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| Comfortably Numb [pv Hot] | |
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Auteur | Message |
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Invité
| Sujet: Comfortably Numb [pv Hot] Sam 7 Mai - 10:03 | |
| - Spoiler:
C'est juste pour donner une idée de quoi il a l'air hein Un miracle et un ange, voilà ce qui avait permis à Ryan de trouver un toit au-dessus de sa tête. D'abord, il errait comme ça, la nuit. Il en avait l'habitude maintenant. Le truc, c'était de trouver un endroit tranquille ou personne, malfrats comme policiers, vous chercherait. Pourtant, aucun endroit ne semble assez tranquille à Lewis et alors qu'il s'installait avec son sac de couchage, au pied d'un arbre, une jolie demoiselle, un peu plus vieille que lui, mais dans sa tranche d'âge quand même, l'approcha et lui suggéra, comme ça, de dormir chez elle. Un peu de façon évasive, elle lui fit savoir qu'elle comprenait ce que c'était de vivre sans toit au-dessus de sa tête. Alors il accepta. Elle n'avait pas l'air bien dangereuse et elle avait tous les traits d'un ange. Son nom? Breony. C'est jolie non? Et pourtant... Depuis deux ou trois jours donc, il vit avec sa bonne samaritain. D'abord, il dort peut-être sur le canapé, ou bien dans la chambre qu'elle lui assigne, peu importe, dans les deux cas, ça lui va, il pourrait même dormir sur le plancher, ça lui irait. Il a appris à se contenter de peu, mais il préfère encore dormir à la belle étoile que rentrer sur la ferme et vivre ce qu'il y vivait. Un jour quand même, il se promettait bien de se sortir de cette misère. Qui sait, Lewis lui en donnera peut-être l'opportunité? En deux ou trois jours, Ryan prit ses aises, sans abuser de l'hospitalité qui lui était offerte. Au contraire, il était ordonné, prenait soin de ranger derrière lui, de fermer les lumières quand il quitte une pièce, se genre de détail et la veille, il avait même fait le petit déjeuner pour eux, à savoir, des omelettes. C'est qu'il voulait faire sa part et aussi gagner sa place. La journée, il sort, il vaque à ses occupations. Une nouvelle amie lui a offerte une opportunité d'emploi, il se fait donc un peu de blé comme on dit. Puis, une fois rentré le soir, Breony fait savoir qu'elle est de sortie. De son côté, il va rester tranquille et surveiller la maison comme il dit. Aussitôt la maîtresse de maison parti, il file prendre une bonne douche. Croyez-moi, il a déjà passer une semaine et un peu plus sans pouvoir en prendre, alors maintenant, tant qu'il peut en profiter, il en prend au moins une tous les jours. Une fois sorti de la douche, pas nécessairement particulièrement pudique, il enfile ses boxers et des jeans, mais c'est tout, pas de souliers, pas de chaussettes, pas de t-shirt. Confortable, il écoute la télévision, principalement les nouvelles. Ben Laden est mort, justice est donc faite et bien fait pour se salaud. Hey oui, Ryan est un vrai Américain, élevé comme tel en tout cas. Il finit par se coucher sur lecanapé, à relaxer un peu. Il se prit un verre aussi durant la soirée, de lait, bref, le temps filait jusqu'aux petites heures et Oprah passait en reprise à la télévision. Il changea bien vite pour un match de hockey. Tout à coup, il entend la porte ouvrir, alors il se redresse. Il n'avait pas entendu de voiture arriver dans la cour, mais forcément, ça devait être Breony. Il ferme donc la télévision et se lève pour aller voir la demoiselle. Il ne la voyait pas encore qu'il dit, juste par petite mesure comme ça. -Breony, c'est toi?Wooh, la fille qu'il voit n'a rien d'un ange et plus d'un fantôme. Le sourire accueillant qu'il avait s'évanouit alors pour laisser place à un air soucieux. Par réflexe, il pose une question qui peut paraître idiote, mais qui n'est pas si bête non plus. -Ça va?Si elle titube, il vient aussitôt l'aider, avec douceur. Ce n'est pas la première fois qu'il aiderait une personne ivre, droguée ou les deux mêmes. Passer trois mois dans les bas fonds de la Nouvelle-Orléans ou sur une ferme avec un père alcoolique et vous comprendrez. Si elle titube, la priorité, c'est de l'emmener s'asseoir quelque part.
Dernière édition par Ryan P. Bradley le Ven 13 Mai - 7:13, édité 1 fois |
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Bienvenue à Lewis Breony A. Turner
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Célébrité : Natalie Portman Âge : 25 ans Citation favorite : Je fais bien de ne pas rendre l’accès de mon cœur facile ; quand on y est une fois entré, on n’en sort pas sans le déchirer ; c’est une plaie qui ne cautérise jamais bien. Messages : 2365
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Sam 7 Mai - 22:42 | |
| Ryan & Breony ♥
CRÉDIT - CSS La gentillesse et moi ça fait deux, je n’avais jamais vraiment décidé les gens, je n’aimais pas les gens, je n’aimais pas aider, j’étais une égoïste pure et dure, il n’y avait rien de bon, rien de gentil, rien à rattrapé dans mon cœur recouvert de béton depuis longtemps. Pourtant lorsque j’ai vue ce jeune homme seul dans la nuit, dans un sac de couchage au pied d’un arbre je n’ai pas pu rester de marbre très longtemps. Quand ma mère m’avait mise à la porte à l’âge de quinze ans j’avais moi aussi fait comme lui, j’avais pourtant la chance de connaître les habitants de Lewis depuis mon plus jeune âge. Allant ainsi chez l’un chez l’autre, demandant l’asile à quelques uns de mes amants, j’avais frappé à une porte pendant longtemps, pourquoi ne pas avoir prit d’appartement après avoir commencé à travailler ? Eh bien à cause de la drogue bien entendu. La drogue étant un de mes pêchés des plus importants dans ma vie je n’avais pas l’argent nécessaire de cumulé mes doses quotidiennes avec un loyer, je préférais de loin dépenser tous mon argent dans mes doses… Pathétique ? Absolument. Donc lorsque j’ai rencontré Ryan je n’ai pas pu le laisser seul dehors alors qu’il venait d’arriver à Lewis, je lui ai donc fait comprendre qu’il pouvait venir chez moi, je vivais seule avec ma fille de six mois il pouvait donc très bien prendre le canapé de mon petit appartement le temps qu’il puisse se retourner et trouver de quoi vivre. Il n’avait pas lieu de s’inquiété j’étais de bonne humeur ce soir là quand je l’ai rencontré et je l’avais donc amené chez moi, lui présentant les lieux et mon adorable princesse. Bien entendu nous avions discutés légèrement mais aucun de nous deux n’étions rentré dans les détails de nos vies, je n’aimais pas vraiment me confier et surtout pas à un étranger. Se confier c’était montrer une faiblesse, montrer un visage de ma personne que je ne souhaitais pas voir, je préfère être détesté qu’aimer. C’était un choix de vie, un choix que j’avais fait il y a longtemps, un choix que je ne voulais plus effacer même si ça entrainer parfois une solitude pesante. Avec les années j’avais appris à combler ma solitude avec les hommes, la journée je vivais très bien seule, la nuit était plus compliquée mais je m’améliorer de jour en jour. Ne montrant aucune faiblesse, jamais.
Voilà deux jours que mon nouveau colocataire vivait chez moi, je ne le voyais presque jamais, il ne me gênait absolument pas, j’avais pris l’habitude de le voir le matin, il était très sympathique ce jeune homme. La veille j’avais eu le droit à un petit déjeuner, petit déjeuner qui m’avait mise de bonne humeur, il avait eu le droit à un sourire agréable de ma part, chose très rare. Bref ce soir là j’avais décidé de sortir, j’avais laissé ma fille à la nourrice et j’avais pris ma voiture pour aller chez un de mes « amis ». Nous avions improvisé une petite fête, fête qui allait se terminer après plusieurs verres de whisky, quelques doses de cocaïne et un amusement certain avec mon amant de la nuit. Le rituel habituelle quoi. J’avais besoin de me sortir des trucs de la tête, j’avais besoin de ne penser à plus rien et de me sentir bien. Comme toujours j’étais rentré à pied, je n’étais pas totalement inconsciente et je ne voulais pas mourir pour l’instant, abandonnant ma voiture sur le parking de cet homme j’étais rentré donc très tard dans la nuit. Je ne me souvenais même plus avoir Ryan chez moi. Lorsque j’ai ouvert la porte j’entends la voix de cet homme, je sursaute avant de me souvenir que je n’étais plus seule chez moi. Déposant les clés sur le meuble de l’entrer je m’approche de lui en titubant légèrement, la drogue était partie de mon organisme et les nausées ainsi que la migraine faisait sont entrée. Il me demande comment ça va, est ce qu’il s’inquiétait pour moi ? Il ne fallait pas, je savais ce que je faisais. « Hum… oui ça va Ryan. Je te réveille pas j’espère ? » Il m’attrape et m’amène jusqu’au canapé, je trouve ça très gentil… Je lui fais un petit sourire, éteint la lumière, je m’écroule sur le canapé ou j’entraine Ryan près de moi et allume la télévision pour avoir simplement la lumière et non le son. Je dépose mes mains sur mes yeux et soupire tout doucement. « Tu as passé une bonne soirée ? » J’étais dans un état proche du pitoyable mais je ne montrais presque rien… mon égo n’avait pas besoin d’être blessé.
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Sam 7 Mai - 23:54 | |
| Breony n'avait pas l'air d'être dans son assiette, cela se voyait. Comme ce n'est pas la première droguée qu'il voit, et qu'il s'est déjà laissé tenté trop de fois pour l'expérimenter, il sait aussi quels sont les symptômes. Les yeux rougit, le regard incapable de se préciser, le temps pâle, les lèvres comme sèches, l'odeur aussi, du moins, quand c'est quelque chose qui se fume. Sinon, l'imprécision des bas et c'est un peu comme si le centre de gravité du corps était déplacé. Encore, Ryan ne sait pas ce que la jeune femme a pris. Peut-être que sur elle, il n'y a que l'alcool qui fait cet effet. Et dire qu'il pensait qu'il passerait une soirée aussi normale que tranquille où la seule anecdote aura été la nounou qui lui a jeté un drôle de regard quand elle l'a croisé, sortant de la douche, en boxer.
Étonnamment, si physiquement, elle semblait faible, au niveau mental, Breony semblait se contrôler. D'ailleurs, elle le fixait d'un regard qui affichait son habituel aise et confiance en elle. L'hôte des lieux lui demandait même si elle ne venait pas de le réveiller et dit qu'elle va bien. Il était un tantinet sceptique vis-à-vis la réponse, mais il sait que les personnes sous l'effet de substances peuvent être plus susceptibles encore qu'à l'accoutumer, alors il reste prudent.
-Non, non, tu ne me réveilles pas. J'écoutais un match de hockey. La nounou est parti il y a peut-être deux ou trois heures.
Et le bébé semble dormir. S'il s'était mis à pleurer, Ryan ne sait pas s'il serait intervenu ou quoi. Parce que c'est pas son enfant et bref... c'est un peu compliqué et lui, comme parent, il ne voudrait qu'un étranger s'occupe du bébé, mais dans un sens, il aurait eu du mal à ignorer l'enfant. Heureusement que ça n'ait pas arrivé. Comme il sent qu'il vaut mieux que Breony s'assoit, et le plus vite possible, il l'aide à marcher, doucement, jusqu'au canapé où il la laisse s'asseoir. Il fait un petit sourire, comme rassurant et compréhensif à la soi. Il essaiera juste de lui rendre sa fin de soirée désagréable. Tout le monde a le droit de prendre une virée, le truc, c'est de récupérer après. Quand on dit que Breony s'assoit sur le canapé, c'est un mot large pour dire qu'elle s'y laisse tomber, presque comme un corps inerte. De son côté, il reste debout et la regarde un peu, jusqu'à ce qu'elle tende la main et qu'elle le face asseoir à côté de lui. C'est surprenant qu'une fille comme elle rente seule après une soirée. Enfin, c'est un détail...
Ryan l'analysait de son regard, essayait de voir comment elle se sent, si elle a la nausée, des trucs du genre. Pas facile à deviner rien qu'à l’œil nu. N'empêche, si elle retient une sorte de hoquet, il va se dépêcher d'aller chercher un plat en plastique ou un truc du genre pour qu'elle ne vomisse pas sur le sol. La voilà qui lui demande s'il a passé une bonne soirée. Non mais, c'est incroyable quand même.
-Ouais... euh... la nounou était sympa, on a parlé un peu. Sinon, j'ai regardé la télé, ça faisait longtemps que je n'avais pas vraiment pu. Je peux pas dire que ça a changé. Les émissions sont toujours aussi...
Libre à Breony de compléter ce qu'il dit. Après, il se risque un peu, mais il ne pouvait pas faire autrement.
-T'as un peu l'air d'un zombie. La soirée a été extra'?
En lui décrivant la fête, il aura peut-être une meilleure idée de l'état dans lequel elle peut se trouver. Après, il se lève et dit juste, en lui faisant face:
-Je vais te chercher un grand verre d'eau, ça va te faire du bien. T'as des comprimés contre les maux de tête? Je peux aller t'en chercher aussi si tu veux.
S'hydrater atténuera l'effet de l'alcool et fera une sorte de petit lavement dans l'estomac. Parfois, quand on boit de l'eau, en bonne quantité, ça réduit le mal de tête et ça permet de bien dormir. D'autres fois, ça fait vomir... dans le deuxième cas, c'est alors qu'il valait mieux que vous vomissiez, votre corps était comme saturé. À moins qu'elle ne lui dise que rien tout ça n'est nécessaire et qu'elle va très bien, auquel cas, il se rassoit, un peu mal à l'aise, en disant, «ok», il va chercher le verre d'eau et possiblement les comprimés aussi, mais en plus, un bol, rien qu'au cas où. Il dépose le bol sur la tablette du salon, s'assoit, et tend alors le verre et les comprimés à la demoiselle et lui dit, sourire en coin, que ça devrait la revigorer.
