Toujours là, devant c’est fenêtre à regardé les oiseaux volé, à regardé le temps filé sans aucune perspective. J’étais seule, seule au monde.

Je suis née un certain 15 décembre en Inde mais ma mère biologique ne pouvant pas me garder m’abandonna dans un orphelinat en Irlande. Encore plus loin. Ma mère était une personne méchante qui n’aimait personne et encore moins les enfants surtout quand celui-ci risqué de brisé la carrière de la mère. Ces les sœurs qui m’ont donné ce nom, Maria. Elles m’ont toujours apelle comme ca, je ne sais pas si sa avoir avec la vierge Marie, je n’ai jamais osé leur demandé. J’ai toujours vécu dans l’orphelinat de ma région, beaucoup d’enfant allé et venez dans des familles d’accueil, sauf moi. J’étais une exception, un déchet de la nature qui devrait rester ici toute sa vie. Je ne comprenais pas pourquoi aucune famille ne voulait de moi, moi je voulais bien d’eux pourtant. J’ai d’abord pensé que c’était parce que j’étais laide, mais en me regardant dans un miroir, j’étais plutôt jolie et pourtant. J’ai donc demandé aux sœurs ce qui n’allait pas chez moi, pourquoi aucune famille ne voulait me parlé ou même me regardé ne serait-ce qu’un instant. Les sœurs m’ont expliqué que c’était parce que je ne me mêlée pas aux autres enfants, j’étais toujours à l’écart. Toujours en haut, toujours devant cette fenêtre. Je n’y pouvais rien si je n’aimais pas l’idée même de jouée, je ne trouvais pas ca amusant d’ailleurs. Mais j’ai fais un effort, un après-midi je suis allé dans le jardin, je me suis assise sur un banc et j’ai regardé le monde. Des gens passaient, regardaient les enfants avec envie, dégouts ou encore pitié. Moi on ne me regardé pas, j’étais dehors, assise sur mon banc avec d’autre enfant mais je n’étais pas encore regardé. J’étais décidément seule.

J’ai 10 ans aujourd’hui. Les sœurs m’ont offert un gâteau au chocolat comme je les aime et un petit appareil photo. Il fesait froid dehors mais je voulais à tout pris essayé mon cadeau, c’était magnifique. Mes photos était pour la plupart flou et mal cadré mais je les trouvé magnifique, les couleurs était sublime. Je décidais même de faire une photo de moi, raté et pourtant mon visage était celui d’une petite fée, une fée fragile, une petite fée toute seule qui avait besoin d’être rassuré. Oui c’était ca, j’étais une petite fée. Le lendemain de mes 10 ans, les sœurs avaient fait développé mes photos pour les accroché un peu partout dans l’orphelinat histoire de le rhabillé surement. Un couple de gens s’y intéressa longuement, je les voyais du haut des escaliers. Ils étaient beaux, jeune et amoureux. Oh oui, ils étaient amoureux, ca se voyait à la façon dont ils se tenaient la main, leur regard tendrement posé l’un sur l’autre. Ils ont voulue me rencontré. J’étais choqué, émerveillé, contente, apeuré, hésitante, joyeuse. Ils m’ont beaucoup parlé ce jours-là je me rappelle, ont discuté de mes passions, de mes amies, de ma vie. Les sujets ont tournés court vue que je n’avais pas d’amies, pas de vie et que ma seule passion était désormais et uniquement la photographie. Ils ont souris et ils ont promis de revenir bientôt, je m’endors avec sourire sur les lèvres, celui qui ne me quitte jamais.



