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 PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre.

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Marlon Dashwood
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Marlon Dashwood


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MessageSujet: PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre.   PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre. Icon_minitimeSam 10 Sep - 8:35

PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre. Bannirekristenstewart1
© lollipops;

Les feuilles se dandinent au gré des humeurs du vent, les clochards crèvent sous les ponts, les amoureux baisent dans un quelconque néant, les riches ressortent la tête haute de la crise, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps, et je me marre.

Je suis là, devant cette porte, avec une partie de mon âme en moins. Cette partie qui s'est envolée en même temps qu'elle, dans un Paradis excessivement chimérique. Pourtant, cette idée me plaît trop pour que ce soit tout à fait rationnel ; je me rapproche au passé, survivant ainsi au milieu de réminiscences obsolètes. Je suis moi-même périmé. Une sorte de débris, de déchet animé par une joie de vivre souvent factice, souvent surjouée. Une sorte de mort-vivant qui peine à évoluer dans ce monde qui est dépossédé d'une seule âme. Et c'est là que réside toute la différence entre le réel et l'absurde. Le concret et l'abstrait. La plénitude et la démence. Ô, Daphnée. L'idée que tu ne sois plus me ronge jusqu'au sang, me prend les tripes, ne me lâche plus, me fait devenir insomniaque. Je suis si bien dans ces songes trop idylliques pour être réalistes, où je m'imagine t'enlaçant, plein d'amour, plein de force. Je nous imagine, dans une ère intemporelle où notre amour fraternel prendrait enfin tout son sens, toute sa force et dépasserait les limites imposées par notre société de merde. Je t'aimerais tant, dans ce monde parallèle, que l'inceste ne me paraîtrait plus condamnable. Vois ce que je suis devenu en ton absence. Tous mes idéaux sont partis en fumée, toutes mes convictions sont réduites en poussière. Évidemment, que l'inceste est condamnable. Je suis juste trop perdu, trop déséquilibré pour avoir un regard neutre et surtout, pragmatique sur le monde qui m'entoure. Chaque jour, ton absence cause un peu plus ma perte. Ton silence incessant a signé mon arrêt de mort, mon bagne, ma condamnation. Je suis maudit et mon éternel sourire s'est perdu en route.

Je me tiens devant cette putain de porte, à regarder le numéro comme un fou. Je me concentre sur ces chiffres qui se gravent dans mon esprit pourtant embrumé, je les imprime, en fais d'innombrables copies pour être certain que mon inconscient ne me jouera pas de tour. Pandora Greenleaf. Elle habite là, la traîtresse. Celle qui est à l'origine de tous mes maux, de toutes les récentes colères, de l'intégralité de mon mal-être. J'ai mieux quitté Olivia pour la retrouver. Je ne la connais ni d'Eve ni d'Adam et pourtant, je sais qu'elle causera ma perte, m'enverra directement brûler en enfer. Je ne veux pas de mariage, les fiançailles me suffisent largement et pourtant, papa Dashwood n'est pas de cet avis. Je suis une abomination à la nature, la honte de la famille ; celui qui n'a pas su aimer correctement sa cadette, celui qui n'a pas le droit de souffrir, celui qui a l'interdiction de tomber dans la décadence. Sauve l'honneur, Marlon. C'est ton seul devoir. Pandora, un prénom de petite bourge privée de souffrance, de tourment, de frustration. Pandora, cette blondinette que j'imagine parfaite, sans le moindre défaut. Sa beauté est certainement exaspérante, et son accent de fifille doit l'être encore plus. Attention, je débarque. Ça va faire un gros BOUM dans ton existence décidément fade, ma jolie Pandora, ça va bouger, les tumultes ne vont cesser de croître. Tu vas crever en me voyant. Tu auras imaginé un tout autre Marlon et tu seras tellement déçue que tu feras claquer sèchement ton chewing-gum et tu me laisseras sur le pas de la porte. Comme une merde. Triste destin. Je repartirai bredouille vers Dashwood père et j'en prendrai plein la gueule. Je flânerai dans les rues, à la recherche d'un peu de réconfort et de quelques gouttes d'alcool fort parce que la vie me semblera plate. Mais ta vie est plate, Marly.

