AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Display 24 boosters Star Wars Unlimited – ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 The friends are always there when we need them. I&S

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

N. Sorà Denvers
Bienvenue à Lewis
N. Sorà Denvers


Célébrité : Coco Rocha
Âge : 20 ans.
Citation favorite : Abandonnez tous vos sens au plaisir, qu'il soit le seul dieu de votre existence. C'est à lui seul qu'une jeune fille doit tout sacrifier et rien à ses yeux ne doit être si sacré que le plaisir...
Messages : 88


PANDORA'S BOX
HEART: compliqué
RELATIONSHIP:


The friends are always there  when we need them. I&S Empty
MessageSujet: The friends are always there when we need them. I&S   The friends are always there  when we need them. I&S Icon_minitimeDim 3 Juil - 15:50

The friends are always there  when we need them. I&S Tumblr_lnqezvdroO1qbwvp8o1_500
The friends are always there
when we need them.


« Tu as besoin d’aide ? Tu veux que je fasse un truc en particulier Niri ? » La voix de Dylan retentissant derrière moi, je relevais un vague regard ne le regardant même pas, mon regard tellement défoncé par le manque de sommeil, je secouais très lentement la tête en reniflant fortement sous l’envie de craquer, l’envie de pleurer tout simplement. « Non, c’est bon, j’ai l’habitude de le faire seul Trenton, va bosser sur ton livre… J’ai bientôt fini de toute façon… » Murmurai-je d’une voix a peine audible en passant la serpillière tranquillement, les fenêtres grande ouvertes pour bien aérer et faire sécher le sol plus rapidement. Me mordillant lentement les lèvres je frottais comme je pouvais de toutes mes forces le sol pour faire partir…. Des tâches qui n’étaient pas là. En fait, depuis une semaine je faisais le ménage tous les jours alors qu’il n’y en avait pas besoin… Pourquoi est ce que je faisais cela ? Tout simplement parce que je déprimais de plus en plus. La peur de perdre a nouveau Dylan, me faisait affreusement peur, je ne voulais pas me réveiller dans le lit et me retrouver seule m’apercevant qu’il était partit a nouveau et pour de bon cette fois. Est-ce que j’étais une femme faible d’être si dépressive que cela ? Peut être bien, je n’en savais rien après tout, je devrais peut être retourné voir ma psychologue pour savoir ce que je devais faire, si j’avais des cachets a prendre si je devais faire telle chose ou pas… Car pour le moment tout foiré. J’étais de plus en plus jalouse envers Trenton, je ne le laissais pas sortir j’inventais n’importe quelle excuse pour qu’il reste avec Lily et moi, je faisais tout pour qu’il rentre rapidement à la maison, j’étais devenue d’une extrême jalousie que je ne me reconnaissais plus. J’étais malade… Littéralement malade et c’était de pire en pire… Je n’arrangeais pas mon cas en hurlant le matin quand je me réveillais et qu’il n’était pas dans le lit… Serrant le manche du balai, je ne pus m’empêcher de frotter encore et encore regardant alors les carreaux briller comme jamais ils n’avaient brillés.

Les larmes montant à mes yeux, je me mis à renifler plus fortement dans l’espoir qu’elles partent définitivement mais ce n’était pas une chose facile. Je sentis le regard rivé de Trenton dans mon dos, ce qui me donnait de multiples frissons. Je n’aimais pas quand il faisait ça, quand il me regardait et devait surement se dire que j’étais idiote d’en faire tout un plat, ou d’être autant dépressive pour si peu. Mais dans le fond merde j’y pouvais rien moi ! Je pensais que la peur serait partie une fois qu’il fut revenu mais non, non, elle était toujours là et le pire s’est qu’elle empirait. Je ne comprenais pas pourquoi, mais je restais persuadée qu’elle partirait un jour ou l’autre… Finissant de frotter le sol du salon comme jamais je pris le sot et le balais les amenant alors dans la cuisine faisant de même sans perdre de temps en frottant comme une dingue. Une fois fait, je fis le bureau de Trenton, qui a la base était une salle de jeux pour la petite, mais n’en ayant pas besoin finalement nous l’avions aménagé pour qu’il puisse bosser sur son bouquin. Il avait sa place dans cette maison après tout ! Nous vivions ensemble depuis trois mois a présent. Trois petit mois qu’il était revenu… Soupirant longuement je rangeais le tout une fois le ménage fini pour monter alors dans la salle de bains. M’enfermant a clé, je me laissais tomber le long de la porte en éclatant en sanglot comme une idiote. Reniflant et essayant surtout de pleurer en silence car je le soupçonnais de m’écouter pour voir si je pleurais ou pas, je me redressai alors pour allumer l’eau dans la douche, celle-ci faisant un bouquant pas possible. Au moins il ne pourrait pas m’entendre. Essayant de me calmer par la suite, j’enlevais mon débardeur et mon short filant alors sous la douche. Une bonne longue douche tiède finissant alors par de l’eau bien fraiche pour reforger mon corps et me donner du tonus et surtout ne pas m’endormir dans cette foutue douche ! Coupant l’eau je m’enroulais rapidement dans une serviette chaude me séchant les cheveux pour ne pas qu’ils gouttent sur mes épaules. Sortant de la douche vêtue de ma simple serviette, je filais alors dans la chambre, la porte de la salle de bains communiquant avec celle-ci. J’ouvris mon armoire sortant alors une leggins noire et une petite tunique de couleur grise.