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Bienvenue à Lewis Breony A. Turner
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Célébrité : Natalie Portman Âge : 25 ans Citation favorite : Je fais bien de ne pas rendre l’accès de mon cœur facile ; quand on y est une fois entré, on n’en sort pas sans le déchirer ; c’est une plaie qui ne cautérise jamais bien. Messages : 2365
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Dim 8 Mai - 5:31 | |
| CRÉDIT - CSS Est-ce que l’on pouvait dire que j’étais mal ? Non pas vraiment c’était mon état naturel, j’avais l’habitude d’être dans cet état depuis mes quinze ans maintenant. Une droguée notoire incapable de ne pas céder à l’appel de quelques grammes de coke si gentiment offert par un homme et accessoirement amant. Son nom ? Aucune idée j’en avais rien à faire de son nom il m’offrait ce que je voulais sur tout les plans une nuit de débauche ou je mélangé la drogue, l’alcool et le sexe. Une nuit comme je les aimais, une nuit qui avait établi ma magnifique et formidable réputation de croqueuse d’homme, de saleté, de pourriture et j’en passe. Je n’avais pas trop l’habitude que l’on me voit dans cet état je préférais partir avant d’être mal en point, seul deux ou trois personnes avaient eu la mal chance d’assisté à ce côté aussi pathétique de mon être, Elijah et Maël. Les personnes les plus proches de moi auquel j’aurais aimé éviter cette vision désastreuse d’une femme brisé et malheureuse la plupart du temps. Pour me détruire je n’avais pas besoin de drogue je l’étais depuis bien longtemps, éparpillé en mille morceau dans une ville horrible, je me relevais sous les coups mais j’avais du mal à garder mon cœur entier. J’étais totalement irrécupérable et je le savais parfaitement. Cette nuit là n’était pas vraiment différente des autres à part bien sûr que je n’étais pas seule dans mon appartement, Ryan y habité maintenant… Le jeune homme s’inquiétait pour moi je le voyais parfaitement à travers ses paroles et ses gestes. C’était gentil. Je n’en avais pas vraiment l’habitude. Je lui avais demandé gentiment s’il dormait je ne voulais pas le réveiller j’avais juste perdu la notion de la réalité quelques instants. Je l’écoute me répondre et me dire qu’il regardait simplement un match de hockey, beaucoup d’homme aimer le sport c’était marrant à entendre. Lorsqu’il me parle de ma fille je réagis tout doucement sortant de mon coma. « Hein ? La nourrice est partie ?? Ryan je suis désolé cette s… enfin bref elle devait rester toute la nuit et non te la laisser. » J’avais beau être nauséeuse et fébrile je n’avais pas abandonné ma fille, j’en revenais pas que la nourrice était partie et avait laissé Angela avec Ryan. Elle allait me le payer demain celle là au prix ou je la payais elle pouvait bien faire ce que je voulais, surtout que notre contrat était plutôt béton je lui offrais presque tout mon salaire pour qu’elle garde ma fille la nuit là ou j’en avais le plus besoin. Mais bref je repenserais à ça demain matin là j’avais trop besoin de repos.
Le jeune homme m’annonce ce qu’il avait fait pendant sa soirée de libre, je lui souris légèrement quand il me parle de la nourrice, celle-ci était étrange et avait du le regarder avec insistance, il était bel homme – trop jeune pour moi – mais celle-ci devait se demander qui il était. « Elle t’a demandé ce que faisait un homme chez moi ? Les habitants de Lewis ne sont pas habitués à me voir vivre avec un homme. » Je n’étais pas vraiment le genre de femme à garder un homme chez moi bien au contraire, depuis la naissance de ma fille j’évitais de faire rentrer un homme chez moi cela éviter les soucis ensuite, j’avais parfois le mal à envoyé baladé mes amants d’une nuit. Les hommes un peu trop collants. Juste après il m’annonce qu’il avait regardé la télévision chose qu’il ne faisait plus ce que je comprenais. Cette télévision était là dans ce salon mais je ne l’allumais presque jamais, j’étais jamais chez moi de toute façon. « Elles sont merdiques les émissions tu peux le dire. » Voilà pourquoi je n’allumais jamais la télévision… parce que la télévision était toujours ou presque rempli de nullité sans nom.
Tout en baillant je retire les mains de mes yeux et lui livre un nouveau sourire, mes mains glissent à travers mes cheveux en l’écoutant. J’avais l’air d’un zombie ? Ben dis donc Ryan heureusement que tu ne me connais pas quand je suis en manque parce que là tu serais mal je te le dis. Bon certes la descente était difficile mais bon ça allait très bien, du moins je me poussais à le montrer. « Je vais très bien t’en fais pas pour moi. Dans quelques heures je retrouverais mon teint parfait et mes jolis yeux de biches pour l’instant c’est juste un coup de fatigue. » Ou un coup de la drogue mais bon pas la peine que je lui dise pour qu’il le sache, en plus d’avoir une réputation de droguée j’en avais l’aspect. Je ne souhaitais pas le rentrer dans mes histoires, je ne souhaitais pas qu’il sache, pas la peine qu’une personne de plus en sache bien trop sur moi. « La soirée a été bonne… je me suis bien amusée. » C’était vrai. Pas la peine d’être trente pour passer une bonne soirée au contraire il suffisait d’avoir les accessoires pour me faire plaisir, une bouteille de bon vieux whisky et une ligne de drogue. Le mélange parfait. Juste après cette question je vois Ryan se relevé de nouveau, ou il allait ? Me chercher des médicaments ? Non sans rire ? Ben oui effectivement il revient avec un verre d’eau et des médicaments, pas sûr que le mélange coke, alcool et médoc allé passer mais bon tant pis j’avais trop mal de tête. Je prends donc les médicaments et le verre d’eau puis m’allonge dans le canapé le temps que ma tête cesse de tourner. « Hum… mon chou si tu veux aller te reposer je crois que tu devrais prendre mon lit. J’ai la tête qui pèse trente kilos si je me lève je vais m’enfoncer la tête première dans le mur » Je m’imagine parfaitement bien m’étaler dans le salon la tête contre le mur vue mon état je serais capable de m’endormir contre le mur. Déposant l’oreiller sur ma tête je me détends tout doucement. « Dis… c’est un peu bête mais… ça te dérange pas de rester le temps que je m’endorme ? » Je soulève le coussin pour le regarder. Waouh… Honnêtement heureusement que tu ne me connais pas vraiment parce que là tu serais tombé dans les pommes directement en entendant ce que je venais de te dire. Un léger sourire aux lèvres je fini par parler de nouveau. « Mais si tu dis à quelqu’un de Lewis que je t’ai demandé ce service je te tuerais sans hésiter hein. » Ah oui c’est mieux… vive l’égo hein. Impossible de demander un petit service de rien du tout sans être mal à l’aise, j’étais mal à l’aise à ce moment là c’est pour ça que j’avais proféré une pseudo menace qui était loin d’être sérieuse… quoi que. |
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Dim 8 Mai - 13:28 | |
| Ce n'est pas le genre de Ryan de se mêler de la vie des autres. Déjà qu'il n'aime pas trop qu'on se mêle de la sienne, il n'ira pas interférer dans les affaires d'autrui en plus. Seulement, quand il voit quelqu'un en difficulté, il ne va pas rester les bras croisés à ne rien faire non plus. Il a grandi dans une famille moyennement nombreuse et disons que déjà jeune, comme aîné, il a appris à prendre soin des autres et à rendre service à ses parents aussi. Alors quand il voit Breony rentrer de sa fête, de vieux réflexes reprennent le dessus, mais si on ne peut pas dire qu'elle ait l'air d'une fille en détresse. Elle a juste un peu de mal à marcher, c'est tout et probablement qu'avec du recul, il trouverait qu'il se faisait du soucis pour rien. Ce n'est pas toujours facile à jauger sur le coup par contre.
Alors quand il mentionne la nourrice, visiblement, il vient d'attirer des ennuis à quelqu'un et du coup, il devient mal. Il doit essayer d'arranger ça, autrement, quelqu'un va perdre son emploi et ça, il s'en voudrait vraiment. Un peu mal à l'aise, il essaie donc de réparer les dégâts.
-Non mais... *il se racle la gorge* ça va. Elle m'a demandé si elle pouvait y aller et j'ai dit oui. C'est de ma faute. La prochaine fois, je lui dirai de rester. Moi, je savais pas quoi répondre, elle avait l'air fatigué.
Avoir su qu'elle devait à tout prix rester... En tout cas, passer cette histoire, plus il y pense, plus il se dit qu'il ne pouvait pas savoir et qu'il ne pouvait pas y faire grand chose. C'est pas comme si on le tenait au courant et ce n'est pas comme s'il avait à l'être non plus. Un peu plus tard, le sujet de conversation change. C'est encore la nourrice qui fait la une, mais cette fois, Breony s'intéresse plutôt aux questions qu'elle aurait pu lui poser. Ryan la laisse terminer et hausse des épaules. Elle semblait plutôt réservée et ne pas avoir posé beaucoup de questions...
-Elle m'a demandé si j'étais de la famille, ton petit frère. J'ai dit que non, que j'étais juste de passage et qu'on était ami.
Il toussote un peu. Ryan sait que ce n'est pas exact, mais c'était plus simple de dire ça que d'aller jusqu'à dire qu'il est un sans-abri que Breony héberge sous son toit. Honte de ce qu'il est? Plus ou moins, mais il ne voulait surtout pas essuyer les questions du genre «pourquoi tu vis sans toit au-dessus de la tête? Un gars comme toi, ça peut facilement se trouver du travail, etc.». Après quoi, toujours avec un avis plutôt tranché, que Ryan met sur le dos de l'alcool et potentiellement la drogue, il eut un sourire amusé quand elle dit que toutes les émissions sont merdiques. Il hausse alors des épaules et n'ajoute rien. Valait mieux pas.
Après, il y va quand même d'un commentaire sur quel air qu'à Breony, loin de se douter qu'elle peut être pire, mais comme on dit, tout peut toujours être pire. Drôle de façon de se consoler quand même. Elle lui dit de ne pas s'en faire pour elle, que ce n'était qu'un coup de fatigue. Il la guette alors des yeux, pas vraiment dupe, mais hoche quand même de la tête. Il voudrait bien la croire, mais pour un coup de fatigue, ça s'apparente à autre chose et c'est particulièrement fort. Sauf qu'on c'est se que c'est et comme elle semble susceptible, il préfère ne pas lui laisser entendre qu'il ne la croit pas. N'empêche, tentant de détendre l'atmosphère un brin, il lui demande comment a été sa soirée et selon elle, ça avait été bien. Tant mieux alors. Il faudra qu'il trouve une petite fête à aller lui aussi, avec des gens de son âge hein.
Ensuite, il se lève et fait preuve de certaines attentions à l'égard de la propriétaire des lieux. Ryan avait compris qu'elle ne lui dira pas ce qu'elle a pris, si elle a pris quelque chose d'abord, alors il traite ce qui semble être une solide beuverie. Après, on ne peut pas dire qu'il cherche à lui faire avaler les comprimés de force non plus! Breony se couche et il la regarde faire, toujours un peu inquiet, il devait l'admettre. Quand elle l'appelle mon chou, il a un sourire en coin. Mon chou... tiens, c'est nouveau ça. Sûrement que demain, elle aura oublié. La demoiselle lui suggère alors d'aller dormir dans son lit. Nah, il dormira plutôt sur une chaise quelque part, ça ira. Après par contre, alors qu'il s'assoit sur un des fauteuils justement, elle lui demande si ça ne lui dérangerait pas de rester avec elle. Non, bien sûr que non. Il vient pour que répondre que non, ça ne le dérange pas, qu'elle ajoute, sur un drôle d'air, que s'il en parle, elle va le tuer. Hey bah! Elle verrait que comme gars, il est plutôt coriace, mais il va commencer à se méfier de ce qui peut se cacher dans les placards.
-Ça va,ce ne sera pas nécessaire, je te rassure... Écoutes, je peux bien rester ici, c'est rien et puis je ne m'endors pas vraiment. Si tu veux, je peux te transporter jusque dans ton lit. Tu y serais plus confortable peut-être bien.
C'est une suggestion comme une autre, si elle préfère rester sur le canapé, elle peut, mais il se dit que quand elle sera bien endormi, il la transportera jusque dans son lit. De loin, il estime qu'elle doit être légère comme une plume et peser moins lourd qu'une meule de foin.
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Bienvenue à Lewis Breony A. Turner
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Célébrité : Natalie Portman Âge : 25 ans Citation favorite : Je fais bien de ne pas rendre l’accès de mon cœur facile ; quand on y est une fois entré, on n’en sort pas sans le déchirer ; c’est une plaie qui ne cautérise jamais bien. Messages : 2365
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Lun 9 Mai - 9:10 | |
| Ma réponse est vraiment nulle je suis désolée je me rattrape au prochain. CRÉDIT - CSS Ryan était un gentil garçon j’avais du mal à comprendre comment il pouvait me supporter, certes il ne me connaissait que très peu mais quand j’étais assez insupportable comme femme, je n’étais pas vraiment la bonté incarné, je n’étais pas non plus sociable loin de là, j’aimais être seule même si parfois je me sentais mal lorsque j’étais seule, c’est dans ces moments là que je trouvais l’épaule délicate d’un homme pour me réconforter et à défaut un peu de coke pour arrêter de penser que j’étais horriblement seule. Parce que oui je n’avais presque personne dans ma vie, peu me connaissait réellement et peu savait qui je pouvais bien cacher au fond de moi. Vous saviez qu’une femme malheureuse pouvait être horriblement mauvaise ? Moi je ne le savais pas du tout mais je l’ai appris avec les années en voyant que finalement plus ma vie s’écroulé et plus j’étais méchante. Est-ce que ça faisait du bien d’être méchante ? Pas du tout mais ça ne faisait aucun mal, ça ne me faisait plus de mal, je pouvais être une autre, adieu la petite Breony celle qui était toute gentille bonjour la mauvaise personne que personne n’approche à part les personnes totalement masochiste. Bref tous ça pour dire que lorsque le jeune homme me parle de mon adorable nourrice et qu’il m’annonce qu’elle est partie lui laissant ma fille je passe difficilement du blanc pale au rouge colère, si j’avais la force de me lever je serais aller lui passer un savon carabiné dans la seconde même s’il était tard dans la nuit. Mais j’étais bien trop épuisé et à bout de mes forces pour lever et pouvoir hurler sur qui que ce soit. Je me calme donc en voyant que Ryan était mal à l’aise pour cette pauvre femme, je ne montre rien et tente de le rassurer, elle ne perdra pas sa place – je ne pouvais pas la virée de toute façon j’en avais bien trop besoin – je me calme donc et me dit que je verrais ça à tête reposer demain matin. Un nouveau sourire éclaira mon visage fatiguée quand il me dit que la nourrice l’avait prit pour mon petit frère. Hey je n’avais pas pensé à ça mais c’est vrai ça aurait pu à savoir j’avais peut être de nombreux frères et sœurs avec ma mère et mon géniteur qui était je ne sais ou. Une seconde mon esprit se demande comment aurait été ma vie si j’avais eu un frère ou une sœur pour me soutenir… peut être serais je différente aujourd’hui, en faite je suis bien comme je suis, ma vie est bien comme elle n’est pas besoin de penser à autre chose, pas besoin de se poser trop de question, les questions ne servaient qu’a embrouillé un cerveau. « Mon frère… j’y avais pas pensé tient. C’est vrai que ça aurait pu vu notre différence d’âge. » Je me rassois tout doucement dans le canapé la tête me tournant. J’éteins de nouveau la télévision, les médicaments étaient dans mon organisme il n’y avait plus qu’a prié que je ne meurs pas dans la nuit à cause du mélange. Je m’appuie sur le canapé pour me relevé et attrape la main du jeune homme pour qu’il se lève et qu’il m’aide. Tout les deux allons dans ma chambre directement.
