✄ EZEKIEL & JULIET «out of sight, but close to the heart.»
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Sujet: ✄ EZEKIEL & JULIET «out of sight, but close to the heart.» Jeu 3 Mar - 1:46
out of sight, but close to the heart.
« Coucou grand frère, j’ai pensée à toi aujourd’hui, seulement parce-que j’ai vu de loin le terrain où tu jouais au baseball autrefois, ce fut assez dur comme souvenir, mais je n’étais pas complètement triste, je nous voyais avec nos pop-corn à la main sautant comme des fous, à chaque fois que notre équipe marquait un point. Tu te rappelles ? Nous étions au collège et on réagissait comme des gamins d’à peine une dizaine d’années. Mais on s’en fichait, personne d’autre existait autour de nous, nous étions tous les deux. Seulement en me remémorant ses brefs souvenirs, j’arrivais encore à sentir ton odeur, c’était comme si tu étais à mes côtés et que tu ne m’avais jamais quitté. A cet époque, il n’y avait que toi et moi, nous deux face au monde. Et depuis que tu es parti, j’essaie de me rappeler d’autres souvenirs comme celui-là, mais je n’y arrive pas, tout simplement parce-que tu n’es plus à mes côtés. Prends soin de toi là où tu es, je pense très fort à toi, ta petite sœur qui t’aime. » Vous ne rêvez pas, j’ai bien écris à mon défunt frère qui est décédé depuis maintenant sept longues années. Pourquoi ? Car grâce à cela j’arrive à me remémorer quelques souvenirs qui me restent de lui. Je ne pourrais pas vraiment vous dire si cela marche, car je n’en sais rien en réalité, tout est bien flou dans mon esprit depuis sa mort. Mais à chaque fois que j’écris un simple mot le concernant cela me redonne le sourire et croyez moi si je ne le fais pas, je serais déjà à ses côtés, enterrée morte, depuis bien longtemps.
▬ Je revenais petit à petit à mes pensées et donc à la réalité. Je fermais le petit calepin qui me servait de journal intime pour me diriger vers la fenêtre de mon appartement – assez miteux d’ailleurs - , qui se trouvait non loin de là où j’étais assise. C’était environ onze heures du matin et le soleil éclatait à Lewis, même si j’étais dans ma ville natale, chez moi là où j’ai grandi, je ne me sentais pas réellement à ma place, c’est un sentiment que je porte en moi depuis beaucoup d’années à présent et sans savoir pourquoi, même si la mort de mon frère y apporta beaucoup de choses, il y avait aussi Ezekiel, celui qui faisait battre mon cœur durant une année entière, lui aussi il devait y être pour beaucoup de choses dans ce sentiment que je ressentais. Contrairement à mon frère, je me rappelais de chaque instant passé avec lui, chaque moment. Je nous revoyais sept ans plutôt, nous étions réellement amoureux l’un de l’autre, chaque secondes passées avec lui étaient magiques, nous étions comme détachés du monde il n’y avait que lui et moi, nous.
Une seconde fois je m’étais égarée dans mes grandes pensées, j’avais tout d’un coup une soudaine envie de prendre l’air et donc de rafraichir mon esprit qui était assez perdu en ce moment, en tout cas depuis que j’avais quittée Dallas pour revenir m’installer à Lewis. Je prenais mon sac d’une grande vitesse pour par la suite me diriger vers un café qui ne se trouvait pas très loin de chez moi. En arrivant dans le café, une sorte de nausée était montée en moi, j’avais cru apercevoir un fantôme, qui se tenait juste en face de moi, près de la caisse. C’était une silhouette masculine et qui m’était familière, se qui me donnait d’un seul coup des frissons dans le dos. L’homme se retourna et je me retrouvais face à lui, nez à nez et j’ai clairement cru qu’à cet instant je voyais ma vie défilée devant mes yeux fragiles, aucun doute c’était un fantôme, en tout cas je voulais absolument croire ça, vu que depuis longtemps j’avais énormément d’hallucinations. Mais pour une fois, ce n’était pas un fantôme et non plus une hallucination, j’étais heureuse et à la fois apeurée de voir se visage si familier, ce n’était autre qu’Ezekiel. Le jeune homme me regardait époustouflé et bien sûr aucuns de nous deux arrivaient à parler ou à placer quelque chose, comme un simple salut par exemple. Mais après sept longues années, un simple salut ne suffirait pas et de loin. En réalité, rien ne suffirait, surtout après ce que j’avais fait subir au jeune homme qui se trouvait à présent en face de moi. J’étais devenu réellement ridicule, car la seule expression que je lui donnais était seulement mes yeux pétillants comme quand une gamine de huit ans ouvre ses cadeaux de Noël, voilà à quoi je ressemblais à ce moment là. Après quelques minutes de silence, j’avais décidée de parler, en tout cas, une chose est sûre : Je voulais réentendre sa voix à nouveau. « Ezekiel ? » voilà la seule chose qui est parvenue à sortir de ma bouche qui était auparavant si silencieuse. Je n’arrivais toujours pas à le croire il était là, en face de moi, en chair et en os, c’était impossible à croire après sept longues années séparés l’un de l’autre.