Enfilant un string je sentis alors des mains se poser sur ma taille en m’enlevant le string. Gémissant en penchant la tête e arrière, ses baisers dans mon cou, je penchais bien la tête en arrière le laissant faire, ses mains se mouvant sur mon corps, l’une se posant sur mon sein, l’autre sur mon intimité commençant alors à me faire de douces caresses intimes comme je les aimais. Ses baisers si intenses et ses mordillements sur ma peau me rendaient folle. Le sentant se coller bien contre moi je le laissais faire ayant tout a coup terriblement envie de lui. Me tournant pour l’embrasser je me mis alors a le déshabiller tout en perdant patiente lorsque Lily se mit a pleurer. Redescendant brutalement sur terre, mon cœur eut un raté. Frustration extrême. Gémissant longuement, je le laissais alors partir pour chercher la petite. Reprenant mon string je l’enfilais mettant alors mon soutient gorge. Une fois fait j’enfilais mes vêtements attrapant alors mes tongs tout en me coiffant voyant alors Trenton et Lily arriver dans la chambre. Six mois, six petits mois maintenant qu’elle faisait partie de notre vie. Brune aux yeux bleus, un teint légèrement halé elle était tout bonnement a croquer. Notre fille était la plus belle il n’y avait pas de doute la dessus ! La prenant dans mes bras en voyant qu’elle tendait les bras j’enfouissais doucement ma tête dans son petit cou tout en soupirant de bien être, relevant alors un regard vers Dylan comme pour lui faire comprendre que ce n’était que partie remise. « Je vais aller voir Ismaël moi, j’ai besoin de me couper les cheveux… Je prends Lily avec moi, ça lui fera plaisir de voir la petite ça fait longtemps qu’on ne l’a pas vu toute les deux ! » soufflai-je doucement en la posant sur le lit alors pour lui enfiler une paire de petite chaussure. Une petite robe rose mise par son père avant de l’amener, elle était belle comme un cœur. Attrapant mon sac à mains et mon téléphone la petite en main je descendis alors les escaliers accompagné de mon tendre et cher Trenton. Prenant les clés de la voiture et le sac d’affaire pour Lily, j’étais parais pour partir attrapant le doudou que me tendait Dylan.

« Vous revenez quand à peu près ? » « Je ne sais pas, le temps qu’il me coupe les cheveux, qu’on parle un peu… Je t’enverrais un message. » soufflai-je doucement en déposant un doux baiser sur ses lèvres en le regardant droit dans les yeux. Sortant de la maison, j’installais la petite dans le siège pour enfant puis parti pour le salon ou bossait Ismaël. Fin d’après midi, il n’allait surement pas tarder a fermer même… Donc nous pourrions parler de tout et de rien, ça faisait vraiment trop longtemps que je ne l’avais pas vu… Prenant les deux sac en main la voyant se toucher la bouche, a cause de ses petites dents qui commençaient a faire des siennes. Pour l’instant elle ne pleurait pas trop… Mais je me doutais qu’un jour ça arriverait forcément… Voiture fermée, je filais alors dans le salon Souriant franchement a Ismaël tout en m’approchant de lui pour lui faire un bisou sur la joue « Hey ! Ça faisait longtemps, j’espère que tu n’es pas trop occupé ? J’ai besoin d’un changement de tête… C’est violent, t’as pas idée… » Soufflai-je doucement en me laissant tomber dans une siège posant la petite sur mes genoux qui elle, s’émerveillait à regarder de partout. Riant doucement en caressant le bout de sa joue je la laissai prendre son doudou le collant sur son visage tout en souriant. Mon bébé d’amour… elle commençait un peu a parloter dans sa barbe, des bruits de bébés bien audible… Il ne me tardait qu’une chose, qu’elle dise maman… Mon rêve le plus fou… Oui. « Je te pose par terre… Mais tu es sage ! Et tu ne joues pas avec les cheveux par terre là-bas ou je te fais teindre en rose et bleu ! » soufflai-je doucement a ma fille la laissant alors sur le sol celle-ci préférant prendre ses poupées dans son sac en allant rapidement a quatre patte se cacher sous un évier. Souriant en coin sans la quitter du regard tant j’étais émerveillée par sa beauté, je tournai enfin un regard vers mon ami. « Alors que deviens tu ? Dis-moi tout ! T’es disponible après ? Genre boire un coup quelque part ? Tu dois bien avoir des choses à me dire ! »
Revenir en haut Aller en bas