Je m’allonge dans le lit sans même enlevé mes vêtements, je lui fais un signe pour qu’il s’allonge dans le lit près de moi rien de déplacé simplement j’avais besoin d’une présence ce soir je n’avais pas envie de faire une crise d’angoisse comme j’avais parfois l’habitude de faire lorsque je redescendais. Je dépose délicatement ma tête contre son cœur et ferme les yeux. C’est bien la première fois que je me laisse voir dans ce genre d’état, je n’étais absolument pas câline, absolument pas douce à part quand je tentais de séduire mais là c’était différent. Comme une sœur le ferait avec un frère justement. « Reste dormir là… Je n’ai pas vraiment envie d’être seule cette nuit. » Je fermais les yeux et écoute le son du cœur de Ryan, il battait normalement, le mien était toujours rapide, il n’arrêtait jamais de battre vite peut être à cause des cochonneries que j’avalais ou de mon tempérament ultra nerveux. Je commence tout doucement à m’endormir c’était rare que je m’endorme si vite quand je venais de rentrer dans ce genre d’état. Dans un souffle je lui annonce aussi calmement que si je lui demandais un verre d’eau. « Si tu ne me sens pas respirer dans la nuit appel une ambulance et dis leur que j’ai pris… non en faite ne dis rien. Laisse-moi dans ce lit. » Parfois quand j’étais mal en point j’avais des idées étranges comme celle, ne pas aller à l’hôpital alors que je ne respirais plus ? Étrange comme vision de la vie mais c’était la mienne. « Bonne nuit Ryan… » Et c’est ainsi que je tombe doucement dans l’inconscience, dormant profondément en restant accroché à un homme que je ne connaissais que depuis deux jours. |
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Lun 9 Mai - 9:45 | |
| Du côté de Ryan, on lui dirait que Breony est la pire femme de Lewis, que c'est une dépravée doublée d'une mauvaise personne, égoïste et sociopathe, il ne pourrait pas le croire. D'abord, pour avoir parcouru à pied, ou en tout cas, par voie terrestre, toute la côte sud des États-Unis, ou presque, il peut dire qu'elle est la première, oui, la toute première, qui lui a offert son toit pour la nuit, gratuitement. Une personne qui fait un acte aussi généreux, forcément, elle a un bon fond non? Après, Ryan ne juge pas les gens selon leur réputation, mais selon leur geste. Jusqu'ici, Breony ne l'a pas insulté, ne lui a pas manqué de respect et au contraire elle a toujours été agréable avec lui et ce soir, pensait-elle vraiment qu'un petit gars en plein road trip, qui n'a pas un sou, allait la juger parce qu'elle aime boire et s'enfiler une ligne de coke?
Après, on ne fait que ça parfois, juger les gens. On les juge selon leur emploi, leurs occupations, leurs habits, leurs apparences, etc. On n'apprend à vraiment connaître les gens que si d'emblée, il nous plaise et corresponde à ce qu'on fait comme idée des gens qu'on peut côtoyer ou non. Ryan est en révolte contre tout ça, contre toutes ses pensées. Sûrement que le décès de sa mère il y a quelques années y est pour beaucoup. D'ailleurs, il a laissé ses petites sœurs derrière lui, mais il peut encore venir en aide aux personnes qui l'entourent, à commencer par Breony, celle sans qui il dormirait encore dehors à la belle étoile.
Il parvient à donner une sorte de sursis à la nourrice, qui ne perd sans doute rien pour attendre quand même. Au moins, elle parvient à le rassurer sur ce point et pour quelqu'un qui a du mal à marcher, il faut reconnaître que la jeune femme semble d'une lucidité quand même importante. Il en a vu des gens ivres ou sous l'effet de drogue et parfois, il y en a qui pleure sans cesse, sans raison, ou bien c'est l'inverse, il rit. D'autres parlent sans cesse et disent n'importe quoi ou racontent leur vie, y compris les choses qu'ils devraient garder pour eux. Breony était donc bien plus supportable que tous ses gens. Elle rétorque plutôt que le fait qu'il soit son frère était intéressant comme idée. Elle parle de leur différence d'âge et Ryan a un air intrigué. Elle a l'air jeune, enfin, mi-vingtaine disons, mais quel âge peut-elle avoir?
-Et est-ce que tu as un frère?
C'est la question qui lui vient à l'esprit. Il réalise après coup qu'il prend un risque à poser pareille question, mais trop tard, il a parlé avant de réfléchir. De toute façon, Breony éteint la télévision et décide qu'il vaut mieux qu'ils aillent à sa chambre. Alors Ryan se lève et tient la main de la jeune femme et l'aide à marcher, tout doucement, jusqu'à sa chambre. Elle était trop fière pour qu'il la transporte et de toute façon, elle était encore capable de marcher. Après quoi, debout près du lit, il la regarde s'allonger toute habillée et après, l'inviter à venir la rejoindre. Il ne se fait pas trop prier et n'avait pas de fausses idées non plus sur ce qui pouvait arriver. D'abord, fallait voir son état pour comprendre qu'il ne se passerait rien et de toute façon, il est capable de mettre de côté sa libido de jeune homme pour se tenir tranquille, même en la présence d'une fille aussi jolie de Breony. Il se couche donc, sans se coller sur elle, les mains sur le ventre et tourne la tête vers elle, tandis qu'elle lui demande de dormir avec elle. Pour toute réponse, il laisse échapper un petit:
-Ok.
Qui veut dire qu'il va rester. Il écarte ensuite les mains de ses ventre pour les mettre... ailleurs disons, peu importe où, sur le côté du lit, une autre contre l'oreiller, tandis que Breony pose doucement sa tête contre son torse. Elle avait l'air bien et au fond, c'était tant mieux. N'empêche, ça fait un bout de temps qu'il n'a pas dormi dans un lit... et avec une fille à ses côtés en prime. Ça lui rappelle quand il vivait encore avec ses petites sœurs. Il était surtout proche de la plus vieille. Quand elle avait une rupture, elle venait le rejoindre dans sa chambre et ils s'allongeaient comme ça et alors, elle lui racontait tout ses troubles amoureux et lui, il faisait que la conseiller, plus souvent, l'écouter.
Sortant de ses pensées, il baisse les yeux vers Breony qui lui parle à nouveau. Loin de se confesser, elle lui dit sur un air un peu trop serein à son goût, que si elle arrête de respirer, qu'il n'appelle pas l'ambulance, autrement dit, qu'il la laisse mourir. Il avala de travers cette fois. Hors de question, il n'en serait pas capable. Il aurait plus envie de lui demander pourquoi elle veut mourir, mais se réserve cette question. Il fait juste un petit geste de tête qui ressemble à une forme d'acquiescement. De toute façon, elle lui souhaite bonne nuit et alors, à son tour, il lui souhaite «bonne nuit Breony» et elle s'endort alors, toujours sur lui.
De son côté, disons que ça a pris un moment. D'abord, il guettait la respiration de la jeune femme, un tantinet inquiet, mais le sommeil finit par le gagner et il s'endort à son tour. Heureusement pour elle, Ryan n'est pas du genre à beaucoup bouger durant son sommeil, du moins, quand il a quelqu'un contre lui. Une main du jeune homme se pose contre ses cheveux, à la hauteur de son cou et y reste immobile, alors que l'autre est pendu au côté du lit. C'était un sommeil quand même léger et il avait un peu peur de se réveiller avec une morte sur lui le lendemain matin. Si jamais il se réveille et qu'il trouve Breony qui ne respire plus, garanti qu'il appelle l'ambulance. |
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Bienvenue à Lewis Breony A. Turner
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| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Mar 10 Mai - 9:50 | |
| CRÉDIT - CSS J’avais dormi deux petites heures, deux heures ou j’étais tombé dans un semi coma profond, le torse de mon nouvel ami m’ayant servi d’oreiller. Dormir près de quelqu’un était rare pour moi, j’avais toujours pensé que dormir était un moment de faiblesse, bien sûr nous avions tous besoin de sommeil mais je n’y arrivais pas, dormir avec quelqu’un ou près de quelqu’un était presque impossible, lorsque j’habitais chez mes amants j’allais dormir sur le canapé lorsqu’ils s’endormaient ou dans la salle de bain, loin de là ou ils étaient. Je n’aimais pas qu’on me voit dans cet état de faiblesse, j’avais toujours peur qu’une fois endormis les traits froid de mon visage se lâche et laisse apparaître la tristesse de ma vie. Mais ce soir là, cette nuit là plutôt je ne sais pas pour quelle raison j’avais besoin de quelqu’un, ce quelqu’un fut Ryan, je n’avais pas peur de lui, il ne jugé pas c’est peut être pour cela que je lui avais demandé de dormir près de moi, me collant contre lui et tombant dans un sommeil des plus profond. Lorsque mes yeux se sont fermés je ne savais pas si c’était pour la dernière fois ou non, en effet j’avais fait un sacré mélange qui était loin d’être des plus conseiller, cocaïne, whisky et médicaments n’étaient jamais conseillé je craignais la crise cardiaque mais en faite je m’en fichais, j’avais même demandé au jeune homme de ne pas appeler une ambulance si mon cœur fragile cesser soudainement de battre. En faite j’étais sérieuse ma vie était ce qu’elle est et je me fichais de vivre ou de mourir… Horrible pour une femme de vingt cinq ans non ? Le plus horrible c’est surement le fait d’être en plus de ça mère d’une petite fille. Si je venais à mourir personne ne prendrais cette puce sous son aile, je n’avais pas de famille, le géniteur de ma fille ne sait même pas qu’il est père et je n’avais pas vraiment d’amis en dehors de Maël, tient bonne idée je vais mettre celui-ci sur mon testament pour qu’il obtienne la garde de ma fille (a). Non honnêtement si je venais à perdre la vie je ne manquerais à personne, j’étais loin d’être suicidaire au contraire disons juste que je me tuais à petit feu en attendant mon tour et un coup de chance du destin. Malheureusement ou heureusement pour moi cette nuit ne serait pas la fin pour moi puisque vers quatre heures du matin les pleures de ma fille me réveille soudainement. Deux heures après mon retour chez moi je me lève doucement du lit et recouvre Ryan de ma couverture avant de quitter la chambre sur la pointe des pieds.
Je suis de nouveau clean et je prépare le biberon de ma fille ainsi que de quoi la changé avec une facilité déconcertante. C’est vrai quand on m’a vue deux heures avant la femme qui ne tenait pas debout se tient parfaitement bien droite, mes gestes sont précis. Mon petit bébé au bras je la laisse manger puis je m’en occupe pendant une bonne petite demi-heure. Ne sachant quoi faire je prends une cigarette et la fume à la fenêtre. Qu’est ce qu’il m’avait prit d’avoir voulu que cet homme reste ainsi ? Je n’en savais rien j’en avais besoin. Me réveiller avec ses bras autour de moi m’a détendu et m’a donner un léger sourire. Peut être que c’est parce qu’il était jeune que je me sentais bien, ou alors parce qu’il était différent des autres habitants d’ici. Je n’avais même pas eu besoin d’être hypocrite avec lui, il était discret et sympathique, je n’avais pas besoin de l’envoyer sur les roses, nous faisions nos vies chacun de notre côté et c’est ce que j’aimais. Ma cigarette roulant entre mes doigts je laisse mon esprit vagabonder à travers la fumée et la nuit, une fois cela fait je prends une douche et enfile une chemise d’homme ainsi qu’un léger short je n’avais pas honte de mon corps mais je ne souhaitais pas non plus gêné Ryan. Certes il avait dû déjà voir une femme dans ce genre de tenue mais je ne voulais pas passer pour une femme dites en manque qui chercher à sauter sur tous ce qui bouge, ça c’était ma mère pas moi. Bref après ça je retourne m’allonger dans le lit. Et je me remets dans la même position que précédemment c'est-à-dire la tête contre le torse de mon nouvel ami, j’écoute les battements de son cœur sans pouvoir refermer les paupières. La drogue avait disparue et le manque n’était même pas présent seulement les insomnies que la drogue provoquait en moi était différente chaque fois, cette nuit là j’avais l’impression d’être la femme la plus seule au monde. Si parfois ça me faisait plaisir d’autre fois je n’aimais pas ça du tout. Soudainement je senti le cœur de Ryan s’accélérer légèrement. D’une voix douce et gentille je chuchote. « Chut… Je ne suis pas morte je vais bien. Rendors-toi. » J’avais du lui faire peur avec mes envies de mort le pauvre lui qui ne me connaissait pas avait dû être drôlement choqué. Et je doutais qu’il m’écoute et qu’il ne m’amène pas à l’hôpital.
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Mar 10 Mai - 10:12 | |
| Ryan s'était endormi, l'esprit plus ou moins tranquille. Il y avait des chances pour qu'il se réveille avec un cadavre dans les bras le lendemain matin et il en était plus ou moins conscient. Ça l'avait surpris, de voir Breony saoule et, sûrement sous l'effet de d'autres choses, à cause des yeux qu'elle avait surtout. C'était une jolie femme, mais avec un métier, une maison, une petite fille, pas tout à fait le profil de la fille qui s'envoie en l'air tous les soirs et qui vit comme s'il n'y avait pas de lendemain, comme si la vie ne lui importait pas. Pourtant, il ne faut pas se fier aux apparences et ça, il ne le sait que trop bien. Pourtant, il aurait souhaité pour une fois que l'apparence angélique de Breony corresponde à la réalité. Ce n'était pas le cas, elle avait des défauts, des travers, comme tout le monde et il ne la jugerait pas là-dessus, parce qu'il pouvait comprendre pourquoi quelqu'un en venait là. Son père avait trois enfants, en comprenant lui et à la mort de sa mère, ça n'a pas empêché le pauvre homme de sombrer dans l'alcool et de devenir un veuf irréconciliable prisonnier d'une mélancolie passée. Ryan a fait ce qu'il a pu, mais comment un fils peut-il sauver son père? C'est très compliqué et disons que le jeune homme ne faisait pas figure d'autorité morale en face de celui qui l'a élevé.