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Ezekiel-Cerveza Hansen
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Célébrité : ian somerhalder. Âge : ving six yo. Citation favorite : Je ne guérirai pas de cet amour. Tu m'as pris ma lumière, ma sève, ma confiance. Mes jours sont vides, ma vie est morte. Je fais juste semblant. De sourire, d'écouter, de répondre aux questions. Tout les jours, j'attends un signe, un geste. Que tu me délivres de ce trou noir dans lequel tu m'as laissée et que tu me dises pourquoi. Pourquoi m'as tu abandonnée ? Messages : 524
Sujet: Re: ✄ EZEKIEL & JULIET «out of sight, but close to the heart.» Jeu 17 Mar - 4:00
« PUTAIN CASSIE ! Combien de fois je vais devoir te dire de pas prendre mes clopes sans me prévenir ? Tu sais bien que ça me dérange pas, mais après, j'me retrouve à court, bordel de merde. » C'est ainsi que commençait la journée. Elle s'annonçait bien longue pour moi. Mon adorable cousine avait déjà décidé de me voler mon paquet de cigarette et je me retrouvais là, avec ma tasse de café dans la main, à attendre je ne sais quoi. Je décidai donc de poser la tasse sur la table, d'attraper ma veste que j'enfilai par dessus un t-shirt noir des plus simple. J'avais gardé ce look assez sombre, en total accord avec personnalité, il paraît. Je pris la route pour le bureau de tabac le plus proche, tel un toxico. J'avais vraiment l'impression d'en être un parfois. Mes drogues étaient variés. Il y avait avant tout l'alcool, qu'on me pardonne d'avoir un tel défaut. J'avais sombré, bêtement je le reconnais, mais j'avais sombré. Il est difficile d'en sortir. Surtout lorsqu'on vit avec quelqu'un comme ma cousine, habituée aux drogues, à l'alcool coulant à flot tous les soirs, peut être que c'était de famille après tout. Mais j'étais censé être passé au dessus de ça, j'étais censé être responsable et sûr de moi. Je voulais un avenir, une femme bien, des enfants. Mais putain, comment j'aurais pu avoir tout ça en restant ce déchet ? Sept putain d'années, vous vous rendez compte ? Il ne se passe rien de plus qu'il y a sept ans. Les bouteilles se vident lors de nuit complètement vides de sens et je ne sais plus quoi faire, ni même où regarder. La cause de tout ça ? Ma deuxième drogue. Juliet. Juliet bordel, la mienne. Mon enfer personnel, celle qui ne savait pas comment m'aimer. Celle à qui j'ai jamais dit que j'en étais fou. J'aurais vendu mon ciel pour qu'elle garde ce sourire que j'aimais tant. Mais la vie en a voulu différemment et son frère, mon meilleur ami, est mort. Simplement. Comme ça, comme si c'était normal. On l'a arraché à la vie si jeune et pourtant déjà si vieux. Il y avait quelque chose d'incroyable chez cet homme -puisqu'il en était un- c'est qu'il n'avait peur de rien. Ni de la vitesse, ni de l'attachement. C'était un être bon, j'aurais dû mourir à sa place, elle aurait été moins triste. M'enfin, elle s'est cassé. Elle a prit mon coeur, elle l'a déchiré et s'en est allé avec une peine immense. Peine que j'aurais voulu absorber, la manger même si ça avait été possible. J'aurais voulu tout arranger, souffrir à sa place. Encore plus que je ne souffrais. Mais c'est pas possible. Alors j'en revenais à ma drogue numéro une, qui me ramenait à la numéro 3, mes cigarettes. Un paquet de Marlboro dans la main, je pu sortir. Et enfin prendre le temps de griller une clope contre le mur d'un café. Où j'irai prendre un café par la suite, sans aucun doute. Ma cigarette se consuma doucement mais sûrement et je repris peu à peu mon calme. Lorsque j'eus fini, j'entrai dans le café pour commander un café que je pris le temps de boire installé calmement, de tout façon, je n'avais rien de spécial à faire, si ce n'est à ranger l'appartement, faire les lessives, et travailler un peu. Mon café fini, je me levai pour sortir. La petite cloche annonçant l'entrée de quelqu'un retentit