais envie de vivre. Il était mon rêve éveillé. Il était mon Roméo j'étais sa Juliette. Décidément je voyais qu'il mourait d'envie de me demander, mais il n'osait certainement pas aborder le sujet. Il se mit à embrasser mes mains, mes paumes, mon bras, remontant peu à peu jusqu'à ma nuque. C'était mon point sensible. Je fermais les yeux. Et comme dans un rêve. Je me mis devant l'hôtel avec lui, moi en robe blanche magnifique, et lui en costard, merveilleux, tellement beau comme un dieu. Puis je me mis quelques temps plus tard, avec Caleb en train de tenir un bout de chou dans les bras. Notre bout de chou à nous. Le sang de notre sang, la chair de notre chair. Puis un deuxième. Je l'entendis me dire « Parles-moi… Dis-moi n’importe quoi, j’ai juste envie de t’entendre parler. Entendre ta voix. Parles-moi. » . Je souris et je déposais un baiser tout prêt de ses lèvres, puis je regardais ma main vide et je finit par dire finalement « Je suis en train de m'imaginer portant ton nom & porter dans mon ventre ta petite graine ! ». Je m'arrêtais un instant, je le regardais et je poursuivis « Je t'aime tu sais, plus que tout au monde, plus que ma propre vie. Tu es mon oxygène. Celui qui me donne envie de vivre chaque jour. Celui qui me donne la force et le courage d'affronter tout ! … ». Je laissais un suspense. Puis je montais ma main gauche devant lui, avec un petit sourire et je dis « C'est quand que je vais devenir madame Silvensons ? ». Je posais mes yeux dans mes siens. Plein d'amour et de curiosité, d'envie, de désir.
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MessageSujet: Re: Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT)   Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT) Icon_minitimeDim 20 Mar - 4:14


    Comme je l’avais déjà dit, Charlie avait un don pour lire dans mes pensées. Alors que je lui demandais de me parler, de me dire n’importe quoi, ce qui lui passe par la tête, la priant de me laisser écouter sa douce voix fluette, elle vint déposer un baiser proche de mes lèvres. Je fis un sourire, puis elle se mit à me dire qu’elle s’imaginait enceinte d’un petit bébé, notre bébé. Elle ajouta qu’elle voulait porter mon nom et laissant une petite pause, elle prit un air malicieux et me montra sa main gauche, demandant enfin quand elle pourrait enfin devenir ma femme. Ses yeux parlaient maintenant pour elle. Elle ne me l’avait jamais demandé aussi clairement. Je lui attrapais la main qu’elle me tendait et l’embrassa. J’allais lui demander, mais pas maintenant.

    « Hum… C’est une bonne question. »


    J’avais pris un air peu sérieux, malgré tout la conversation elle, elle était bien sérieuse. Nous avions tous les deux un ton plutôt joyeux et taquin, mais nous étions également honnêtes en se déclarant notre flamme ainsi. Je fis glisser mes doigts sur sa main et fis croiser nos mains l’une dans l’autre.

    « Je sais que tu attends que je fasse le premier pas, et ne t’en fais pas, je vais le faire. Je veux juste que ce soit parfait quand je le ferais, je veux la meilleure soirée pour toi, pour nous. Notre histoire mérite les plus beaux souvenirs et je veux que le jour où je te demanderais, ce soit la meilleure chose que tu gardes en mémoire. Je veux t’épouser, mais laisse moi encore quelques semaines et je te promets que tu auras la bague au doigt dans quelque temps. Nous avons déjà patienté 7 ans, on peut encore attendre quelques jours. En plus de ça… »


    Je fis une pause. Rien ne nous empêchait de commencer à répondre à notre premier plan. Nous pouvions très bien nous mettre au travail des maintenant pour avoir une progéniture parfaite d’ici quelques mois. Je me mit à lui caresser l’épaule puis vint coller mon nez contre le sien. Je pouvais sentir sa respiration sur mon torse. Je n’avais aucun moyen de lui résister, elle était réellement ce que j’aimais le plus sur cette terre. Charlie avait été mon premier vrai grand amour, et je savais aussi, qu’elle serait le seul et l’unique, le premier autant que le dernier. Avant elle n’y avait rien, après elle n’y aurait rien non plus. Il n’aurait même jamais de « après elle », elle était l’unique, la seule, personne d’autre n’aurait mon cœur et je préférerais mourir plutôt que de vivre sans elle.

    « Je ne suis pas contre le fait de me mettre au travail des maintenant pour te donner un enfant. Tu le sais, nous en avons déjà parle… Je n’attends que ça, mon équipe de foot ne va pas se monter toute seule ! Et je dois avouer que t’imaginer en maman… Hum ! Ça m’excite terriblement ! »


    Je laissais échapper un petit rire, puis je me mit à l’embrasser. Elle était toujours à cheval sur mes genoux, mais j’étais définitivement plus fort qu’elle. Je la soulevais et la reposais sur le canapé. Elle était allongée sur le dos, moi au-dessus d’elle. Nous échangions un regard bien plus profond que tous les autres regards que nous avions pu échanger jusque-là. J’attendais qu’elle me donne son autorisation avant de commencer à aller trop.

    « Qu’est-ce que tu en dis ? »

    Ma fatigue était toujours présente, mais pour elle j’étais toujours en forme, surtout que nous parlions de faire un enfant et que nous n’avions jamais été aussi proche de la réalisation de ce projet. Je pensais déjà connaître la réponse, mais j’attendais tout de même qu’elle me réponde.