Dans le même sens, il ne comptait pas donner de leçon à celle qui a une fille et qui s'est offert une soirée un tantinet dangereuse, frôlant la mince ligne rouge. D'autant qu'elle ne l'a fait qu'une fois, si ça devient vraiment récurrent, on en reparlera. Breony semblait mieux quand elle s'est rendormie contre lui, à l'aise et apaisée. Dans un sens, peut-être que sortir, se défouler, foutre un peu sa vie en l'air, ça peut être salvateur d'une certaine façon. Bien sûr, il existe de meilleure solution, mais si c'est un truc qui marche pour elle... Un brin songeur, il finit malgré tout par s'endormir et une fois dans son sommeil, plutôt profond d'ailleurs, il perd contact avec la réalité, avec cette femme contre lui. Une part de lui se disait que malgré tout, il avait de la chance. Une combinaison d'éléments finis par le réveiller. D'abord, l'absence de Breony, qui provoque une sorte de manque qui fini par contribuer à son réveil. Il lui manquait quelque chose, quelque chose qui était là quand il dormait. Les pleurs du bébé aussi y contribue et enfin, la couverture qui le recouvre. Chaleureux, il dort difficilement avec des couvertures sur lui, il finit presque toujours par s'en débarrasser plus ou moins consciemment. Ici encore, il les avait baissé d'un geste du bras, par pur réflexe inconscient, mais il se réveille, mais comme encore entre deux monde.
Il constate quand même que Breony n'est pas là et il soupire alors. Il n'y avait plus de pleurs, ou bien il cesse, mais il avait l'impression d'encore en entendre l'écho dans sa tête. Il y avait une bruit de douche. Ah voilà où elle était. Il se rendort un peu, mais toujours comme entre deux monde. Les yeux fermés, il sommeillait, mais sentait la présence de Breony non loin, qu'il entendait aussi. Elle devait se changer ou un truc du genre, mais elle réussissait à être très discrète. Ryan réalise qu'il fait quelque peu chaud dans avec ses jeans, il dormirait mieux en boxer, mais ce n'est qu'un détail et une fois rendormi, sûrement qu'il oubliera. Puis, son hôtesse revient contre lui et il se retient de sourire en la sentant de nouveau contre lui. Bah quoi? Il faut savoir profiter des petites choses comme ça. Un coucher de soleil, un verre de bière offert par un étranger sympathique, une jolie fille qui dort contre vous, se genre de trucs. Il faisait mine de dormir, mais la belle Breony se rend compte de quelque chose et lui parle. Les yeux toujours fermé, il esquisse finalement son mince sourire et parle à voix basse lui aussi, jouant un peu d'humour:
-Je ne m'en faisais pas pour toi... Je m'en faisais plus pour le bébé.
En fait, il était quand même content de s'être évité un cauchemar ou une nuit infernale dans le genre virée en ambulance et attente dans l'annonce d'une mauvaise nouvelle. Il remet son bras autour d'elle, comme il l'avait au début et rouvre les yeux, pour la regarder et ainsi constater qu'elle a repris des couleurs. Elle sentait bon le savon aussi, il devait le dire.
-Mais... juste pour savoir, rien que comme ça.. Tu es mieux?
Elle s'était effectivement changée, il pouvait le constater maintenant et il sentait la peau du bas de la jambe de Breony contre la sienne. Son cœur devait continuer de battre un peu rapidement.
-Si tu vas mieux, je devrais peut-être retourner sur le canapé.
Pour être honnête, il n'en avait pas envie et il ne sait pas pourquoi il disait ça. Pour être poli peut-être ou bien parce qu'il ne veut pas créer de malaise ou... non, en définitive, il ne sait pas pourquoi il dit ça et il se trouve bien idiot de l'avoir dit. |
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| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Mer 11 Mai - 8:20 | |
| CRÉDIT - CSS Ce que j’appréciais dans Ryan c’est qu’il appartenait aux personnes simple, ce n’est pas du tout un défaut ni un reproche bien au contraire c’est simplement que j’appréciais la simplicité dans laquelle il pouvait vivre, le premier soir ou je l’ai recueillit chez moi il m’a annoncé qu’il dormirait ou je voudrais même sur le sol, peu de personne pourrait vivre ainsi. Même moi. Le luxe est une chose que j’apprécie mais dont je n’ai pas les moyens, je ne vis pas au dessus de mes moyens je suis raisonnable mais quelques billets de plus voir quelques liasses me plairait bien comme à tout le monde je pense. Mais ce jeune homme avait cette simplicité, cette maturité que j’appréciais réellement, il avait pourtant tout juste dix neuf ans et je ne me souviens pas d’avoir cette maturité à cet âge. En faite si j’étais un peu comme lui à cet âge la drogue, l’alcool et la cigarette en plus bien sûr. J’étais habitué à vivre ma vie et à contrôlé celle de ma mère depuis si jeune que j’en avais oublié de vivre, j’avais eu beaucoup de chose à faire avec ma génitrice, m’occuper des comptes, du ménage, de la ramasser dans les bars ou dans les appartements mal famé, la faire dessaouler, viré ses amants collant et tous cela dès l’âge de onze ans. Bien sûr bien avant j’avais le droit de faire la moitié de toutes ses activités. Je n’étais pas beaucoup mieux qu’elle au contraire, moi aussi je sortais la nuit, moi aussi je passais d’homme en homme refusait toute idée d’attachement, de lien, d’amour, d’amitié, je faisais pour oublier un quelconque sentiment que je considérais comme faible. Moi aussi je buvais jusqu'à ne plus me souvenir ou j’habitais, je buvais et me droguais jusqu’à ne plus pouvoir aller dans ma chambre comme ce soir. J’étais pathétique et je me détestais pour cela. J’avais peur pour ma fille, j’avais peur chaque instant qu’elle vive avec une mère comme moi, j’avais peur qu’elle doive supporter la même vie que moi, pire qu’elle devienne comme moi, oh ça oui j’avais peur de tous cela mais est ce que ça me changera pour autant ? Bien sûr que non. J’étais aujourd’hui arrivé à un stade ou je ne changerais plus jamais. Même avec une personne des plus formidables à mes côtés. Tout ça pour dire que Ryan avait du avoir le droit à son lot de malheur et de souffrance pour être aussi mature à son âge. Mais je ne me permettrais jamais de lui poser des questions, tant qu’il n’en posait pas je n’en poserais pas non plus.
Une fois la migraine passé et les nausées aussi je me sentais bien mieux, j’avais pu m’occuper de ma fille sans avoir besoin de l’aide de quiconque, une cigarette et une douche plus tard je reprenais la place auprès de Ryan dans le lit, aux battements de son cœur j’avais senti qu’il était réveillé, comment ne pas l’être avec la sirène qui me servait de fille ? Elle devait réveiller tous l’immeuble. Lorsque je tente de le rassurer sur mon état il m’annonce qu’il s’inquiétait plus pour ma fille que moi. Menteur ! Dis Ryan on t’a jamais dis que mentir à une menteuse ça ne servait absolument à rien ? Un petit sourire se dessine sur mes lèvres et je me retourne de façon à pouvoir le regarder mais à avoir toujours ma tête sur son torse. « Tu sais que ce n’est pas beau de mentir » je prends une voix enfantine exprès pour plaisanter un peu, c’était rare, je plaisantais jamais ou peu, j’avais un sens de l’humour plutôt spécial basé sur de l’hypocrisie du coup je ne l’utilisais jamais avec Ryan. Bien sûr je souriais et riais je n’étais pas non plus inhumaine mais je n’étais pas le genre de femme à raconter des blagues au contraire. Et je voyais à son visage et à ses yeux qu’il s’inquiétait réellement pour moi, ça me fait bizarre, personne ne s’intéresse à moi ou ne s’inquiète pour moi, je joue tellement les femmes fortes que personne ne croit que je peux être mal moi aussi. « Je me sens mieux ne t’en fais pas. » Je le laisse mettre son bras autour de moi et pour mieux profiter de ce moment je referme les yeux calmement. « Je suis désolée de t’avoir fait peur tout à l’heure… avec l’ambulance etc… je n’étais pas très bien. Mais je me sens mieux. » J’avais du lui foutre la trouille le pauvre alors je m’excusais c’était normal. Lorsqu’il me dit qu’il peut partir maintenant que je vais mieux une main se pose sur son bras se resserrant tout doucement sans lui faire de mal. Mes yeux toujours fermés je fini par parler. « Hum… non reste là… en faite tu n’as pas trop le choix je te fais prisonnier. » Finalement il pouvait entrevoir une autre facette de moi, plus gentille que ce que la plupart des gens disent. Ils ne mentent pas, seulement il avait le droit de voir quelque chose que peu on pu voir, mon humanité. Et c’est finalement sans arrière pensé que je fini par lui dire. « Tu sais il fait chaud, je me suis mise à l’aise si tu veux enlever ton jean n’hésite pas y a aucun problème. »
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Mer 11 Mai - 10:44 | |
| Quand on a eu une vie semblable à celle de Ryan, la perte d'un parent alors qu'on est assez jeune, la vue de son propre père sombrer dans la dépression et tout ce qui est venue avec, décider de partir de la maison, comme ça, pour essayer, non plus de survivre chez soi, à la maison, où peu à peu, il sentait qu'il manquait d'air, mais pour aller vivre, profiter des belles choses et s'éloigner du malheur qui l'étouffait et du mal à l'âme dont il souffrait. C'est la meilleure façon qu'il avait trouvé pour redevenir heureux, aussi surprenant que cela puisse paraître, parce qu'après tout, c'était risqué à bien des égards et pour être franc, il est loin de le conseiller à tout le monde, mais à chacun son parcours.
Parcours qui l'a conduit à Lewis, à Breony et maintenant, il dormait avec la jeune femme dans le lit. Il était surtout heureux de voir qu'elle allait mieux, c'est bien certain et on sait déjà que Ryan ne montrait aucun signe de mépris ou de préjugé, bien que c'était évident qu'il savait ce qu'elle avait dû faire à cette soirée. Comme il dit qu'il s'inquiétait pour le bébé, Breony réagit et bouge sa tête vers lui, comme ça, elle peut le regarder dans le blanc des yeux et voir avec aisance, sans oublier ce petit sourire qu'il a, qu'effectivement, il ne souciait peut-être pas tant de la fille de la jeune femme. D'ailleurs, il se demande où est le père, mais il devine que c'est sans doute une autre fille laissée à elle-même après une grossesse non-désirée. Ryan ne comprendra jamais ses hommes qui abandonne une femme qui porte leur enfant. Ya quelque chose de fondamentalement lâche dans se geste. Après, il n'est pas au courant de l'histoire de Breony, de où est le père et il ne posera pas de questions. En fait, on a dû le remarquer quand même, Ryan ne pose pas beaucoup de questions sur la vie personnelle des gens et encore moins sur leur passé. D'abord, quand on pose une question, on peut se la faire retourner et il y a des choses qu'il préfère ne pas aborder et après, il est ancré dans le présent et c'est à quoi il s'intéresse. Le reste lui importe peu.
-Au moins, j'aurai essayé.
Continuait-il de dire avec un brin d'humour. Il n'a jamais été très bon menteur, c'est un fait, en revanche, il est un expert dans l'art de ne pas dire les choses. Quand on y pense, ce n'est peut-être pas si différent. Après quoi, toujours sur un air léger comme s'il abordait un détail, il demande quand même comment elle se sent. C'était la moindre des choses selon lui de chercher à le savoir et il ne le fait pas parce qu'il se sent redevable envers Breony ou en tout cas, ça ne saurait être le seul sentiment qui le motive. Ryan est le genre de jeune homme qui aide les gens d'emblée, s'il en a l'occasion. Un ange? Ou non, certainement pas, mais il est capable de compassion et d'empathie, voilà et envers les filles, il a toujours se côté grand frère qui se manifeste. On appellera ça une «déformation familiale». Breony a tôt fait de le rassurer et le jeune homme d'Alabama hoche doucement de la tête. Elle semblait effectivement aller mieux. Ensuite, elle s'excuse pour tout à l'heure et un brin pensif, ses yeux fixaient le plafond pendant qu'elle parlait, puis reporte son attention sur elle.
-Je sais... et désolé de peut-être te décevoir, mais promesse ou pas, j'aurais appelé une ambulance.
Par après, il réalise qu'à se point, il ferait peut-être mieux de retourner à sa place, hors du lit... ou pas, parce qu'il y était bien, autant être franc et Breony aussi ne semble pas trop à plaindre. D'ailleurs, elle lui dit qu'il peut rester et serre même un peu son bras, comme si elle voulait s'assurer qu'il reste. Ses yeux baissant sur cette douce main qui s'accroche un peu à lui comme à une bouée, il la regarde après, un sourire en coin. Ça faisait longtemps qu'il ne s'était pas senti aussi proche de quelqu'un.
-Dans ce cas, je n'ai pas trop le choix on dirait. Je reste...
La première fois qu'il dort dans un lit depuis... oh il a du mal à se souvenir, peut-être trois semaines, peut-être deux et demi, quelque chose comme ça. Et encore, ce lit est très confortable! Après quoi, la femme contre lui suggère qu'il enlève ses jeans et qu'il se mette à l'aise. Il la regarde un peu, sondant ses yeux pour voir si vraiment, ça ne la dérange pas, mais il hoche un peu de la tête et doucement, sans geste brusque, il redresse son torse et la laisse se décoller de lui, pour un moment. Après quoi, il défait le bouton de ses jeans, puis la fermeture éclair et les enlève. Ah, ça faisait du bien quand même, il avait le corps tout chaud et mine de rien... Bref, maintenant, il avait l'impression de recommencer à respirer. Toujours comme assis, il jette comme un coup d’œil à celle à ses côtés, non loin.
-Rassures moi... tu ne travailles pas demain? Je dis ça parce que j'ai une vilaine tendance à puncher les cadrans qui sonnent le matin.