et je me retournai pour me retrouver face à mon passé. Vous savez, souvent dans les films, ils exagèrent, ils disent que le temps s'arrête mais en fait, c'est vrai. Le temps s'était arrêté pendant un instant, je plongeais mes yeux dans les siens comme pour chercher quelque chose qui me dirait, non, ce n'est pas elle. Ce n'est pas possible. Qu'est-ce qu'elle ferait là après tant d'années ? Elle prit pourtant la parole, mais je la sentais aussi perdue que moi. « Ezekiel ? » c'était son timbe de voix, pas de doutes possible. Je l'avais rêvé tant de fois que je le connaissais par coeur. « Salut, Juliet. » c'est tout ce que je trouvais à dire. C'était assez délicat, je me permis un petit sourire désolé, pour m'excuser de la situation gênante que tout cela créée. « Je ne savais pas que tu étais de retour en ville. »
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Sujet: Re: ✄ EZEKIEL & JULIET «out of sight, but close to the heart.» Jeu 17 Mar - 7:46
out of sight, but close to the heart.
** DÉBUT DU FLASH-BACK **
Je me regardais fixement dans mon miroir, j'avais l'impression que cette personne que je contemplais n'était pas moi, je ne me reconnaissais pas du tout. C'était bien moi, mais j'avais comme une étrangère en face de moi. Mon regard était sombre et sans aucune émotion, simplement parce-que mon âme était vide. J'avais fait d'énormes erreurs au cours de mes dix sept dernières années, mais celle que j'allais commettre allait sûrement être la pire. J'allais le regretter ça j'en étais sûre, mais j'ai appris que dans la vie nous devons faire des choix bons ou mauvais même si ils entraînent toujours des conséquences que nous n'attendons pas forcément. Je me dirigeais vers mon armoire, je pris une grande valise qui s'y trouvait, je mis toutes mes affaires dedans sans aucune exception. Une heure après, je fermais cette grande valise en prenant une profonde respiration. Je devais lui dire, lui dire ce que j'avais sur le coeur - enfin ce qu'il me restait - mais je devais absolument le voir et à malheureusement lui dire adieu. Je ne voulais dans aucun cas le faire souffrir ou autre, mais tellement ma souffrance en moi était grande plus je le faisais souffrir, je ne pouvais pas lui faire subir cela. La meilleure solution était donc de partir et quitter Lewis.
Mes affaires en main, je vis ma mère en larmes qui venait de me tendre mes clefs de voiture et mon allé simple pour Dallas. « Tu es vraiment sûre de toi ? Il y a d’autre solutions ma chérie et tu le sais … » la voir dans un état pareil me tuais littéralement, je devais absolument quitter cette ville au plus vite si je ne voulais pas voir plus de proches souffrirent par ma faute. « Non je suis pas sûre de moi en réalité maman … Mais crois moi, c’est celle-ci la meilleure solution. » je disais ces quelques paroles qui m'arrachaient le coeur, pour ensuite me diriger vers ma voiture, je fis un dernier signe d'adieu à ma mère, pour ensuite aller chez Ezekiel autre personne importante à ma vie et à qui j'allais briser aussi le coeur ... Une fois arrivée que j'étais arrivée chez lui, il me proposa de m'asseoir, mais je refusa, Ezekiel me regardait d'un air stupéfait et surprit, il devait sûrement penser que j'allais le larguer, mais ce n'était pas le cas, c'était en quelque sorte plus grave que ça. « Je dois te dire quelque chose ... Ne t'énerves pas s'il te plaît. Je pars. Je m'en vais et non, ne dis rien. Je sais que c'est peu glorieux de fuir. Et que je n'ai pas besoin de le faire. Que je pourrais aller mal ici, que tout le monde comprendrait. Mais non, vous comprenez rien et je m'en vais. Alors, c'est fini.» c'était une chose certaine chez moi à ce moment de ma vie, je faisais souffrir les gens que j'aimais le plus. J'étais obligée de quitter Lewis, ça pouvait paraître égoïste de ma part mais c'était uniquement pour le bien de mes proches et rien d'autre.