♚ Chapitre two

Ils ont tenue leur promesse. Ils sont revenus. Je me souviens de ce jour comme si c’était hier encore. C’était une semaine avant noël, il fesait très froid et la neige recouvrait une belle partie de la nature mais ils sont quand même revenue me voire. Ils m’ont apporté des albums photo, eux aussi aimé la photographie. Leur photo était magnifique, digne des plus grand, je me sentais toute minable à côté. J’ai voulue en savoir plus sur leur vie, sur eux. Pourquoi ils voulaient adopter, pourquoi je les intéressés, leur rencontres etc. Elle s’appelait Rose, il s’appelait Jack. Ils étaient tout deux née en Irlande et ils se connaissaient depuis plus de 10 ans. Rose et Jack étaient ensemble depuis 3 ans déjà et leur amour étaient tellement fort qu’ils ont voulue avoir un enfant, mais sans résultat. Rose voulait faire un geste pour un enfant, ces donc pour cela qu’elle décida d’adopter un enfant, quelqu’un de seule. Plus ils parlaient, plus je commençais à les apprécier, ils étaient tout ce qu’un enfant rêve, des parents qui s’aiment, qui donnent de l’amour et de l’amour ils en avaient, ils en avaient même beaucoup. Les heures filaient à une vitesse folle, le temps ne passaient jamais très lentement avec eux. Ils ont venue 3 fois me voire avant de prendre les décisions de m’adopter. Le joue ou on me l’annonça, je n’y croyais pas, c’était dingue ! J’étais excité comme une puce, j’ai beaucoup pleuré ce jours-là, c’est peut-être ca que je ne me rappelle pas de ce qui sait passer, pas très nettement en tout cas.

Leur maison était modeste mais elle était bien plus jolie que tout ce dont j’aurais pu rêver. Ma chambre me paraissait immense ! Surtout que maintenant j’étais seule dedans. C’était dure pour moi au début, je n’arrivais à trouvé mes repères, j’étais très désorienté les premiers mois. Mon premier noël en famille fut magique, mes parents avaient mis un immense sapin que j’avais moi-même décoré en compagnie de mon père. Il s’instillé de partout, comme des milliers d’étoiles, des milliers d’espoir. J’avais en moi c’est impression de chaleur, c’est impression de bonheur. Elle m’envahissait littéralement, j’étais une personne aimé, une personne à qui ont demandé des nouvelles. Le repas fut festif, la plupart des plats m’étais inconnue mais c’était vraiment délicieux, je n’avais jamais mangé quelque chose d’aussi bon. Mais une part de moi était triste, sans savoir pourquoi une petite boule se forma dans ma poitrine au moment des cadeaux. J’avais était gâtés faut dire, des jouées, de nouveaux habits et pleins d’autre belle choses. Mais des larmes coulèrent sur mes joues, ce qui m’affola.

« Qu’es qui t’arrive ma puce ? » Demanda ma mère avec inquiétude.
« Ca ne te plait pas ? » S’affola mon père.
« Non, tout es parfait ces que…moi je n’ai rien à vous offrir. » Ma voix était à peine audible.

Mes parents se mirent à rire, pas dans le sens de la moquerie mais plutôt dans le soulagement et l’amusement. Ma mère s’approcha de mon visage et le caressa tandis que mon père me tenait la main.

« Ton amour et ta joie sont les plus beaux des cadeaux. »

Je souris et les embrassa l’un après l’autre mais je vous jure que le noël suivant ils ont étaient gâtés.



♚ Chapitre tree

Les années filaient et ma vie était juste belle. Mes parents m’avaient offert un nouvel appareil, pour prendre de plus jolie photo. Je pouvais passais des heures dehors à prendre tout et n’importe quoi en photo, j’adoré ca et mes parents adoré ce que je fessais. A l’école, c’était un peu plus difficile, les élèves n’était pas très gentils et beaucoup se moqué de moi pour des raisons quelconque. Je m’isolé donc, j’étais seule sur mon banc, avec mon appareil et je prenais en photo le ciel. Je rêvais de pouvoir m’envolé rien qu’un instant pouvoir juste m’enfuir, m’évadé de ce monde. Un jeune garçon du nom de Dylan venait quelque fois à côté de moi et me regardé prendre des photos, il était gentil. On ne parlais pas souvent mais on pouvait passer beaucoup de temps côte à côte en silence à écouté la brise du vent sur nos épaules ou les rires des autres enfants. Il est rapidement devenue mon meilleur ami, j’adoré le prendre en photo. C’était un bon modèle, pas juste parce que il était beau, bien qu’il était mais surtout parce que ces poses était naturel, il n’avait pas besoin de se forcé à sourire, juste son regard rendais la photo magique. On a passait toute notre primaire, collège et lycée ensemble, enfin du moins les premiers mois du lycée vue que notre amitié à très vite basculé. Oui car une espèce de bimbo-sans-cervelle à raconté à moi naïve comme je suis que Dylan ne m’aimait pas, que c’était un pari avec des potes, que enfaite il joué avec moi pour pouvoir prendre son reste…Je n’osé pas demandé à mon meilleur ami si c’était vrai, une part de moi savait que non, qu’il n’aurait jamais pu faire ca mais une autre part se posé des questions, se disait « et pourquoi pas ? » Alors j’ai pris mon courage à deux mains, je lui ai demandé, il a évidement contesté mes propos, me demandant pourquoi je sortais des âneries pareils. Mais je n’étais pas plus rassuré et des disputes arrivèrent.