Après quoi, il se couche de nouveau et probablement que Breony s'installe encore contre lui et mine de rien, cette proximité commençait à lui plaire, mais il restait calme quand même, la respiration constante, l'air détendu, un bras autour de la jeune femme. Comme elle semble avoir les yeux fermés, il tend deux doigts de sa main libre et vient caresser la joue de la jeune femme. Elle avait la peau si douce, qu'il en était presque fasciné, mais il interrompt son geste, quelque peu gêné par celui-ci. |
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Bienvenue à Lewis Breony A. Turner
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| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Jeu 12 Mai - 4:54 | |
| CRÉDIT - CSS C’est marrant comme en quelques minutes une soirée peut changer, j’avais passée la moitié de la nuit dans les bras d’un homme marié, un amant que je connaissais depuis longtemps et qui voulait remettre le couvert avec une ancienne maitresse, pourquoi pas, il avait tous ce dont j’avais besoin alors ça ne m’a pas dérangé d’avoir eu son appel. Il avait appris par quelqu’un que j’étais revenue et avait voulu renoué un lien vieux de plus d’un an. Donc juste après cette soirée j’étais rentré et je me retrouvé dans les bras d’un autre jeune homme. La différente était indétectable pour beaucoup mais moi je la voyais, Ryan était gentil, un adorable jeune homme, malheureusement un jour ou l’autre je lui ferais du mal, par peur, par habitude, par méchanceté, je le ferais souffrir parce que je fais souffrir tous ceux qui m’entoure c’est obligatoire. Pour l’instant j’en profitais, je profitais de ce moment de tendresse que je n’aurais peut être plus jamais. A quoi bon se cacher derrière un masque quand pour une fois on peut être normal ? Ça me faisait beaucoup de bien de me reposer, de ne plus avoir à me défendre sans arrêt, même mon cœur battait plus doucement, tranquillement, je n’avais pas peur de faire une attaque toutes les deux secondes. Ma main reste agrippé au bras de mon invité, je n’ai pas envie qu’il parte et ainsi je peux garder les yeux fermés et respiré tranquillement. Je l’entends parler de la promesse qu’il m’avait fait de ne pas appelé une ambulance, je savais qu’il ne tiendrait pas parole, peu le ferait, laisser mourir une femme était étrange comme demande et surtout comme acceptation il était clair que Ryan n’était pas ce genre d’homme, même le pire des enfoirés ne laisserait pas quelqu’un mourir dans ses bras simplement parce qu’elle le demande. Je lui fais donc un léger sourire et ouvre de nouveau les yeux, je m’appuie grâce avec mes bras sur le lit – un bras de chaque côté du corps de Ryan – puis je me soulève et m’approche du visage du jeune homme, lui donnant un doux baiser sur la joue. « Pardon… je ne voulais pas te demander quelque chose comme ça… je n’aurais même pas dû y penser. Tu sais parfois ça arrive… c’était juste une petite déprime passagère. Promis je te demanderais pas de choisir d’appeler ou non une ambulance. Tu n’as pas à t’en faire. » Je relâche mes mains pour retomber doucement contre le jeune homme, reposant ma tête tranquillement sur son torse pour le regarder. J’étais très étrange et il devait le comprendre, parfois je pouvais rire, puis être en colère, ensuite je devenais gentille et douce puis agressive et ainsi de suite.
Juste après ça il m’annonce qu’il reste et je ne sais pas pourquoi j’en suis soulagé, je n’avais pas envie de terminer la nuit seule dans mon lit, de toute façon je n’aurais pas pu dormir c’était clair, je ne dormirais plus même maintenant mais au moins j’avais de la compagnie. Je n’allais pas me plaindre loin de là sa compagnie était très agréable et j’étais très bien installé, je pense que lui aussi sinon il serait parti quand il en avait l’occasion. Heureusement qu’il n’a pas fuit mon égo en aurait prit un sacré coup je pense. Finalement je lui avais proposé de ce mettre à l’aise du coup il m’avait gentiment poussé pour qu’il puisse se levé, il avait enlevé son pantalon et je m’étais recouché contre lui, reprenant ma place initial avec son bras autour de moi. Un sourire me vient tout de suite sur les lèvres quand il me demande si je travail le lendemain. « Non t’en fais pas je ne travail pas demain, je me suis arrangé avec mon patron je vais rester quelques temps chez moi » L’avantage d’avoir eu son patron pour amant c’est qu’on pouvait absolument tout lui demander. L’avantage aussi d’être mère célibataire. Le géniteur ne sachant même pas qu’il était père. Horrible hein ? Oui je sais je sais mais c’est moi, c’est mon caractère, c’est ma vie, ma façon d’être, je suis horrible de nature. Une fois mes yeux refermés et la tranquillité revenue tout doucement, je sens une chaleur sur ma joue, le contact de la peau de mon invité sur ma joue, je ne bouge pas, mon cœur s’accélérant légèrement. Lorsqu’il enlève sa main je lui rattrape tout doucement reposant sa main sur ma propre joue. « Non… laisse là… » Je n’avais jamais ce genre de contact avec quiconque… j’ouvre de nouveau les yeux pour le regarder. « Tu sais je… je ne suis pas une gentille femme… j’ai un caractère de cochon et encore je suis polie, bref j’ai une réputation de pourriture faut le savoir… Je… je voudrais que ça reste entre nous… la façon dont tu me vois est peut être différente des autres mais je ne veux pas perdre ma réputation de garce. C’est peut être dingue… Mais… je préfère ça. » Je lui embrasse la paume de la main avant de le relâcher. Je le remercier à l’avance de ne pas poser trop de question.
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Jeu 12 Mai - 5:49 | |
| Breony avait l'air de vraiment s'en vouloir de lui avoir dit ce qu'elle a dit tout à l'heure. C'est drôle, mais ça n'avait pas affecté Ryan tant que ça. Quand les gens sont sous l'effet de substance, ils disent souvent des idioties de se genre, quelque chose qui leur effleure l'esprit, une sorte de bulle qui passe et qui éclate. Certains ne s'en souviennent même pas. C'est pour cela d'ailleurs que quand elle avait tenu ses propos, il n'en avait pas fait grand cas et avait simplement acquiescé, ne pouvant croire qu'elle espérait sérieusement cette éventualité, mais selon lui, c'était quand même la preuve d'une chose. Breony est peut-être une femme seule et triste finalement. Quelqu'un un jour à écrit qu'être seul, dans un environnement seul, c'est trouver la sérénité, une sorte de saine solitude. Mais être seul, alors qu'on est entouré de gens, ça, c'est terrible. On est alors forcé à la remise en question. Pourquoi suis-je si seul? Ou pire, on commence à se détester et à détester les autres et on s'engage dans un cercle vicieux terrible, qui ne peut que mal se terminer. Parfois, il faut une main tendue, d'autres fois, il faut simplement réaliser qu'on n'est pas si seul.
Breony venait de déposer un baiser contre sa joue et il la regardait directement dans les yeux. De l'avoir proche comme ça, ça n'avait rien d'intimidant. Elle avait un air si doux... bref, elle s'excuse de lui avoir dit ce qu'elle a dit, sur l'ambulance et tout. Elle semblait vraiment s'en vouloir et lui disait de ne pas s'en faire. Il acquiesça doucement, sans tout de suite répondre. C'est bien ce qu'il s'était dit et il n'eut pas de mal à la croire malgré tout.
-T'en fais pas... Je sais que tu n'étais pas tout à fait toi-même.
C'est pour ça qu'il est heureux que quand elle est revenue à elle, la Texane ne l'ait pas viré du lit. Un peu plus tard, après qu'il se soit un peu plus déshabillé, ils rigolent un peu tout les deux en parlant de comment Ryan pouvait traiter un réveil matin. Elle lui explique alors qu'elle ne travaillait pas demain, ou plutôt, aujourd'hui, vue l'heure qu'il est. Elle était libre de rester chez elle.Si demain il ne sort pas, il aura donc de la compagnie à la maison, mais il ne dérangera pas trop Breony, qui préféra sans doute passer du temps avec sa fille ou un truc du genre. Bref, elle a sûrement mieux à faire que passer du temps avec lui, mais en ce moment, elle semble vraiment tenir à sa présence et ça fait longtemps qu'une fille ne s'était pas accrochée comme ça à lui et ça le touchait au fond et il était heureux de pouvoir être utile à quelqu'un, à nouveau.
-C'est cool alors... une journée tranquille en vue.
Puis, il finit par céder à la tentation de caresser la joue de Breony. Il pensait qu'elle était peut-être assoupie, ou bien qu'elle se laisserait faire, sans réagir, mais quand il vient pour enlever sa main, celle de la jeune femme se pose contre la sienne et insiste pour qu'elle y reste. Toujours docile, il exauce son souhait et appuie même l'ensemble de sa main contre sa joue. Puis, comme il la regardait, son regard change, parce qu'elle le met en garde en quelque sorte. En garde contre son caractère, sa réputation. On dirait qu'elle se sentait obligée de le faire, qu'elle lui disait ça pour qu'il ne s'attache pas ou bien pour affirmer encore plus la réputation dont elle parle. Il avait un regard comme sceptique. Il avait du mal à la croire. Jusqu'ici, elle n'a pas été ainsi avec lui et personne n'est parfait. Quant à sa réputation, si elle savait comment il s'en moque. Il n'a sûrement pas très bonne réputation en ce moment chez lui. On le surnomme sûrement le fils prodigue. Pour la rassurer, loin de fuir son regard, il caresse un peu sa joue et prend doucement le menton de l'Américaine pour qu'elle le regarde:
-Promis, ça restera entre nous.
S'il doit dire à tout le monde à quel point elle est une garce, il le fera, mais en fait, étant discret de nature, il ne voit pas en quoi ça regarde les gens, qu'il habite chez elle, ou bien comment elle est avec lui. Puis, une idée, une envie même, lui traverse l'esprit. Le genre de chose qu'on se dit qu'on va le regretter si on la fait, mais c'est plus fort que nous. Il approche sa tête pour l'embrasser, se risquer à un doux baiser. Un geste dangereux vu ce qu'elle vient de lui dire, mais s'il y a bien quelqu'un qui joue avec le feu parfois, c'est bien Ryan. Une autre chose qui pourrait bien rester entre eux. Chose certaine, il ne forcera pas son chemin, ni ne s'imposera. |
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Bienvenue à Lewis Breony A. Turner
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Célébrité : Natalie Portman Âge : 25 ans Citation favorite : Je fais bien de ne pas rendre l’accès de mon cœur facile ; quand on y est une fois entré, on n’en sort pas sans le déchirer ; c’est une plaie qui ne cautérise jamais bien. Messages : 2365
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Jeu 12 Mai - 7:10 | |
| CRÉDIT - CSS Est-ce que Ryan avait raison ? Est-ce que je n’étais pas vraiment moi-même au moment où je lui ai demandé de me laisser mourir ? Bien sûr que non il avait tort, je prenais de la coke depuis tellement d’années qu’aujourd’hui je savais parfaitement ce que je racontais, je savais que je lui avais demandé de me laisser mourir et je savais au fond de moi que c’est ce dont j’avais envie. Pourquoi ? Parce que même moi parfois j’étais épuisée de ma propre vie, je n’avais pas envie de changer, je ne voulais pas devenir plus gentille et plus adorable, je n’avais aucune envie de devenir comme les autres j’étais irrécupérable et je le savais. Le trois quart du temps je le vivais parfaitement bien, cachant mes faiblesses au plus profond de mon hypocrisie et de mon arrogance mais parfois, oui parfois j’étais dans un état de faiblesse que je ne pouvais plus cacher, je ne tenais pas vraiment à ma vie, sinon j’y ferais bien plus attention mais ça m’étais égal de vivre ou de mourir je sais bien qu’à vingt cinq ans c’est totalement inconcevable mais c’est ainsi… je devais avoir une certaine tendance à la dépression sans que quiconque ne le voit. Je n’aurais jamais le courage de faire quoi que ce soit contre ma propre vie je ne suis pas suicidaire, j’aurais pu l’être avec ma mère mais non j’étais plus forte que ça. Je ne lui offre qu’un petit sourire sans rien dire pendant un petit moment. Dire la vérité ou mentir ? C’est une bonne question, je finis donc par me dire que mentir parfois ça avait du bon c’était peut être mieux pour lui de ne pas savoir ce qui tourne dans ma petite tête brune. « Tu as raison ça devait être l’alcool que j’ai bu ça m’a légèrement troublé. » Comme si j’en avais pas l’habitude… dix ans que je buvais maintenant, dix ans que je me droguais, ce n’étais pas mon premier coup d’essai, la case légèrement troublé n’existe absolument pas chez moi je suis soit embrouillé par l’alcool soit excitée par la drogue c’était un coup l’un, un coup l’autre. Ce n’avait plus aucune importance finalement puisque j’étais redescendu et maintenant j’avais les idées claires.
Qu’est ce que j’allais bien pouvoir faire demain ou plutôt tout à l’heure ? Bonne question j’allais devoir sortir si je ne voulais pas hurler dans l’appartement et assommé Ryan avec ma mauvaise humeur plutôt palpable la journée. Je ne suis pas souvent chez moi je ne supporte pas d’être enfermé dans l’appartement, je me sens oppressé, j’ai l’impression de ne plus avoir d’air, de ne plus pouvoir respirer, ma claustrophobie arrive même à se déclenché ici alors que les pièces sont plutôt grande quand même. Je faisais des crises d’angoisses d’être enfermée dans cet appartement. Il fallait dire que je n’en avais pas du tout l’habitude bien au contraire je suis plutôt le genre de femme à vagabonder jour et nuit rentrer une ou deux heures dormir, prendre une douche et ressortir voilà ce que je faisais avant d’avoir Angela. Aujourd’hui tout avait changé pourtant mon envie de prendre l’air et de m’enfuir était toujours présente, ça me faisait peur chaque seconde, j’avais peur d’abandonné la petite fille un beau matin mais je ne pouvais m’empêcher. Peut être que je passerais la journée avec le jeune homme demain, on pourrait apprendre à se connaître un petit peu plus sans pour autant se livrés, après tout je ne savais absolument rien du jeune homme que j’avais sous mon toit il pouvait être un psychopathe – bien que vue son attitude je ne pense pas – je ne savais pas ce qu’il aimait manger, ce qu’il aimait boire, des petites choses importantes quand on vit à deux dans un appartement non ? Je verrais ça avec lui demain matin… « Tu sais… si tu veux sortir faire la fête et même si tu as besoin de… ramener quelqu’un ne te gêne pas hein… préviens moi seulement. » J’ai eu dix neuf ans moi aussi et j’ai eu des tas de personnes dans mon lit alors je pouvais comprendre, certes Lewis n’était pas vraiment le village des fêtes mais quand même je ne voulais pas qu’il se sente obligé de se restreindre pour moi. S’il avait une petite amie pourquoi pas… ça m’est égal quand il y a de la nourriture pour deux y en a pour trois l’essentiel c’est que je le sache et je lui laisserais l’appartement pour la nuit prenant ma puce avec moi.
Je ne sais absolument pas lorsque ça a dérapé comme cela, j’étais là à parler de ma réputation, de ma vie, je lui demandais de garder le secret parce que je ne voulais pas que ça arrive à des oreilles indiscrète je voulais absolument que l’on garde moi l’unique garce que j’étais un point c’est tout. Il caressait ma joue du bout des doigts et je le regardais faire, première fois que l’on me le faisait de cette manière. Et là… je sens ses lèvres sur les miennes, d’abord surprise mon cerveau tourne à cent à l’heure pour savoir si je le repousse ou si je prolonge son baiser. Finalement c’est la deuxième solution qui se passe. Je relève ma tête et accentue son baiser un peu plus passionnément glissant ma main derrière sa nuque. Pourtant c’est moi qui mets fin à ce baiser passionné. Relevant les yeux vers les siens et tout en restant proche de ses lèvres j’arrive à articuler quelques mots. « Ce n’est pas vraiment raisonnable… » Ma main prenant place sur sa joue je lui effleure la joue avec mon pouce.