** FIN DU FLASH-BACK **
Je n'arrivais toujours pas à le croire, il était là en face de moi. J'étais complètement perdue, tout comme lui d'ailleurs, le fait de le revoir après sept longues années me rapporta une étincelle au coeur - chose qui n'était jamais arrivée depuis très longtemps - il avait toujours su me remonter le moral, mais le voir depuis de longues années m'a rappelée pourquoi j'étais partit. Ezekiel me regarda avec une stupéfaction immense - ce qui était tout à fait compréhensif - il fit dire qu'il ne savait pas que j'étais en ville actuellement. « Je ne savais pas que tu étais de retour en ville. » Moi-même je ne savais pas réellement en réalité, pourquoi étais-je revenue à Lewis ? J'espérais au fond que Ezekiel allait m'aider à trouver une réponse claire. « J … j'avais besoin de revenir quelques temps en fait, Dallas est une ville assez étouffante à un moment donné ... »
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Célébrité : ian somerhalder. Âge : ving six yo. Citation favorite : Je ne guérirai pas de cet amour. Tu m'as pris ma lumière, ma sève, ma confiance. Mes jours sont vides, ma vie est morte. Je fais juste semblant. De sourire, d'écouter, de répondre aux questions. Tout les jours, j'attends un signe, un geste. Que tu me délivres de ce trou noir dans lequel tu m'as laissée et que tu me dises pourquoi. Pourquoi m'as tu abandonnée ? Messages : 524
Sujet: Re: ✄ EZEKIEL & JULIET «out of sight, but close to the heart.» Mar 29 Mar - 3:06
« Je dois te dire quelque chose ... Ne t'énerves pas s'il te plaît. Je pars. Je m'en vais et non, ne dis rien. Je sais que c'est peu glorieux de fuir. Et que je n'ai pas besoin de le faire. Que je pourrais aller mal ici, que tout le monde comprendrait. Mais non, vous comprenez rien et je m'en vais. Alors, c'est fini. » Le temps, à ce moment précis de ma vie, s'était arrêté. Je ne pensais pas ça possible, je croyais que rien de tout ça n'était réel. Me quitter ? Pourquoi l'aurait-elle fait ? Je n'étais peut être pas le meilleur des petits amis, je ne savais jamais vraiment comment m'y prendre avec les filles, j'étais un grand maladroit caché derrière des airs de je m'en foutiste. Mais j'étais juste effrayé par tous ces sentiments qu'elle faisait naitre en moi, si bien que j'en arrivais à ne pas les lui décrire. J'avais cette pudeur qui faisait que je ne savais pas comment lui dire tout ce que je ressentais. En même temps, elle ne me l'avait jamais reproché, au contraire, elle comprenait. Elle acceptait qu'on ne se voit que pour coucher ensemble quasiment. Elle devait comprendre que c'est dans mes caresses que se cachaient mais je t'aime. Mais quand elle est partie, je suis tombé. Pour de bon. La mort de mon meilleur ami m'avait détruit, mais je me disais qu'il me restait Juliet, il me restait mon amour. Mais non, elle est resté un mois complet sans vouloir me voir. Ni voir personne. J'étais en panique, dans un état déplorable mais je respectais son choix et lui suis resté fidèle jusqu'au bout. Pendant un mois, je m'accrochais à quelques sms qui me prouvait qu'elle était en vie, rien de bien glorieux, mais suffisant pour me rassurer et la laisse prendre le temps dont elle avait besoin. Mon temps s'écoulait encore à ce moment, elle était là, j'étais invincible. Mais quand elle est partie, tout s'est arrêté. Le soleil ne se levait plus sur moi, il demeurait caché dans le dos de Juliet qui prenait route je ne sais où. J'ai bien essayé de la retrouver, de partir à sa recherche, les premiers mois. J'ai tout essayé mais il était impossible de la retrouver, je n'avais pas l'influence ou les contacts nécessaires. Au fil et à mesure qu'on s'enfonce, on perd espoir. J'ai perdu espoir et trouvé refuge dans l'alcool, là où personne ne me jugeait. En fait, si, tout le monde me jugeait, j'étais alcoolique mais peu le savait, cependant, tous étaient désolés pour moi mais de quoi ? Mon