Sonne abruti, sonne et montre-lui le fantôme que tu es devenu. Une ombre. Qui passe, repasse, s'en va sur la pointe des pieds sans déranger, revient sans se faire remarquer. Une pâle reflet de l'ancien Marlon Dashwood. J'ai dû -un jour- carburer à cent à l'heure, profiter de cette jeunesse qui m'a gentiment été offerte, user et abuser de cet air morne qui les fait toutes tomber comme des mouches, me pavaner dans les galas grâce à l'argent dégueulasse de papa. Oh oui, j'ai dû un jour, véritablement vivre, pas misérablement tenter de survivre dans ce monde de fou, en barbotant comme un damné à la surface opaque d'une eau vraiment douteuse. Mon monde est douteux. Daphnée, Olivia. Ma vie peut se résumer à ces deux seules personnes et le reconnaître donne toute son importance à ma déchéance. Marlon, qui es-tu véritablement devenu ? Une sorte de zombi. Un grand enfant qui a besoin d'être rassuré et surtout pas jeté sans ménagement dans la cage aux lions, dans une cage où l'unique lion se nommerait Pandora Greenleaf. Ne me bouffe pas tout cru, j'ai prévu de profiter encore quelques temps de ma misérable existence. De vivoter gentiment. J'emmerde personne, je dérange pas, je tente de rester silencieux en maugréant parfois malgré moi, je me veux neutre. Mais devant cette porte, je me sens vide de toute émotion. Daphnée nous a quittés, et je ne m'en remets pas. J'ai quitté Olivia, et je ne m'en remets pas. L'équation n'est pas difficile; j'ai été abandonné puis, j'ai abandonné. J'ai tellement peu l'habitude de donner sans recevoir au préalable, que ça m'est apparu comme chose impossible.

Mon doigt se dirige lentement vers la sonnette, alors que je ne le contrôle plus. Je voudrais sonner pour être poli et faire bonne impression mais un centième de seconde avant d'atteindre le bouton, ma main dérive précipitamment sur le cadran et je tambourine contre la porte. Mon cœur n'en fait pas moins dans ma cavité, presque vide. BOUM; BOUM; BOUM. Et -enfin- elle apparaît. Un ange en Enfer. Elle est belle. Trop, peut-être. Mais elle a cette beauté bienveillante, qui est pourtant enlaidie par un air maussade. C'est peut-être sa tenue débraillée qui me laisse un peu pantois, la langue pendante. Ouais, cette fille a trop la classe pour que ce soit ma fiancée. Je me suis préparée à une Blondie figée dans son sourire superficiel et avec des nichons encore plus superficiels. Je ne me suis pas attendue à une petite bombe humaine, les cheveux emmêlés, l'œil aguicheur mais un peu hargneux, les sourcils quémandeurs, insistants. HFKZZKEJIOJEUU. Merde, je suis muet et je la regarde avec des yeux de merlan frit. « P-P-Pandora ? » Putain; putain; putain. Bégaie pas vieux, ça te va décidément pas. Je ne me suis carrément pas préparé à perdre toute contenance devant ce petit bout de femme. Je n'en mène pas large et mes yeux cherchent une issue introuvable. Je m'acharne, et je m'acharne. En vain. Mon regard revient inlassablement sur ses courbes parfaites épousées par des vêtements que je n'aperçois même pas. « J'suis Marlon. Marlon Dashwood. » Comme si mon nom lui mettrait instantanément la puce à l'oreille. Pandora; Pandora; Pandora. Tu ne devrais pas être si jolie.
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MessageSujet: Re: PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre.   PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre. Icon_minitimeSam 10 Sep - 23:40

PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre. Tumblr10


    Le temps fuit. Il ne passe plus, il s'enfuit. J'en prends totalement conscience maintenant. Tout est partit en fumée, en quelques secondes. Et cette brûlure qui me ravage. La terre tourne, mais sans eux. Sans lui. Aujourd'hui, il aura dût avoir vingt-trois ans. Normalement. Mais la vie c'est soudainement arrêtée pour lui. Pour eux. Pas pour moi, alors qu'elle aurait dût. Liam aurait dût fêter ses vingt-trois ans, aujourd'hui. On se serait peut-être installé dans un appartement, quelque part. Ezra serait venu et on aurait fêté son anniversaire. Mais rien. Ils ne sont plus là. Les sanglots déchirent ma poitrine. La peine m'écrase et j'ai dû mal à respirer. Qu'est-ce qui me fait le plus mal ? L'absence de Liam ou celle d'Ezra ? Il était peut-être mon petit-ami, je l'aimais sûrement, mais Ezra était Ezra. Il était mon jumeau. J'avais besoin de lui. Depuis ce matin, je ère dans la maison. Une espèce de fantôme, qui se promène sans avoir réellement de but. Une ombre. C'était ce que j'étais devenue au fil des mois. Une petite chose insignifiante qui traverse le monde, à sa manière. Les larmes ne coulent même plus. Mes glandes lacrymales sont sèches depuis trop de temps. Il paraît que pleurer allège la peine. Je ne fais que ça et rien ne change. Depuis ce matin, mon portable n'arrête pas de sonner. Sûrement le mac pour me demander ce que je fais. Aucune importance. Je suis fatiguée et j'ai froid. Je voudrais juste dormir et oublier. Ça serait presque reposant de perdre la mémoire, d'oublier leurs visages et leurs prénoms. D'oublier qui ils étaient. Pourtant, je ne peux pas. Les effacer de ma mémoire serait comme les faire mourir une seconde fois. Et je ne peux pas m'y résoudre. Depuis mon réveil, si on peut encore appeler ça un réveil, je suis assise par terre. Les deux bouteilles vides d'alcool jonchent le sol. La troisième va bientôt aller les rejoindre. Boire c'est mal. Boire pour oublier, c'est inutile. L'alcool ne résout rien, mais ça fait du bien. Je suis peut-être ivre, je ne tiens peut-être plus debout, mais aucune importance. Je fixe le mur face à moi, vide. Et je bois.

    On toque à la porte. Enfin toquer. Rien à voir avec quelques coups aussi léger qu'une plume. On dirait plus qu'on va défoncer la porte. Ou alors, l'alcool amplifie le bruit. Je fronce les sourcils et me relève avec difficultés. Je tangue sur mes pieds et me rattrape au canapé. J'ai trop bu, mais je m'en moque. J'attrape mon gilet, qui traîne quelque part dans la maison. J'ignore comment il est arrivé là. Je me cogne contre plusieurs et j'étouffe des jurons. Ma bouteille à moitié vide de vodka à la main, je me dirige vers la porte d'entrée. Je pose le précieux liquide sur le meuble à côte de la porte, et je l'ouvre d'une main. Je cligne des yeux à cause du soleil. Malgré que les rayons viennent caresser ma peau, je croise mes bras sur ma poitrine, serrant les pans de mon gilet contre moi. J'ai froid, malgré la chaleur. Je relève la tête et croise son regard. Même si aujourd'hui n'est définitivement pas un bon jour, je ne peux m'empêcher de le mater, ouvertement et sans gêne. Comme la prostituée que je suis. Comme l'enflure que je suis devenue. Liam serait tellement fière de moi. Il ne devrait pas être là normalement, lui, cet homme. Aucune importance. Satine n'aurait pas dût venir non plus, et elle est là, prête. Elle laisse s'envoler toute trace de chagrin. Elle me remplace juste pour quelques secondes. Elle, la prostituée. Elle est moi, mais ce n'est qu'un prétexte pour tout excuser. Elle est moi. Je ne suis pas elle. Il bafouille mon nom et je ne peux m'empêcher de rouler des yeux, l'alcool parcourant mes veines à grande vitesse. Je hoche la tête, incapable de parler normalement. Ma gorge est sèche et j'ai mal. Elle brûle. Mon coeur bat. J'ai mal, mais il bat normalement. Pour la première fois depuis des années. C'est … bizarre. Je sens son regard glisser sur mes courbes et je ne peux m'empêcher de sourire, à la limite de la moquerie,. Je penche ma tête sur le côté, quand il se présente. J'aurais presque envie de rire de sa tête et son bégaiement. Un sourire fait vibrer mes lèvres à peine quelques secondes. Un petit rien. Merci, quand même. Je me racle la gorge et ma voix sort, enrouée par le silence dans lequel je suis depuis hier soir. Rendue rauque à cause de mes cris de la nuit dernière.