Je ne me rappelle plus très bien les sujets, les causes mais je savais qu’elle partait pour un rien, comme il le fesait exprès, comme si il voulait détruire notre amitié. Je pleuré beaucoup devant mon écran, mes parents s’en inquiétèrent mais je ne voulais pas leur parlé, je ne voulais pas les inquiété d’avantage. Dylan mis fin à notre amitié avec une phrase, une phrase banale mais qui me fis l’effet d’avoir était mitrailler, l’impression que mon cœur se cassait en mil morceau. J’entends encore sa voix grave et pas très rassuré. « Adieu Maria, mon ancienne et non regretté meilleure amie. » Pleuré, c’était la seule qui me restait, mon appareil sagement rangé dans un coin, je n’y touchais plus, me rappelant des souvenirs insurmontables. L’année fus difficile pour moi, plus personne ne venait me voir, je voyais bien Dylan avec toute ses filles désormais qui lui courait après, j’essayais de me représente à ses côtés, en vint. Notre amitié était belle et bien morte.

Ces ma mère qui me fis reprendre gout à la photo, elle me remontra mes toute première photo, un souvenir lointain désormais mais ces photos étaient comme un médicament, une chaleur dégagé d’elle à chaque fois que je les regardés, je me sentais de nouveau forte et de nouveau prête à surmonté les étapes de la vie.



♚ Chapitre four


Mon appareil photo devint et resta mon meilleur ami, au moins lui ne pouvais pas me faire de mal. Je voulais en faire mon métier. Je voulais devenir photographe et photographier pourquoi pas des stars pour des magasine people ? Mes parents m’encouragèrent dans cet voix, d’ailleurs ces mêmes eux qui m’ont soufflé l’idée d’en faire mon métier. Mes parents était et sont toujours des gens formidables, à l’écoutent de l’autre, ils sont toujours là pour aidé quelqu’un et leur amour de ne fais que durée encore et encore. Je revois encore leur même regard tendre l’un envers l’autre comme quand j’étais perché du haut de mon escalier. J’aimais bien prendre mes parents en photos aussi, dans des gestes habituel de la vie, quand ils se tiennent pas la main, quand ils se regardent tendrement. Je décidais de me faire un book avec mes photos et l’envoyé à une école réputé pour ca. Le seul problème, ces qu’elle était situé des kilomètre plus loin, Lewis pours exact. Mais mes parents s’en fichèrent un peu à vrai dire, après tout j’avais 18 ans maintenant.

L’école ou j’avais envoyé mon book à était très étonné par mes immenses capacité comme leur lettre le disais si bien. Ils m’invitèrent royalement à venir dans leur école et à aboutir mes capacités. Mes parents m’avaient même déjà trouvé un petit appartement situé à côté, à croire qu’ils étaient heureux que je m’en aille. Enfin, quoique, c’était des parents et voir leur enfant réussir devait leur procuré plein de bonheur, j’imagine.

Lewis était une grande ville, très ensoleillé. J’aimais bien cet endroit, les couleurs étaient vives et mes photos rendaient magnifiquement bien. Mon appart’ était mignon, sans plus ni moins, il était fait pour moi. J’obtenue vite de bon résultats dans mon écoles et beaucoup d’agence me font faire quelque séance parfois. Ma nouvelle vie était super, mes parents me manquent mais je n’oublie jamais de leur écrire ou de leur téléphoné. L'air de Lewis me fis un grand bien, j'oublié tout et je me mis à écrire des chansons que je chantais pour le plaisir. Ma mère adoré m'entendre à l'autre bout de téléphone et m'encouragé à poursuivre dans se domaine également. Mais je n'étais pas encore prete chantais devant plein de monde, je gardais donc ma voix pour moi, bien décidé à la gardé pour moi.