meilleur ami était mort, mon amour s'en était allé, et mon chat ne rentrait plus à la maison. Je crois qu'ils s'inquiétaient surtout pour le chat. Puis les années passent, longuement. On fait son chemin, sans vraiment y faire attention. Et un jour, on regarde en arrière et on se dit qu'on a perdu du temps mais que c'est pas grave. Parce que même quand on veut s'en sortir de toute nos force, on y arrive pas. Parce qu'il nous manque quelque chose, une partie de nous, un être tant chéri. « J … j'avais besoin de revenir quelques temps en fait, Dallas est une ville assez étouffante à un moment donné ... » ainsi donc, elle avait fuit à Dallas ou du moins, elle avait fini à Dallas avant de revenir à Lewis. « Ah, j'ignorais que tu étais à Lewis avant. dis-je avec un air faussement détaché. J'avais du temps à rattraper, des centaines de choses à lui dire, mais par où commencer ? Je décidai de tout de même engager une discussion. « Je t'offre un café ? Histoire de se parler du bon vieux temps ? »
Dernière édition par Ezekiel-Cerveza Hansen le Mer 30 Mar - 21:02, édité 1 fois
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Sujet: Re: ✄ EZEKIEL & JULIET «out of sight, but close to the heart.» Mer 30 Mar - 8:28
out of sight, but close to the heart.
L'amour. Un simple petit mot, avec seulement six lettres. Cependant, ce simple petit mot et ces six lettres veulent tous dire. L'amour est un sentiment extraordinaire qu'une seule et unique personne pourra vous faire partager, donc une fois que vous avez trouvés cette fameuse personne, ne la lâcher pas, ne l'abandonner pas et surtout prenez soin d'elle à chaque moment du temps passé avec elle. J’admets que niveau amour je ne suis pas vraiment qualifiée pour en parler, mais suivant mon expérience, j'ai appris que j'avais fait beaucoup d’erreurs dont je regrette. Par moment, j'aimerais remonter dans le temps, retourner dans le passé, et changer mes actes. Malheureusement c'est impossible, la seule solution est d'essayer de réparer ces erreurs que j'ai autrefois commisses.
Ezekiel n'avait pas changé. Il était toujours le même, en tout cas il était l'homme que j'avais tant aimé et que je continues d'aimer. Nous étions là, tous les deux en train de se fixer du regard, sans lâcher aucunes émotions qui étaient pourtant bien présentes. Ezekiel proposa de m'offrir un café. « Je t'offre un café ? Histoire de se parler du bon vieux temps ? » ce fut une question étrange. Pas la partie où il me propose de m'offrir un café non, mais plutôt la partie "pour parler du bon vieux temps". Qu'entendait-il par là ? Je croyais de plus en plus qu'il me détestait à un point imaginable pour me parler du passé. Nous nous essayâmes tous les deux sur une table non loin de nous. « Il n’y a rien à dire je pense. Pourquoi veux-tu me parler du bon vieux temps ? Je ne vois pas pourquoi on en parlerait, il n’y a rien de spécial à dire. Ah si ! Le fait que je sois parti pendant 7 longues années et qu’à présent tu me détestes. J’ai rien à dire … » j'étais encore pire que je le pensais, étais-ce moi cette fille avec un coeur de pierre ? C'est presque à croire que les années nous changent au fil du temps. La réponse qui sortit de ma bouche n'avait aucun sens, en tout cas pour moi. Le pire dans toute cette histoire, c'était que si Ezekiel lâchait là, d'un seul coup qu'il me détestait j'allais comprendre. Je méritais qu'il me dise devant tout le monde que j'étais la personne qui l'avait fait le plus souffrir sur cette terre. Je promets que je comprendrais.
Une chose était certaine, je n'étais plus la petite Juliet d'autrefois, j'étais devenu celle qui avait perdu les personnes les plus importantes à ses yeux, j'étais seulement cette pauvre fille et personne d'autre.
Spoiler:
Désolée de cette réponse assez courte ... promis je me rattrape à la prochaine réponse.
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Jeu 3 Mar - 1:46