    » Marlon Dashwood, hein ? Qui t'envoie et qu'est-ce que tu viens faire ici ? J'fais rien à domicile.

    Je frissonne. Mes bras se resserrent sur mon corps trop frêle. Mes yeux se ferment, retenant mes larmes avec difficulté. J'ai envie de lui claquer la porte au nez, mais je ne le fais pas. Elle est repartit. Aujourd'hui, pas de Satine. Seulement une Pandora brisée. J'ai existé pendant deux ans. Avant ça, je n'étais personne. Maintenant, je ne serais plus jamais quelqu'un. À part un déchet de la société. Une erreur de la nature tombée sur terre. Une fille qui préfère se détruire que s'en sortir. Mais ça fait moins mal. Beaucoup moins mal. Ils sont morts pour rien. Et moi, je veux me laisser emmener. Je rouvre les yeux et une larme dévale ma joue, à toute vitesse. Je l'essuie, trempant encore un peu plus sa chemise. Aucune importance. Cette fois, il ne râlera pas. Mes yeux se posent sur Marlon, je crois. Rien n'est sûr. À travers mes larmes, je devine sa silhouette. Il est beau. Simplement. Je renifle, aussi gracieusement que possible et me pousse du chemin, me décalant derrière la porte.

    » Excuse-moi … Rentre, si tu veux.

    Ma voix s'éteint au fond de ma gorge. S'excuser, oui mais de quoi ? De mon apparence ? De mon attitude ? De l'intérieur de la maison, si vide et si peu accueillant ? Je referme la porte derrière son dos et titube jusqu'à ma bouteille posée sur la commode à l'entrée. Je la prends entre mes doigts tremblants et porte le goulot à mes lèvres, avant d'en descendre quelques gorgées. La brûlure s'installe dans ma gorge. Mon corps se réchauffe de l'intérieur. Pourtant, je ne revis pas. J'ai toujours aussi froid.

    [HRP : Aya. J'espère que ça ira PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre. 47227 . Je ferais la mise en page, plus tard Arrow]
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MessageSujet: Re: PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre.   PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre. Icon_minitimeJeu 20 Oct - 7:06

PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre. Kristenstewartd
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Il n'a pas cette lueur vicieuse dans le regard, son dos est juste un peu courbé, affaissé par le temps et les malheurs qui l'accompagnent, son regard est triste. Très triste. Trop ? Il est peut-être un peu dépravé, déboussolé, esseulé. Mais il a surtout ce sourire qui fait l'effet d'un coup de poing dans le ventre. Un sourire d'enfant.

Aurais-tu une petite place pour moi, dans tes bras, Pandora ? As-tu la force de survivre à l'ouragan Dashwood, à la tempête qui me suit, me colle à la peau et ne fait pas mine de se rompre ? As-tu seulement le quart du dixième de la force mentale qui est nécessaire pour me supporter ; je n'en suis même pas sûr. Tu crèveras de rage quand tu découvriras que je ternis tout dans un rayon de cent kilomètres, que je transforme l'or en ferraille et que je bousille le moral des autres. Mais quand j'te vois, là, sur le pas de la porte, tu sembles même pire que moi. Dans quel piteux état tu es. Quand tu t'es dévoilée à moi, je n'ai pas fait gaffe. Je n'ai pas remarqué à quel point tu sembles brisée, tes yeux crient à l'aide mais je suis moi-même au fond du gouffre, bien trop occupé à creuser et à me détruire, alors je ne suis pas le bon, je suis incapable de te secourir comme le ferait ton prince charmant. BAM. Greenleaf + Dashwood ça fait des étincelles, c'est une équation insoluble qu'aucun mathématicien ne parvient à résoudre, c'est aux antipodes du typique couple parfait et personne ne prend le risque de mettre en doute ce putain d'axiome. Prenons le risque de défier les lois, assumons les conséquences et mettons en péril tous nos idéaux. Vivons juste un peu.