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Jeu 12 Mai - 7:59 | |
| Quand Breony lui dit qu'elle devait effectivement ne pas être elle-même, il la croit. Ryan était loin de savoir les antécédents de la jeune femme et d'emblée, il fait confiance au gens, encore plus à ceux qui lui rende un service de l'envergure que la belle Américaine lui a rendu. Accepté de le tolérer sous son toit, sans même le faire payer, ce n'est pas rien quand même. D'accord, il a promis de l'aider pour les tâches, mais ça, ça allait de soi. S'il fait confiance au gens, il n'est pas complètement naïf non plus et une fois qu'il a perdu confiance en vous, que vous lui mentez, d'un vrai mensonge, pas un truc inoffensif, c'est fini, vous ne récupérez pas sa confiance. Chaque fois que vous lui direz quelque chose, il doutera que ce soit la vérité et il restera méfiant, sceptique. Alors si vous lui mentez, vous avez intérêt à ce qu'il ne le découvre pas, ou que votre mensonge ait une justification béton.
C'est vrai que Breony et Ryan ne se connaissent pas beaucoup. Ça ne fait que deux jours qu'ils se connaissent et c'est difficile, sinon impossible de se connaître tout d'un coup. Le jeune homme croit qu'on ne peut vraiment apprécier les gens que sur le long terme. Ça ne l'empêche pas de se faire des amis rapidement, ou de coucher avec une fille pour une nuit, mais il n'ira pas considéré non plus qu'après une journée, il peut vous dire tous vos secrets et vous considérer comme son meilleur ami. Comme quoi, même lui pouvait être difficile à amadouer. N'empêche, il a bon espoir d'arriver à bien s'entendre avec Breony et Ryan ne s'intéresse pas à la perfection, il n'y croit pas de toute façon, alors quand même qu'elle ait des défauts. Elle verra à son tour bien assez tôt qu'il a les siens. Voilà sa colocataire, si on peut dire, qui lui dit que s'il peut ramener quelqu'un, quelqu'une dans son cas, qu'il n'a pas à se gêner, qu'il peut faire. C'est très gentil de sa part et il ramènera des amis, mais de là à coucher chez elle, non. Il ira plutôt chez la demoiselle. Même règlement qu'avec ses parents dans le temps. «Ce que tu fais la nuit, avec une fille, ça te regarde, mais tu ne feras pas ça sous mon toit, avec tes sœurs qui dorment dans la chambre d'à côté». Son père avait quand même bien raison... Dans le cas de Breony, elle promettait de quitter, mais rien de tout ça ne sera nécessaire, puisqu'il dit sur un air décidé, du genre difficile à faire changer d'avis:
-T'inquiètes pas, si je veux sortir, je sortirai. Je ne me sens pas pris en cage ici... Mais si je rencontre une fille, c'est chez elle que ça va se terminer, pas ici. Je ne demanderai pas à celle qui m'accueille sous son toit de quitter la maison pour mes envies.
Dans son cas, il ne parle que de filles parce qu'il est hétérosexuel. Si Breony en doutait ou n'était pas certaine jusqu'ici, la voilà qui était fixée. C'était hors de question pour lui de venir ici et de faire ça sur le canapé ou bien sur le lit de la maîtresse des lieux. Nah, vraiment trop bizarre et trop déplacé à son goût. Il ira faire ça bien tranquille, ailleurs et qu'elle se rassure, il n'est pas trop du genre à se priver et comme on dit, un jeune homme a des besoins. Il est jeune, assez beau et règle générale, il n'a pas trop de mal à en profiter quand il en a l'occasion.
Avec ce qui arrive un peu plus tard, vous vous dites que justement, il a décidé d'en profiter. Or, non, pas du tout. Ce n'était pas calculé le moins du monde et en acceptant de vivre sous le toit de Breony, ce n'est pas du tout ce qu'il avait en tête, mais le fait est que se baiser arrive bel et bien. Comment? Il ouvre le bal, mais elle ne tarde pas à répondre, une fois la surprise passée, augmentant la passion de cet échange aussi doux, mais intense à la fois, qu'il pouvait l'espérer. Elle y met fin, doucement et c'est vrai qu'il aurait souhaité que ça dure dans un sens, mais après, il avale un peu de travers parce qu'il réalise que ça pourrait bien être une bourde. Pas qu'elle soit en couple, mais enfin, se genre de trucs, ça peut vite devenir délicats. Il faut dire que comme il est jeune, une idée passe par la tête, il ne réfléchit pas et il la fait. Elle était contre lui depuis un moment, ses jambes contre les siennes, il avait aimé le contact de sa peau, le toucher de sa joue, ils avaient échangé des baisers sur la joue et oui, elle l'attire, soyons franc et maintenant, il sait que cette attirance est sûrement réciproque. Après, peut-être qu'elle a raison, peut-être que ce n'est pas raisonnable, mais c'est un mot qu'il a perdu de vue depuis un moment maintenant. Ce n'était pas raisonnable de partir de chez son père comme ça, de tout abandonner derrière soi. Ce n'était pas raisonnable de passer trop de temps à la Nouvelle-Orléans, ce n'est pas raisonnable de travailler au noir ou encore, d'accepter d'habiter chez une étrangère, une mère monoparentale qui plus est. Et maintenant, il venait de faire un baiser déraisonnable qui s'inscrit dans une tendance.
Comme elle caresse sa joue, il glisse sa main de la joue de la belle Américaine, à son cou et comme si son commentaire n'était rien, sinon qu'un détail, il murmure:
-Je ne suis pas très raisonnable comme personne...
Et elle, c'est une garce finie, comme quoi là-dessus, ils pourraient bien s'entendre. Alors Ryan revient à la charge et l'embrasse de nouveau, moins hésitant, plus à l'aise sa main allant dégager un peu plus les cheveux de Breony pour se laisser aller ensuite à un peu plus de passion, sauf si elle interrompt le baiser pour une raison ou une autre. Dans le même processus, il redresse un peu plus son torse, le drap glissant légèrement du long du dos de la jeune femme contre lui. Si le baiser dure, il ne tarde pas à vouloir le renouer, après une pause d'une demi-seconde qui lui permet de reprendre son souffle. C'était des baisers chaleureux, passionnés, comme ceux d'un jeune homme qui en a bien de besoin, c'est un fait, mais qui aussi, semble presque reconnaissant, désireux à tout le moins. |
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Bienvenue à Lewis Breony A. Turner
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Célébrité : Natalie Portman Âge : 25 ans Citation favorite : Je fais bien de ne pas rendre l’accès de mon cœur facile ; quand on y est une fois entré, on n’en sort pas sans le déchirer ; c’est une plaie qui ne cautérise jamais bien. Messages : 2365
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Jeu 12 Mai - 9:04 | |
| CRÉDIT - CSS Pourquoi est ce que je venais de proposer à Ryan d’amener une femme chez moi ? Aucune idée… je voulais qu’il se sente à l’aise chez moi, je n’ai pas envie de faire le gendarme, je ne veux pas qu’il croit que parce qu’il est plus jeune que moi je vais remplacer devenir une grande sœur, c’est vrai que parfois j’ai des reflexes de mère mais c’est l’instinct maternelle qui ressort pour certaine personne. Je n’en ai même pas encore l’habitude je ne sais pas si je m’y ferais, avoir l’instinct maternelle puis rentrer bourrée c’est un peu contradictoire mais bon je suis Breony Turner, je suis contradictoire de nature, je n’aime pas faire comme tous les autres, je suis changeante et en cinq minutes une conversation peut passer d’agréable à infecte. Je sais parfaitement bien que le jeune homme ne profitera pas de mon appartement, je le savais parce que j’avais déjà l’impression qu’il se cachait le plus possible pour ne pas gêné alors que je lui ai dis qu’il était ici chez lui mais non il ne veut pas se mettre trop à l’aise de peur peut être que je le mette à la rue. Je n’amenais personne chez moi aucun homme ne connaissait mon adresse je n’aimais pas que l’on apprenne ou je vivais de peur d’être harcelé à longueur de temps. Je sais très bien que Lewis est si petit que l’on apprend facilement ou habite qui et ce qu’il fait mais bon c’était une sécurité de plus. Je ne voulais pas imposer mes amants à ma petite chérie j’avais bien trop souvent vue les amants de ma mère et il ne faut pas croire elle en avait bien plus que moi cette saleté. Des sympas comme des mauvais comme la galle donc oui je ne voulais pas qu’Angela soit en contact avec mes amants. Elle aura déjà ma réputation à supporter avec les années pas la peine de supporter les frasques de sa dépravé de mère. « Je veux être sûre de ne pas t’étouffé tu vois… ça fait que deux jours que tu es là faudrait pas que tu en es déjà marre » Je lui fais un petit sourire en coin. Bon le premier jour a été dur j’avoue parce que je n’avais pas l’habitude de vivre avec quelqu’un mais bon là je m’y suis habitué et ça me fera bizarre lorsque Ryan voudra partir mais je suis sûre que s’il me déteste pas avant on restera en contact sans aucun souci après tout nous avions quelques petites choses en commun et des traits de caractère semblable. C’est bien pour cela que je suis si proche de lui parce qu’il a cette touche de fraicheur qui manquait à ma vie tous ce pousse un peu dans ma tête en ce moment par sa seule présence il calme légèrement mes inquiétudes, juste avec un gentil sourire. C’est pathétique hein… je sais mais bon c’est ainsi je ne peux pas faire autrement mon cerveau est bien trop compliqué pour que je tente de le comprendre.
Je suis une femme qui aime tout prévoir, je vois toujours lorsqu’un homme tente de me charmer ou lorsqu’il y a quelque chose qui dérape mais là j’avoue ne rien avoir vue venir. Les lèvres de mon nouveau colocataire avait glissé sur les miennes et moi qu’est ce que j’avais fais ? J’avais poussé ce baiser avec un peu plus de passion que de douceur. Demain matin je pense que j’en aurais des remords non pas que j’en ai pas envie non mais disons que Ryan est plus jeune que moi je sais bien que ce n’est plus un gamin mais bon je devrais peut être arrêté de faire ce genre de chose avec des hommes plus jeunes je n’ai plus dix neuf ans j’en ai quand même vingt cinq et je suis mère de famille. Mais aller dire ça à un cerveau totalement embrumé par une envie… ça ne sert absolument à rien de réfléchir dans ce genre de situation il n’y a plus qu’a voir ou est ce que ça nous mènera. J’avais arrêté le baiser pour me reprendre, tentant vainement de faire parler mon cerveau, je lui avais annoncé qu’il n’y avait rien de raisonnable là dedans mais effectivement Ryan était comme moi et n’avait rien de raisonnable c’est d’ailleurs après m’avoir annoncé cela qu’il m’embrasse à nouveau. Cette fois ci moins doucement, moins hésitant je le sens faire. Et je ne le repousse pas, glissant ma main de sa joue tout doucement sur son cou, puis sur son bras en frôlant sa peau du bout des doigts. De l’autre main je me ressers encore contre lui, je réponds à son baiser avec une certaine passion et une légère fougue contrôlé. Mon cerveau me hurler d’arrêter ça tout de suite mais mon corps n’avait pas vraiment envie de cessé.
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Jeu 12 Mai - 9:26 | |
| Breony ne voulait pas l'étouffer et il ne se sentait pas étouffé non plus. S'il a envie de sortir, il va le faire et d'ailleurs, il n'a pas passé la veille à tourner en rond dans la maison comme un lion en cage. Il découvre peu à peu Lewis, cette jolie ville avec un micro-climat pratiquement, une faune bien à elle et on ne parle pas que de ses habitants ici, quand même. Il espère se trouver un emploi sous peu, accumuler un peu d'argent, assez pour compléter son chemin jusqu'en Californie, l'État où tout semble possible. Sauf qu'il ne prend rien pour acquis non plus. On ne sait jamais, il pourrait avoir de bonnes raisons de décider de rester ici. Chose certaine, il ne vit pas dans les regrets. Ce n'est pas son fort. Pas qu'il ne remet en question tout ce qu'il fait ou à pu faire, mais une fois que c'est passé, c'est derrière lui et il n'essaie jamais de revenir sur ses pas ou de pleurer sur un sort qui aurait pu être meilleur, s'il avait pris la «bonne» décision.
-T'en fais donc pas tant pour moi. Si je veux sortir, je vais sortir et pour le moment, ça va, je n'en ai pas marre.
Un petit clin d’œil, un sourire amusé et Breony devrait être assez fixé. Il était loin d'en avoir marre, même s'il est vrai qu'il doit prendre ses marques, mais avec le temps, ça viendra, elle ne devrait pas trop s'en faire. Il a beau n'avoir que dix-neuf ans, il est assez mature et débrouillard et puis, il a l'âge de la majorité... Quoique non, pas au Texas, c'est vrai. Il ne peut même pas boire de l'alcool légalement. Comme si une telle loi empêche les jeunes de boire...
S'il apporte de la fraîcheur dans la vie de Breony, on peut dire la même chose d'elle. C'était inespéré que quelqu'un lui offre un toit, mais aussi, il s'entend plutôt bien avec elle, même si ça ne date que depuis quelques jours et le fait qu'elle l'accueille ainsi et qu'elle le traite avec égard... disons qu'il y a un bout de temps que quelqu'un n'avait pas pris soin de lui comme ça, ou qu'à l'inverse, il n'avait pris soin de quelqu'un comme il l'a fait ce soir, bien qu'il n'ait pas fait grand chose. Alors quand une envie lui traverse l'esprit, il l'assume et voit Breony prolongé cet échange un peu plus intime. Bientôt, ils recommencent et c'est vrai qu'il y avait un brin de folie dans tout cela. Ryan ne réfléchissait plus trop au conséquence, mais de toute façon, il n'y a rien de mal à ce qu'ils font. Ils sont tout les deux célibataires et la différence d'âge, on pourrait en parler longtemps, ils ne seraient pas plus avancés. Ryan serait du genre à dire ou penser: «quel différence d'âge?». Comme ils s'engagent tout deux dans un deuxième baiser, encore une fois, elle ne le repousse pas, au contraire, elle renoue. Les deux jeunes adultes ne cessent de se rapprocher un peu plus et il sent la main de l'Américaine parcourir son bras avec douceur, alors que le baiser devient un brin plus fougueux. De son côté, le jeune homme se redresse encore un peu, comme assis maintenant.