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MessageSujet: Re: Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT)   Somewhere only WE know ... *Charlie & Nate* (MIGHT BE A LITTLE HOT) Icon_minitimeDim 20 Mar - 5:02

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♥ CALEB & CHARLIE



« Quand il me prend dans ses bras, qu'il me parle tout bas, je vois la vie en rose ... C'est toi pour moi, moi pour toi dans la vie, il me dit l'a dit, l'a juré pour la vie ... .»


Il m'avait dit de parler, de dire n'importe quoi, mais de parler. D'accord, alors allons-y. Je lui dis que j'étais en train de m'imaginer portant son nom et surtout avec sa petite graine dans mon ventre. Un bébé, notre bébé. La chair de notre chair, le sang de notre sang. La somme de Caleb plus Charlie. Vous connaissez sans doute ce qu'on dit un plus un égal trois. Non je n'ai pas fait d'erreur de calcul, c'est juste la simple vérité. Et ce un plus un, c'est mon amour et moi, et le trois, c'est lui, notre enfant et moi. Y avait toujours un début. Puis je lui dis tout ce que j'avais à dire, que je l'aimais plus que tout, qu'il était le seul et l'unique et qu'il le serait toujours. Que c'était lui qui me donnée la force de vivre chaque jour. Puis avec plein de malice je montais ma main gauche devant son visage en lui demandant quand est-ce que je vais devenir madame Silvensons. Il m'attrapa la main, et me l'embrassa. Il me dit que c'était une bonne question. Je savais pertinemment qu'il n'allait pas me le demander tout de suite là maintenant. Malgré tout c'était une conversation assez sérieuse, même si cela n'en avait pas l'air. Là ici c'était tout notre amour qui ressortait. Je n'aurais jamais cru qu'il était possible d'aimer, de désirer autant une personne. Mais avec Caleb j'avais découvert que c'était possible. Il fis glisser ses doigts dans les miens. Liés pour l'éternité, fut ma pensée. J'avais un grand sourire. Amoureux, joyeux, amusée, passionnée. Il me dit « Je sais que tu attends que je fasse le premier pas, et ne t’en fais pas, je vais le faire. Je veux juste que ce soit parfait quand je le ferais, je veux la meilleure soirée pour toi, pour nous. Notre histoire mérite les plus beaux souvenirs et je veux que le jour où je te demanderais, ce soit la meilleure chose que tu gardes en mémoire. Je veux t’épouser, mais laisse moi encore quelques semaines et je te promets que tu auras la bague au doigt dans quelque temps. Nous avons déjà patienté 7 ans, on peut encore attendre quelques jours. En plus de ça… ». Il avait totalement raison sur ce point là. On pouvait bien attendre encore quelques jours. Sept ans, quelques jours de plus ce n'était pas grand chose. Je me demandais comment il allait faire sa demande. Et oui je ne pouvais pas m'empêcher de me poser la question. Il avait stipulé qu'il voulait m'épouser & c'est tout ce qu'il comptait. Ma journée passée, n'avait plus aucun sens, il était là, il venait de me dire tout ses mots. Plus rien n'avait d'importance. A cet instant là mes yeux dans les siens, le monde extérieur, n'existais plus. Il n'y avait que lui. Il fit une pause j'attendais la suite. Il se mit à me caresser l'épaule, puis il vint coller son nez contre le mien. Je laissais échappé un petit rire. Il était réellement tout ce dont je pouvais rêver. Ma vie sans lui était complètement impossible. Je voulais finir mes jours avec lui et nos enfants. Nos bébés. Il poursuivit « Je ne suis pas contre le fait de me mettre au travail des maintenant pour te donner un enfant. Tu le sais, nous en avons déjà parle… Je n’attends que ça, mon équipe de foot ne va pas se monter toute seule ! Et je dois avouer que t’imaginer en maman… Hum ! Ça m’excite terriblement ! » . Il laissa échapper un petit rire. Il voulait une équipe de foot. Ok s'il le voulait j'allais lui donner. Mais il oubliait un détail, c'est moi qui allait subir neuf mois avec un gros ventre. Lui allait certainement subir mes sautes d'humeur, mes envies de nourriture et tout le patratra des femmes enceintes. Mais quand je m'imaginais, après, quand on tiendrait ce bout de chou dans nos bras. Là ça donnait encore plus envie. On dit souvent que les neuf mois de grossesse sont horrible, mais au fond il reste parmi nos plus beaux souvenirs. J'adorais voir les femmes avec ce beau ventre tout rond. Et je ne pouvais m'empêcher de me demander ce que ça donnerait sur moi. J'étais toujours sur lui à cheval, il me souleva, je laissais échappé un tout petit cri de surprise. Et je me retrouvais allongée sur la canapé lui au dessus de moi. L'échange de nos regards étaient beaucoup plus intense et différent de tout à l'heure. On pouvait certainement y lire le désir, la passion, l'envie. Il me demandais ce que j'en disais. Quelle question. Je passais mes bras autour de son cou l'attirant vers moi, et je déposais un baiser plus que passionnée sur ses lèvres. Un baiser particulier, différent de tout ce que j'allais pu lui donner jusqu'à présent. Je me retirais un instant et je lui murmurais « Alors commencement à constituer une belle équipe de foot ! Le tout premier d'une longue lignée ». En plus j'étais dans le moment parfait pour tomber enceinte. Je crois que nous avions bien choisis notre moment. Je me rapprochais de lui, et l'embrassais passionnément et avec beaucoup de force. Pendant plusieurs longues secondes. Je me détachais très légèrement de lui et je repris la parole « T'as intérêt à me faire une fille dans le lot ! ». Je ris franchement. Avant de me rattachais une nouvelle fois à ses lèvres. Dans un baiser plus qu'intense.





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