« » Marlon Dashwood, hein ? Qui t'envoie et qu'est-ce que tu viens faire ici ? J'fais rien à domicile. » Plaît-il ? Je la regarde avec cet air un peu inquisiteur qui forme une grande balafre sur mon visage fermé. Mélange explosif qui me rend hermétique à toute sorte d'approche. Elle m'intrigue cette fille un peu ravagée malgré cette foutue capacité à sauver les apparences. Et elle tente de faire bonne figure, me parle d'un truc qui m'est inconnu, me prend pour un autre. Elle confond, il s'agit forcément d'un quiproquo. J'ai franchement une gueule à venir baiser une pétasse ? J'ai beau être au fond du trou, j'ai pas tout d'un abruti, sa phrase est sans équivoque et Pandora Greenleaf me prend pour un client. Je suis bien incapable de détacher mon regard de son minois dévasté, et c'est son expression qui me fait perdre pied. Cette expression que je ne connais que trop bien, celle qui s'affiche sur mon visage quand les limites de mon être sont atteintes avec violence, quand positiver me devient impossible, impensable, Pandora, tu es tellement différente de l'image que je m'étais efforcé de forger dans mon esprit embrumé. Je me suis attendu à voir une personnage radicalement opposée à ce que tu offres à mes prunelles aujourd'hui, tu ravis mon regard lubrique de sale pervers à ses heures perdues, qui devient dingue tant Daphnée lui manque. Et les digues cèdent, tes joues sont striées par des larmes inattendues, les traîtresses non-désirées qui fouinent partout, à la recherche du moindre endroit à conquérir, et elles se contre-foutent d'être en trop ou non, elles sont présentes et toute forme de contestation devient inutile, si superflue. Ou comment de simples gouttelettes salées peuvent ravager l'intégralité d'une vie. D'une première entrevue, tout du moins. A la vue des larmes de Pandora, je ne fuis pas, j'ai été trop lâche pour abandonner la partie et reconnaître ma défaite. Greenleaf et Dashwood formeront un jour un tout, soyez-en certains.

Je l'observe en catimini, préfère la boucler parce que émettre le moindre son serait la brusquer ; restons dans notre quiétude presque trop agréable, gardons le silence témoin de notre timide échange. Elle renifle bruyamment et me fait un vague signe de la main ; comprenant qu'elle m'invite à entrer, je me dandine d'un pied sur l'autre. Dans un endroit neutre comme le dehors, à l'abri de tous regards suspects, j'aurais été plus à l'aise pour parler de ce putain de deal. Paye le deal, Marly, sérieux, t'aurais pu faire ton rebelle de la forêt et refuser ! Pourtant, j'ai pas pu. J'ai été incapable de tenir tête à ma saleté de géniteur, j'me suis senti comme un gosse devant ses grandes théories, en partie basées sur le néant, j'ai compris que jamais je n'atteindrai le piédestal sur lequel cet abruti se place fièrement. J'me suis senti merdique. Alors je regarde mes pieds quand Pandora Greenleaf me propose plus ou moins directement d'entrer chez elle, je la laisse parler parce que rester silencieux est encore la meilleure chose que je sais faire. « Excuse-moi … Rentre, si tu veux. » T'excuser de quoi ? D'être si jolie ? C'est ça cet air blasé que tu trimballes constamment sur ta figure, tu veux être pardonnée de ton insoutenable perfection ? Je ne suis pas censé ressentir ces sautillements dans ma poitrine, je devrais penser à Olivia et à cette foutue promesse de gosse que je lui ai faite, que j'aurais dû tenir. Sale lâche, Dashwood. Alors, j'entre sans un mot pour elle.