Une main contre le cou de Breony, à défaut de reprendre ses esprits, il reprend son souffle, mais il en profite aussi pour déposer des baisers contre son cou. D'abord,, sous sa mâchoire, ensuite, contre le haut du cou, le milieu, le creux, s'appliquant à chacun d'eux. Une de ses mains effleure la jambe de la belle brune, dont il sentait la douceur de la peau contre la sienne depuis tout à l'heure. Il n'était pas vraiment hésitant dans ses gestes, mais prudent à tout le moins. Après ses quelques gestes, il se dirige encore pour l'embrasser et de son côté, il ne semblait pas près de reculer, de regretter, ou de revenir à la raison. Si elle accepte encore se baiser, il se fait encore un peu plus passionné, mais aussi, c'est lui qui ajoute maintenant un brin de fougue et d'énergie, de désir aussi. |
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Bienvenue à Lewis Breony A. Turner
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Célébrité : Natalie Portman Âge : 25 ans Citation favorite : Je fais bien de ne pas rendre l’accès de mon cœur facile ; quand on y est une fois entré, on n’en sort pas sans le déchirer ; c’est une plaie qui ne cautérise jamais bien. Messages : 2365
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Ven 13 Mai - 5:07 | |
| C'est encore court désolé... je me rattrape au prochain. CRÉDIT - CSS Finalement il ne fallait pas beaucoup à ma conscience et mon cerveau pour se taire définitivement, quelques baisers dans le cou et hop mon cerveau est en mode off laissant ainsi mon désir seul maître à bord. Ryan était un beau jeune homme, séduisant et attirant il ne devait pas avoir de mal à avoir des conquêtes, vraisemblablement là tout de suite j’étais son genre de femme. Peut être qu’il aimait lui aussi les femmes légèrement plus vieilles que lui ou alors se fiait t’il seulement au physique, et puis de toute façon pourquoi je me posais autant de question ça n’en valait pas la peine autant vivre la vie comme d’habitude c'est-à-dire au jour le jour et surtout comme elle se présente. Plus question de penser aux remords, au lendemain, l’instant présent voilà ce qui est le plus important, qui sait comment sera fait le lendemain. Nous verrons bien et puis nous étions deux adultes tout à fait consentant, deux adultes oui voilà ce que je devais garder en tête. C’était un rapprochement étrange et inattendu mais en même temps au vue de nos tenus et de nos gestes depuis un petit moment il fallait bien se douter que ça allait déraper à un moment ou un autre. Ryan n’avait pas l’air de cogité laissant faire ses envies, je me décontracte donc à chacun de ses baisers dans mon cou, laissant tracer une ligne droite entre mon menton et mon cou, accrochant en même temps ses cheveux entre mes doigts fins. En même temps je sens une main se poser sur ma jambe, l’effleurer, ce geste me fait sourire parce que je sentais que sentir mes jambes contre les siennes avaient du contribué à notre dérapage. Le troisième baiser se fait cette fois ci bien plus fougueux que les deux premiers, je sentais le désir montait en lui rien qu’à sa façon de m’embrasser, je me mets à genoux dans le lit tout en prolongeant son baiser avec la même fougue répondant à une envie certaine survenue étrangement. Au bout d’un petit moment je romps de nouveau le baiser détachant mes lèvres des siennes avec une certaine douceur qui me caractérise. Dans un murmure je lui dis « Attends… deux petites secondes. » Je frôle ses lèvres avec les miennes et me relève du lit rapidement. Je ne partais pas j’allais simplement refermer la porte de la chambre pour ne pas que la petite nous entendent. Et en faite ce n’est pas que pour ça j’ai ce défaut j’aime voir cette porte fermer c’est le cas depuis toujours. Je retourne m’assoir au bord du lit près de lui, mes mains glissant sur son torse nu avant de laisser mes lèvres glisse légèrement sur sa joue, puis sur son oreille pour s’évanouir contre son cou, mon souffle se baladant sur sa peau, un souffle qui commencer à se chauffé tout doucement. J’étais entreprenante parce que j’aimais contrôler le maximum de temps, il fallait toujours me remettre à ma place en me montrant que parfois je pouvais me laisser aller pour que je me rende compte que je n’avais pas besoin d’être toujours sur la défensive et que parfois je pouvais me laisser aller. C’était plutôt rare et cela arriver surtout avec des amants que j’avais depuis longtemps. |
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Ven 13 Mai - 5:31 | |
| C'est bien la première fois qu'Ilya fait ce qu'il fait avec une femme qui a une différence d'âge de six ans comparé au sien, à moins qu'on lui ait menti précédemment. Habituellement, il a des aventures avec des filles de son âge, soit dix-huit, dix-neuf, ou encore vingt ans, mais jamais bien plus et moins que dix-huit, aux USA, c'est illégal alors... Il laissera le mystère planer là-dessus. En général, ce qui fait qu'il est attiré par une femme, c'est un tout, un tout qui peut se construire rapidement, comme dans se cas-ci, mais quand même. D'abord, une fille qui semble avoir un caractère normal, pas une sorte de perverse ou une surexcitée non plus. Après, sur le plan physique, il doit y avoir attirance. Il n'a pas de préférences particulières au niveau des cheveux par exemple, mais enfin, un beau visage, ça serait certainement un must, un beau corps aussi, c'est toujours bien. Après, il faut ce petit «je ne sais quoi» que lui-même aurait du mal à définir. Ça aussi, Breony l'a, à sa façon et il a fini par craquer. Il faut dire que le tout s'est construit en quelques temps. Elle lui est apparu à la fois forte et vulnérable, douce et affectueuse, bien qu'elle prétende le contraire par moment. Peut-être qu'il a tord, mais il sentait qu'elle avait besoin de lui, et lui, sûrement qu'en quelque part, il a aussi besoin d'elle, d'une certaine façon. Il y a du réconfort dans ce que deux personnes peuvent ainsi partager, aussi naïvement cela soit-il, puisqu'on ne sait pas ce que le lendemain leur réserve.
Du coin de l’œil, il voit qu'elle sourit, c'est plutôt bon signe selon lui. Si elle avait l'air inquiète, encore hésitant, il aurait commencé à s'inquiéter. Il ne voulait pas s'imposer ou faire en sorte qu'elle passe un moment pénible. Dans un sens, elle est encore sur un lendemain de veille alors... De plus en plus complice et sur la même longueur d'ondes à travers les baisers, leurs langues nouaient avec une passion et une énergie qui ne se cachaient plus vraiment. La bouche entrouverte après un tel baiser, il trouvait que pour une garce, elle n'embrasse pas comme les garces qu'il a connu. Au contraire, elle est toute douce, tout en nuance. Il eut un petit sourire, caressa le visage de la belle Breony, qui lui demande d'attendre quelques secondes. Il acquiesce alors et la suit des yeux aller fermer la porte de la chambre. Ah oui, c'était sûrement mieux. C'était un peu la confirmation de ce qui pouvait bien arriver ensuite.
Assis un à côté de l'autre sur le lit, elle touchait son torse de son côté, il portait sa main contre la taille de la jeune femme, la glissait sous sa chemise pour toucher sa peau, toucher qu'il aimait de plus en plus. À son tour, la belle Breony baladait ses lèvres ici et là, toujours en douceur. Docile, il se laissait faire et adorait, c'est bien certain. Il retire cette main qui s'était glissé sous la chemise de la jeune femme et se porte au niveau du premier bouton qu'elle a attaché de sa chemise, le plus haut, le détache, puis en détache un deuxième. Encore une fois, il revient contre ses lèvres et se montrait encore un peu plus désireux. Il avait envie de cette femme, de se lâcher, pour une nuit et demain, il pourra recommencer à réfléchir aux conséquences que des actes peuvent avoir. Sur une petite voix confidente, il dit, tout de même avec un doux sourire sur le visage:
-Dis le moi si je vais trop vite... Ça fait un bout de temps que je n'ai pas...
Inutile de compléter sa phrase, elle doit déjà le comprendre. Ça faisait un moment quand même. Pas des mois, quand même pas, mais tout de même. Il voulait aussi qu'elle se sente à l'aise de lui dire s'il allait trop loin ou quoi. Bref, c'est toujours délicats ses petits trucs, mais habituellement, il arrive à mettre la fille à l'aise et en confiance. Qui sait, peut-être même que c'est Breony qui le surprendra.
Dernière édition par Ryan P. Bradley le Ven 13 Mai - 6:46, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Ven 13 Mai - 6:41 | |
| CRÉDIT - CSS Les mains de mon nouveau camarade de jeu glisse tout doucement sous ma chaise, elles sont chaudes et douces à la fois je le laisse faire tout en entreprenant des baisers de plus en plus doux sur sa peau brune. Je sens qu’il enlève quelques boutons de ma chemise et je le laisse faire, il est doux dans ses gestes, tendre, bien plus que certains que je connaisse qui aurait déjà tout arraché dans un élan de passion. Alors que j’allais reprendre une série de baiser et descendre le long de son torse il m’arrête rien qu’en me parlant. Je relève la tête vers lui quand il me demande s’il ne va pas trop loin, un sourire s’affiche sur mon visage. Je ne réponds rien et me glisse derrière lui, je pose mes mains sur ses épaules tout doucement et me colle contre son dos pour pouvoir lui parler à l’oreille avec douceur. « Ne t’en fais pas pour ça… tu ne vas ni trop vite ni trop doucement pour moi. » Je dépose un baiser sur sa nuque puis sur ses deux épaules. Je n’avais pas l’habitude d’entendre ce genre de phrase, est ce parce qu’il était plus jeune ou peut être différent de ceux avec qui je couchais je ne savais pas vraiment. J’avais tendance à choisir les hommes selon leurs caractères justement parce que j’aimais les hommes qui pouvaient me détruire en une seule nuit, en un seul mot, ceux pour lesquels j’étais blessé, ceux qui me faisait du mal psychologiquement, ce besoin de destruction était aussi intense que mon désir de danger. C’était ça depuis l’âge de quatorze ans, l’âge à laquelle j’avais commencé à fréquenter les hommes, à séduire, à chauffer, à draguer et âge ou j’avais passé le cap soit disant magique de ce que l’on appel communément la première fois. Après les choses se sont plus compliqués je tombais sur des hommes froids et manipulateurs qui tentaient vainement de garder une emprise sur moi qu’ils n’auraient jamais. J’avais eu le droit à des crises de jalousies créé par des hommes mariés, des crises de possessivités arrivant même jusqu'à la menace ou la violence. Les hommes sont parfois difficiles à cerner, quand je dis un coup d’une nuit je ne vois pas ce qu’ils ne comprennent pas, ils sont d’accord puis tout à coup il faut devenir leur chose quand ils le veulent. J’ai donc eu tellement de soucis avec les hommes qu’aujourd’hui ce genre de passion j’évite, je choisi mes amants par leurs caractères froids et distants comme le mien, on évite la tendresse, on évite les sentiments futile comme l’amour ou l’amitié et on passe directement à la passion, le désir, l’envie, aucune prise de tête voilà ce que je veux. Voir un jeune homme Ryan c’était étrange pour moi, je savais qu’il ne me ferait aucun mal et c’est peut être ce qu’il m’arrêtait intérieurement, j’avais besoin d’autodestruction… Et le pire c’est que je n’avais plus un seul gramme d’alcool ou de drogue dans le sang.
Je me remets contre lui de nouveau afin de lui murmurer autre chose au creux de l’oreille, ma voix se faisait beaucoup sensuelle, beaucoup plus douce et coquine, une voix que j’aimais prendre pour faire craquer mon partenaire. « Je suis entièrement à toi pour le reste de la nuit… profite en » J’accroche son oreille avec mes dents doucement je ne veux pas lui faire mal juste le rendre un petit peu plus fou, peut être aussi que je veux qu’il se détende légèrement je ne veux pas qu’il s’inquiète, qu’il se pose trop de question, qu’il me prenne pour une fleur délicate et fragile, je suis loin de l’être. Je voudrais qu’il se lâche au maximum après tout c’est rare que je laisse le contrôle à quelqu’un il n’a plus qu’à en profiter. Je lâche doucement la pression de mes dents et glisse ma langue pour frôler le lobe de son oreille.
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Ven 13 Mai - 7:12 | |
| Ryan a eu toutes sortes de petites amies, d'amantes et même, quelques conquêtes, bien que ce n'est pas quelque chose qu'il priorise. Il n'est pas vraiment le genre d'hommes à collectionner les femmes ou à se vanter non plus. Quand il couche avec une fille, il le fait en préférant d'avoir en tête qu'il y aura sans doute une prochaine fois. Après, parmi ses petites amies, on compte des amies d'enfance dont l'amitié s'est transformé avec le temps, des simili coups de foudre comme seul un adolescent ou un adulte peut en avoir, des filles qui le draguaient assez pour finir par construire une relation avec lui, qui se faisait un peu prendre au piège. Il a aussi une tendance à avoir des relations intenses avec des femmes qui ne lui offrent pas d'avenir. À la Nouvelle-Orléans, il a eu plusieurs relations comme ça. Des filles dans les ennuis jusqu'au cou. Il essayait de les sauver, alors que bien souvent, ses gens-là ne demandent même pas à être sauvé. On ne l'y prendra plus. En frais de caractères, c'était tout aussi variables. De douces et jolies petites blondes du creux des États-Unis, en passant par celle aux cheveux noirs, plantureuses et sûre d'elle, capable de rendre un homme fou et qui en jouent plus qu'assez. Finalement, Ryan serait forcé de reconnaître que des femmes, il en a connu quand même un bon nombre...
Ryan est un être franc. Avec lui, on est vite fixé quand même et alors, il demande à Breony de le lui faire savoir s'il va trop vite, trop loin. Elle se glisse derrière lui et il tourne la tête de côté, la voyant du coin de l’œil, il profite de quelques caresses, mais tend l'oreille et saisit très bien ce qu'elle lui dit alors. Alors ainsi, il ne pouvait pas y avoir de malentendu. Suit des baisers appuyés de la part de la belle, contre le corps musclé du jeune homme qui a une légère inspiration. L'excitation le gagnait peu à peu, c'est un fait. Quand vous êtes jeunes, ça ne prend pas grand chose. Câline, elle continue son traitement et il lève un peu la tête, l'air un brin pensif, mais esquissant un sourire quand elle lui dit qu'elle était entièrement à elle. Voilà une chose qu'elle n'aura pas à lui dire deux fois. Ensuite, Breony se fait encore plus sensuelle, jouant avec sa langue, cherchant sans doute à exciter son nouveau partenaire pour cette nuit. La manœuvre fonctionne, puisqu'il se retourne vers elle, les yeux brillants et avides à la fois.