Elle me suit de près, je peux presque sentir son souffle court dans mon dos et c'est cette respiration saccadée qui m'effraie, je ne veux pas être responsable de ton mal-être Pandora, ni toi ni moi avons eu notre mot à dire dans cette sordide histoire et je doute qu'un jour, ce droit nous soit accordé. Elle ferme la porte qui s'ébranle dans un bruit sourd. Je ferme les yeux, tente d'ignorer cette sensation chaude qui s'empare de tout mon être et ne veux pas regarder son petit corps frêle et crispé dans ces habits inappropriés. Je me retourne rapidement pour poser une question, peut-être un peu trop vite, je ne suis pas censé apercevoir la bouteille qu'elle tient entre ses doigts. Je fronce les sourcils, me sens étranger dans cet appartement qui m'est inconnu, ai l'étrange sentiment d'être de trop, comme si un Pikachu géant va surgir d'un instant à l'autre et Greenleaf me révélera, tout sourire aux lèvres, la présence d'une caméra cachée. Haha, on a bien rigolé allez, on peut aller prendre un café à cette heure-ci, pas des fichues gorgées gloutonnes d'alcool fort, pour tenter d'assouvir une soif insatiable qui m'effraie. Pandora, qu'es-tu réellement ? Qui es-tu ? Je m'approche d'elle, imperceptiblement pour ne pas précipiter les choses et lui arrache la bouteille des mains, un peu plus abruptement que je l'aurais souhaité. Je te laisserai pas te détruire de la sorte, je suis peut-être un abruti fini qui est responsable de la mort de sa cadette, ô Daphnée, je suis peut-être un crétin qui n'a aucune parole et fait volontairement du mal à sa meilleure amie, Olivia.. Mais j'essaie d'avoir un point de vue un minimum réaliste sur le monde qui m'entoure. Et je peux t'assurer, Pandora, que tu défiles à une vitesse incroyable cette pente sinueuse, tu vas arriver à un virage inattendu, tu l'aborderas avec une foutue inappropriée, un état d'esprit inadapté, et tu t'en prendras plein la gueule. Alors, je ne te laisserai pas bousiller de cette façon si débile ta vie. Je ne te laisserai pas dévaler ce sentier casse-gueule. Je te laisserai pas.

« C'est quoi ça, hein ? C'est quoi ? » dis-je en lui mettant la bouteille sous les yeux. Elle peut m'envoyer balader, je représente quoi, finalement à ses yeux ? Je ne suis qu'un vulgaire inconnu dont elle ne connait même pas le prénom, elle me prend pour un client venu assouvir ses pulsions sexuelles, m'assomme avec un regard empli de dédain, d'une haine qui me déstabilise. Et pourtant, malgré toute cette inimitié que je ne mérite pas, je ne peux pas m'empêcher de voir en elle une petite fille perdue. Je hausse vaguement les épaules et tente de formuler une phrase à l'image des pensées qui se bousculent à cet instant dans ma tête. C'est un beau foutoir. « Personne m'envoie. Sauf si tu considères que mon père est une réponse qui te convient, mais j'en doute. Je suis là pour tout autre chose, Pandora. » Je te balancerais bien tout à la gueule, me débarrasser de ce fardeau une bonne fois pour toutes, mais ce serait tellement, tellement égoïste. Et puis, à quoi bon préserver cette Pandora Greenleaf ? Peut-être qu'elle me rira au nez, qu'elle prendra tout ça au second degré et aura un éclat de rire ironique qui me réduira en poussière. Avec des si, on mettrait Paris en bouteille. Je regarde sa tenue, ses yeux un brin implorants, sa personne brisée. Et je ne peux empêcher les mots de sortir, ils affluent de mes lèvres gercées et je vomis ces paroles si grossières. « Ça t'apporte quoi de jouer les filles de joie ? J'avoue ne pas comprendre. » Je n'ose même pas prononcer le mot prostituée, pute, péripatéticienne, catin. Ça m'écorcherait la bouche. J'ai le regard fou et je ne comprends vraiment pas ce que recherche cette fille.. Je lui parle, voire l'engueule comme si on était intimes, comme si j'avais une quelconque influence sur sa vie, mais je doute qu'elle soit seulement en état de réagir à mes piques. J'ai mal. Mal de voir que Pandora Greenleaf ne correspond rien à l'idée que j'avais eue d'elle. Et dire que nous ne nous connaissions même pas.
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MessageSujet: Re: PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre.   PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre. Icon_minitimeMar 25 Oct - 5:25

PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre. Tumblr_ltkok67NuB1r5njmoo1_500


    Le combat qui était en train de se dérouler à l'intérieur de ma carcasse m'épuisait. Comme si Satine existait réellement. Comme si elle était une excuse valable pour toutes les frasques que je faisais. Comme si je n'étais pas moi-même dans ces moments-là. J'aurais voulu passer la journée seule, j'aurais préféré. Mais apparemment, le sort en avait décidé autrement. En voyant Marlon, si son prénom était bien celui-ci, je l'avais pris pour un client. Ni plus, ni moins. Pour moi, il ne venait pas voir Pandora, mais Satine. Et pourtant, son visage n'était qu'un pâle reflet du mien. La peine nous déchirait de l'intérieur. Sauf que lui vivait. Sauf que moi je mourais doucement. Je ne cherchais même plus à essayer de me relever, Ezra et Liam n'étaient plus. Il n'y avait aucune raison de paraître bien. Des larmes débordèrent de mes yeux. Traîtresses inutiles. Tout serait tellement plus simple si je pouvais arrêter de pleurer. Mes bras se resserrèrent autour de moi et un frisson parcourt mon corps. J'ai tellement froid, à l'intérieur. Je baisse la tête, quelques instants. Juste quelques secondes, reprendre une certaine contenance. Et je m'excuse. D'être dans cet état. D'avoir agit comme ça. De n'être rien d'autre que cette fille paumée. De ne plus être une personne. Je m'écarte et il rentre. Pas un mots. Aucune paroles inutiles. Mes yeux le suivent et je referme la porte, dans un claquement. Ma main retrouve la bouteille que j'ai abandonné peu de temps avant ça. Mes lèvres retrouvent le goulot. Ma gorge retrouve cette brûlure qu'elle connait. Mon être est encore un peu plus engourdi et je suis encore un peu plus saoule. Demain, j'aurais probablement la gueule de bois. Quelle importance ? Il n'y aura personne. Je soupire et il se retourne à ce moment-là, prêt à parler. Mes yeux se posent sur mes lèvres et une claque me heurte la joue mentalement. Je ferme à peine les yeux, voulant oublier ce qui commence à naître. Je ferme les yeux, voulant m'échapper de cette réalité, de ce visage, de cette vie. Quand mes yeux croisent les siens, je remarque ses sourcils froncés, reflet des miens. Oui, Marly, oui. Je ne suis rien. Tu l'apprendras à tes dépends. Tu apprendras rapidement que Pandora est la pire salope qui puisse exister dans cette foutue. Tu comprendras qu'à part boire et me droguer, je ne sais rien faire. Tu comprendras et tu prendras peur. Et je serais seule, encore une fois. La bouteille disparait de mes mains, trop rapidement pour mon cerveau embué par l'alcool. Je le regarde, bêtement. Je ne sais même pas quoi dire, ou quoi faire. Je ne bouge et je l'observe, sans vraiment me soucier d'être discrète ou non. Dieu qu'il est beau … Je me mords l'intérieur de la joue et un soupir m'échappe. La bouteille sous mes yeux, il me demande ce que c'est. Je le fixe dans les yeux, incrédule. Un rire m'échappe. Je me recule jusqu'au mur, en riant. J'essuie les larmes qui roulent sur mes joues. Face à Marlon, je tente de reprendre une certaine contenance, mais mon corps est toujours secoué par de légers spasmes.

    » Ça, c'est un bouteille. Une bouteille d'alcool, si tu veux tout savoir.

    Provoquer. Me moquer. N'être plus rien. Je lui lance un sourire moqueur. Je me fous de lui, je me fous de tout. Qui es-tu Marlon Dashwood pour me juger ? Qu'es-tu pour moi ? Rien, ni personne. Je tangue sur mes pieds et darde mon regard sur lui. Il hausse les épaules. Mes bras se croisent sur ma poitrine et j'essaie de me stabiliser sur mes jambes. Ma gorge est nouée par le chagrin. Mon estomac est au bord de mes lèvres. Je me dégoûte. Je hausse un sourcil dans sa direction. Son père ? Qu'est-ce que son père et moi peut-on avoir en commun, pour qu'il se ramène chez moi ? Comment a-t-il put me connaître et savoir où je vivais, alors que son nom me parle autant que les régions qui composent le continent russe. Je soupire et un haut-le-cœur m'oblige à mettre une main devant ma bouche et à serrer les lèvres. J'attends que la nausée passe et j'essaie de reprendre contenance. Intérieurement et extérieurement. Mes yeux se baissent et je regarde mes pieds nus. Mes tous petits pieds nus. Je déglutis. Mon regard se ballade sur le sol et je tombe sur ses pieds. Mon cœur se serre et les larmes grimpent au bord de mes yeux. Ce sont exactement les même chaussures que mon frère. Je ravale la boule qui comprime ma gorge de l'intérieur et qui m'empêche de respirer. Connerie de souffrance. Je ravale mes larmes et relève le visage vers lui, serrant les dents pour ne pas pleurer.