Il avait presque envie de dire qu'avec ses airs angéliques et ses doux baisers, elle cachait bien son jeu, mais il se contente de sourire de manière presque complice. Pour la énième fois, il revient l'embrasser, mais se baiser n'avait rien de sage et il détache ce qui restait de la chemise et l'enlève avec une certaine hâte, mais sans l'arracher quand même. Après, il dépose des baisers sur le dessus de chacun de ses seins et lève les yeux vers elle. L'envie l'avait complètement gagné, il ne pensait plus à rien d'autres qu'à elle. Si elle porte un soutien-gorge, il choisit le moment d'un nouveau baiser pour glisser ses mains dans le dos de la belle brune et lui enlever, portant ensuite ses mains à l'avant pour lui caresser. Tout soucis semblaient s'être envolés de son côté. |
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Célébrité : Natalie Portman Âge : 25 ans Citation favorite : Je fais bien de ne pas rendre l’accès de mon cœur facile ; quand on y est une fois entré, on n’en sort pas sans le déchirer ; c’est une plaie qui ne cautérise jamais bien. Messages : 2365
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Ven 13 Mai - 8:30 | |
| CRÉDIT - CSS J’étais une femme franche, je savais toujours ce que je voulais et pour l’obtenir j’étais prête à tout. Certains ne supportaient pas cette assurance que j’avais dans le regard mais c’était ma façon à moi de ne pas souffrir. C’est étrange non ? Je le sais parfaitement mais ce n’est plus à vingt cinq ans que je vais changer en plus de ça je n’en ai absolument pas envie. Pourquoi changé quand on est heureuse ainsi ? Est-ce que j’étais heureuse au fond de moi ? Je n’en sais rien mais je faisais de mon mieux pour être bien et je savais qu’un jour ou l’autre moi aussi j’aurais le droit au bonheur. Peut être même plus tôt que prévu mais ça c’est une autre histoire… La nuit avait commencé d’une manière et se terminera différemment tout à fait le style de vie que j’aimais, j’étais tellement changeante que j’avais besoin d’amusement, j’aimais jouer, j’étais une femme donc une séductrice et une tentatrice dans l’âme c’est ainsi pour beaucoup. Je ne pouvais m’empêcher d’être ainsi j’étais jeune, j’étais belle, sûre de moi, je n’avais rien à caché et avait beaucoup à donner, principalement de la passion. J’avais su montrer à mon partenaire à quel point je pouvais être sensuelle et entreprenante, je connaissais les pêchés des hommes, la domination, ils aimaient contrôlés toute l’action et s’offrir à l’un d’eux était un cadeau suprême pour eux. Aussi lorsque ma langue touche sensuellement le lobe de l’oreille de Ryan je sens tout de suite le désir monter, son regard en disait long et la chaleur de sa peau contre la mienne me donnait l’impression qu’il était déjà des plus excité. Je sens que j’avais réussis ce que je voulais, c'est-à-dire le détendre totalement, à sa manière de m’embrasser, fougueusement, passionnément, sans aucune retenue, il m’enlève avec hâte la chemise que j’avais enfilé après la douche, j’avais gardé mes sous vêtements sous ma tenue plutôt légère. Se détachant de mes lèvres il abandonne ses lèvres sur ma poitrine parcourant un chemin délicatement, ses jolis yeux marron se levant pour m’offrir un regard rempli d’une envie que j’aimais particulièrement. Ben oui j’étais une femme qui avait besoin de plaire et le sentir dans cet état me rendait bien plus chose que ce que je pensais.
Le laissant enlevé mon soutient gorge je me recule légèrement de lui afin de le faire encore un peu patienté, ben quoi ? J’avais dis que j’étais une joueuse avant tout. Un sourire en coin un regard provocant je lui fais signe de s’approché encore de moi ce qu’il fait assez rapidement. Arrivé à mon niveau je le colle vivement contre moi lui donnant qu’un simple baiser furtif sur les lèvres. Je le laissais en manque de baiser sur les lèvres, le temps que le manque se fasse. Je laisse plutôt glisser mes lèvres sur son cou puis je descends sur son torse le forçant à s’allonger entièrement sur le lit. Me glissant à cheval sur lui. Finalement qui était parti pour dominer la situation… Je descends mes baisers jusqu'à la limite de son boxer puis remonte au dessus de lui, affichant toujours ce sourire provocant. Le faire craquer en premier était un défi que je me lançais. Pourquoi ça ? Pour un simple plaisir de toute façon dans un jeu il faut un perdant et un gagnant. A la fin de la nuit nous serons tout les deux gagnants de toutes les manières.
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Ven 13 Mai - 8:46 | |
| Au début, il agissait avec prudence, mais maintenant, il n'y avait plus de prudence à y avoir. Elle lui avait bien dit qu'elle était à lui pour toute la nuit et lui, il était à elle aussi. En matière de relation de se genre, Ryan est de ceux qui croit que plus on donne, plus on reçoit et de son côté, dominé ou non n'a pas tant d'importance, sinon que c'est comme un jeu pour lui, mais si à la fin de la nuit, c'est la fille qui a le plus mener le moment, ça ne le dérange pas, au contraire. Comme dans ce cas-ci, s'il se laisse mener, ce sera par une fille qui a plus d'expérience que lui, alors il pourra bien apprendre la leçon s'il est attentif. Ne connaissant plus d'hésitation, il dévoilait un côté plus sûr de lui à son tour, sensuel même et peu hésitant, assez à l'aise avec son corps, mais aussi, avec celui d'une femme. Naturel, il ne réfléchit pas vraiment à ce qu'il fait, il se laisse aller, voilà tout et c'est ce qu'il compte continuer à faire.
Il venait de goûter un peu plus au sein de la belle Breony, qu'il voulait la dénuder davantage, mais elle l'en empêche. Les yeux toujours brillants, un sourire plutôt complice sur les lèvres, il était bien prêt à jouer de patience si c'est ce qu'elle désire. Au moins, elle ne portait plus cette chemise et il pouvait constater le joli corps qu'à sa colocataire. Un ventre plat, de belles hanches, pas trop maigre, ni trop grosse. Comme elle lui fait signe de se rapprocher, il ne se fait pas prier et se rapproche. Une main glisse au niveau de la cuisse de la jeune femme, sous ses petites shorts, qu'il remonte un peu plus dans le processus. Pendant se temps, il n'est pas en reste, loin de là. Furtive, elle se plaisait à le narguer, à l'allumer encore un peu plus. De son autre main, il caresse sa chevelure, ancre sa main contre son cou, mais la voilà qui le fait allonger, avec un de ses regards... il avait du mal à s'en détacher. Il eut un petit sourire quand il la vit dominer la situation de haut. Visiblement, ça ne le dérangeait pas du tout. Elle engage une nouvelle série de baisers et ses battements de cœurs s'accéléraient un peu plus maintenant. Il relève même un peu la tête pour la voir quand elle est à l'orée de son boxer. Disons que ses baisers faisaient leur effet sur le jeune homme, c'était même plus qu'évident maintenant.
Ryan pensait pouvoir la laisser jouer ainsi avec lui, mais le voilà qui redresse encore le haut de son corps, entoure le bas du dos de Breony de son bras et sans attendre son avis, contre toute protestation, il la renverse pour prendre le dessus à son tour. Il ne fallait pas croire qu'il allait rester complètement inactif non plus. Il se dirige pour l'embrasser, mais elle semble s'amuser à refuser ses lèvres, alors il dépose un baiser entre ses seins, toujours couverts, pour son plus grand malheur, puis, sa tête descend un peu plus bas et dépose des baisers contre le haut de son ventre, juste au-dessus de son nombril, juste en-dessous, puis un peu plus bas encore. Une de ses mains caressait une des jambes de la belle, alors que l'autre se portait contre un de ses seins. Après, il revient pour espérer retrouver ses lèvres, dans un nouvel élan de passion, tandis que sa main se glissera dans le short de la jeune femme pour se porter contre son intimité et la caresser, encore tout légèrement. Il baisse alors la garde et il était assez clair que si elle voulait reprendre le dessus sur lui, elle le pourra. |
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| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Ven 13 Mai - 9:28 | |
| CRÉDIT - CSS Ryan avait ce je ne sais quoi dans l’œil quand il me regardait qui me faisait plaisir, qui flatté mon égo déjà surdimensionné, il m’admirait du regard et j’avoue que j’aimais ça. Ses gestes n’étaient plus du tout prudent, ses envies guidant ses envies sans qu’il ne s’en rende véritablement compte. Je savais que le coupé de tout baiser sur les lèvres le gênerait tout doucement ou du moins lui manquerait c’est bien pour cela que je l’ai fait non pas pour le punir de quoi que ce soit simplement pour le rendre encore plus fou et encore plus brulant qu’il ne l’était à cet instant. Dès qu’il se colle contre moi je sens sa main remontait sous mon short mais je ne lui laisse le temps de rien faire et l’allonge sur le lit plutôt rapidement. J’aimais bien l’allumer, même dans cette circonstance il restait doux et caresser mes cheveux sans même une pointe d’agacement. Ce n’était pas le cas de tout le monde. Je voyais que mes yeux lui plaisaient, mon regard provocant devait l’hypnotiser à moitié parce que pendant ma longue descente de baiser je le voyais me regarder dans les yeux. Savourant chacun de mes baisers, chacune de mes caresses.
En quelques secondes j’avais cru dominer la situation mais j’avais tout faux, Ryan n’avait mis que quelques secondes pour reprendre le contrôle et se mettre au dessus de moi, à ce moment là peut importait finalement qui allait dominer l’important était le plaisir que nous allions prendre ensemble. Ma jambe remonte tout doucement sur sa jambe frôlant sa peau des plus sensuellement. Chacun de ses baisers me plaisaient énormément mais lorsqu’il touche mon ventre avec ses lèvres mon corps réagit comme à chaque fois, de nombreux frissons parcours mon corps rapidement s’arrêtant dans le bas de mon dos. Je ne pouvais m’en empêcher mon ventre était la partie la plus sensible de tout mon corps avec ma nuque, que ce soit frôler ou embrasser je ne pouvais pas rester de marbre lorsqu’on me touchait à cet endroit. En plus le jeune homme avait une certaine tendance à bien insisté à cet endroit là du coup je suis un peu embrumé par le désir et mes mains s’agrippent légèrement dans le dos de Ryan, ah oui parfois je rentre les ongles dans la chair de mes amants j’espère ne pas faire mal à mon colocataire je ne voudrais pas le blessé. Quand sa main atteint ma jambe puis mon short je me cambre légèrement quand il touche mon intimité avec cette douceur, j’en profite d’ailleurs pour dégrafé moi-même mon soutient gorge et l’enlevé mettant bien en évidence tous mes gestes pour plaire encore plus à mon compagnon, je jette le vêtement que mon nouvel amant avait envie d’enlever depuis un petit moment maintenant. Je relève à ce moment la tête vers le jeune homme cherchant ses lèvres désespérément, dans un soupire je fini par lui dire toujours avec cette voix provocante, douce et maintenant légèrement coupé par l’excitation. « Tu le veux ton baiser ? » Je me mords ma propre lèvre pour lui donner encore plus envie soutenant son regard avec la même lueur dans les yeux que précédemment. « Vient le chercher alors. » Frôlant de nouveau ses lèvres je me rallonge tout doucement dans le lit espérant le voir arriver complètement sur moi pour échanger ce baiser que je lui avais interdit quelques minutes avant.
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Invité
| Sujet: Re: Comfortably Numb [pv Hot] Ven 13 Mai - 10:06 | |
| Si un homme n'a jamais regardé Breony comme il la regarde, alors c'est une honte pour le genre masculin. Cette femme est une beauté naturelle, gracieuse, avec un visage aux traits définis comme il en a rarement vu, sinon jamais. Quand il l'avait vu lui offrir un toit, il avait cru à un ange. Un ange qui se définit comme une garce, qui se saoule, prend de la drogue, mais qui sait, si les anges venaient sur Terre, c'est peut-être le sort qu'ils subiraient. La Terre est tellement pleine de vices. Un ange qui avait donc son double démoniaque, un peu comme tout le monde finalement. Elle essayait de l'allumer et y arrivait plutôt bien. Elle connaissait les hommes et leurs faiblesses, c'est évident, mais Ryan n'est quand même pas un homme comme les autres. C'est certain qu'il profitait des caresses de la belle et tout homme qui l'aurait interrompu aurait commis une disgrâce. Ne jamais interrompre une femme dans un si bel élan. En revanche, il ne faut pas rester complètement inerte non plus et c'est certain qu'une sorte d'orgueil se manifeste alors, mais une complicité aussi. Finalement, personne et tout le monde à la fois aurait le dessus ce soir. C'était chacun son tour en quelque sorte.
Ce n'est peut-être qu'un détail, mais il adore de la façon dont elle remonte la jambe contre la sienne. Il aime se genre de proximité, de contact. Il est plutôt tactile comme homme. Dans pareille circonstance, c'est une belle excuse. Il cherchait les points plus sensibles de la jeune femme. Il faut être attentif aux signes. Chez certaines, c'est le creux du cou, d'autres, c'est les seins, les cuisses et chez Breony, ça semble être son ventre. Il en prend bonne note et il était heureux de sentir que ses baisers lui faisaient de l'effet. Il n'avait pas perdu la main apparemment. Il sent les mains de la belle qui l'agrippent un peu plus et entre deux baisers contre son ventre, il esquisse un petit sourire, comme fier. Ensuite, il passe un peu en seconde vitesse et se permet d'aller encore un peu plus loin. Quand il lève les yeux vers sa partenaire pour la nuit, il voit qu'elle ne porte plus rien en haut du corps et disons qu'elle ne décevait pas. Elle avait même fait exprès d'avoir des gestes amples, pour qu'il ne rate rien du spectacle. Il insiste un peu plus sur ses caresses, mais remonte aussi pour avoir sa tête à la hauteur de la sienne, son torse effleurant sa poitrine. Leurs nez se frôlent, leurs lèvres s'effleurent, leurs yeux se guettent alors qu'elle lui demande s'il veut son baiser. Comme elle lui demande venir le chercher, il pose sa main contre la joue de la belle et il l'embrasse avec une intensité qu'ils n'avaient pas encore connus. Un baiser qui avait tardé, mais qui en valait la peine, de son avis en tout cas. Un baiser qui se voit renouveler par un deuxième, parce qu'il ne sait pas quand est-ce qu'elle voudra jouer de nouveau, alors il en profite! Pendant se temps, une main de Ryan glisse au niveau de la cuisse, puis du genou de Breony, faisant plier doucement sa jambe, la redressant à la hauteur de sa taille, alors qu'il esquisse un premier mouvement de bassin, rien que pour lui donner un avant-goût, la rendre un peu plus folle de lui aussi, comme en se moment, il est fou d'elle d'ailleurs. Ça se voit dans ses yeux, dans ses baisers d'impatience, dans ses caresses de bonne appréhension. Le jeune homme avait le corps et le souffle tout chaud, brûlant même. Il soulève un peu son corps, qui était contre le sien jusqu'ici tandis qu'ils s'embrassaient et la main de Ryan glisse au niveau d'un des seins de Breony qu'il masse légèrement alors qu'il dépose un baiser au creux du cou de la belle, puis contre sa nuque. Après, il vient lui murmurer à l'oreille:
-J'espère que tu n'es pas trop fatiguée de ta virée... |
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