    » Ton père ? Et c'est quoi le rapport avec ta venue ici ? Explique-toi.

    Ma voix me paraît plus sèche et plus dure. Ce n'est peut-être pas qu'une impression, finalement. Ma mâchoire se serre et je soupire, me contrôlant. Je secoue la tête de gauche à droite, chassant toute sorte de scénario complètement fou qui me viennent en tête. Qu'auraient-ils put faire pour que ce Marlon vienne ? Je sens son regard qui glisse sur moi et un sourire tend mes lèvres. Je connais déjà la question. Oui, Marly, oui. Je suis une pute, une traînée, une catin, une prostituée, une fille de joie, une fille des rues, appelle-moi comme tu veux. Plus rien ne m'atteint, pas même ça. Une salope junkie. Pourtant, quand les mots franchissent sa bouche, mon sourire s'efface. Mes yeux se baissent et je me balance sur mes pieds. Ça sonnerait presque comme une insulte, venant de lui. Les larmes apparaissent au coin de mes yeux et je torture mes deux mains, ensemble. La réalité est ainsi. Je ne suis qu'une traînée, qui vend son corps pour un petit peu de poudre blanche. Lui, n'a probablement jamais touché une fille pour la payer après. Un sanglot silencieux me vrille de l'intérieur. Je hausse les épaules et plante mon regard dans le sien, essayant de le rendre aussi dur que possible. Pauvre petit chat sans griffes. Il n'y a rien à comprendre, Dashwood. La vie est faite ainsi.

    » Tu t'attendais à quoi Marlon Dashwood ? À trouver une petite fille à l'image de ses deux parents ? Aussi chiante et aussi coincée qu'eux ? Navrée de te décevoir, j'te retiens pas si tu veux t'barrer !

    Un sourire moqueur étira mes lèvres. Mes parents … Si seulement je savais à quoi ils pouvaient bien ressembler. Si seulement, je pouvais savoir comment ils sont avec les autres personnes. Si seulement je pouvais les connaître. Je ravale mon mépris pour eux. Je les déteste. S'ils avaient été là, si j'avais pu compter sur eux, Ezra serait encore en vie. Liam aussi. Ils vivraient encore et je ne chercherais pas à me détruire de cette manière. J'aimerais qu'il parte et qu'il quitte la maison, qu'il me laisse dans ma merde. J'aimerais le voir me tourner le dos et claquer cette maudite porte. Et pourtant. Pourtant, je tente de me demander ce qui se passerait s'il partait, maintenant. Et ça ne me plaît pas. Ce pincement, quelque part dans mon cœur mort, ne devrait même pas exister. J'attrape la bouteille, qu'il tient toujours dans ses mains, rapidement. Enfin … aussi rapidement que la quantité d'alcool présente dans mon sang me le permet. Je porte le goulot à mes lèvres et la vide, d'une traite. Le liquide coule le long de ma gorge et me brûle. Ça réchauffe, un petit peu. Je tourne les talons et me dirige vers le salon. Est-ce qu'il me suit ? Je n'en sais rien. Pourquoi viendrait-il ? Je ne suis qu'une épave ambulante. Mes mains se posent sur le mur et je m'y agrippe. Se soutenir pour avancer. Je passe une main sur ma joue et essuie les larmes qui y coulent. Je retrouve la pièce dans le même état que je l'ai trouvé. Mon téléphone sonne encore une fois, quelque part dans cette immense maison. Je déglutis et la bouteille rejoint les autres au sol. Je me laisse tomber sur le canapé. En arrière-plan, la sonnerie revient, encore et toujours. Ou alors, je l'imagine. Mes jambes se remontent l'une contre l'autre et je passe mes bras autour. Elle se répercute contre les murs vides et blancs. Elle peuple la maison vide. Mon menton se pose sur mes genoux, et les larmes roulent. Et ça fait encore mal. Et ça continuera toute ma vie. Et la mélodie résonne une dernière fois dans l'immensité du vide.

    [HRP : C'est tellement à chier Arrow . Désolée.]
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PANDORA&MARLON ; les amoureux baisent dans un quelconque néant, les clochards crèvent sous les ponts, les dents crissent à l'annonce du mauvais temps. Et je me marre.

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