Bienvenue à Lewis
Invité

Invité




The friends are always there  when we need them. I&S Empty
MessageSujet: Re: The friends are always there when we need them. I&S   The friends are always there  when we need them. I&S Icon_minitimeMar 12 Juil - 1:46

The friends are always there  when we need them. I&S Tumblr_ljvhcotgAi1qeyuguo1_500

Les journées s’enchaînaient de plus en plus vite, ces derniers temps. Je ne faisais plus rien d’autre que de travailler et de m’occuper de choses essentielles, comme payer des factures, faire des courses et nettoyer l’appartement jusqu’à ce que tout brille, si bien que j’avais le sentiment d’avoir toujours un truc à faire et que cela m’aidait à penser de moins en moins à Lily et ses choix insensés. Pourtant, dès que j’avais un trou dans mon horaire ou que je décidais de prendre une pause, ma tranquillité en était ébranlée. Je n’arrivais pas à me concentrer sur des sujets futiles lorsque je savais que Lily courait un risque. J’avais beau faire tout pour, m’acheter des magazines tous plus stupides les uns que les autres, je ne parvenais même pas à en lire plus d’une ligne sans que mon esprit ne dérive sur la situation de ma meilleure amie. Et quoi ? J’avais peur pour elle. On était ensemble depuis si longtemps, je connaissais chacune de ses réactions sur le bout des doigts, et ce qu’elle trafiquait en ce moment ne lui ressemblait pas. Ce qui me rendait de plus en plus inquiet. Accorder une deuxième chance à Zack ? Même un scénariste des feux de l’amour n’aurait pas eu une idée pareille. Elle était aveuglée, comme si elle voulait juste oublier l’enfant qui aurait dû naître en se servant de son ex petit ami qui l’avait tant faite souffrir. Je ne pouvais pas comprendre. C’était au-dessus de mes forces, et, à présent, à chaque fois que je la croisais, et Dieu sait que cela devenait rare, je ne trouvais même pas quoi dire. C’était du bonjour, ça va, tu veux manger quoi et ça se limitait à cela. Je me demandais où était passée notre complicité, elle avait été sans doute anéantie le jour où je m’étais pointé à l’hôpital et que je m’en étais pris à Zack. Ce n’aurait pas dû être lui le premier à y être, il n’aurait pas dû la conduire, la soutenir tandis qu’elle était sur un brancard. Ça aurait dû être moi et je n’étais pas là. Le destin avait décidé que ce serait Zack qui serait présent lors de l’incident. Le destin était un vrai con.

J’appréhendais comme un malade le fait que Lily vienne me trouver pour m’annoncer qu’elle allait emménager avec Zack, qu’elle s’était fiancée ou qu’elle était enceinte de lui. Et pourtant, je ne faisais plus rien pour l’en empêcher. En même temps, elle ne m’en laissait pas l’occasion, dès que je bifurquais sur ce sujet, elle détournait habilement la conversation pour que j’en oublie de quoi je voulais lui parler. Et encore, ces échanges étaient devenus de plus en plus rares au fil des semaines. On ne se croisait quasiment plus, comme si on cherchait à s’éviter à tous prix. Elle gardait tout pour elle et je gardais tout pour moi. Alors que la superficie de Lewis ne nous était absolument pas favorable, puisqu’on pouvait en apprendre l’un sur l’autre rien qu’aux rumeurs qui circulaient dans les lieux que nous fréquentions séparément. Elle devait savoir qu’Emrys était revenu, mais certainement pas grâce à moi. Je m’étais abstenu de tous commentaires là-dessus, à vrai dire, je ne lui avais même pas dit qu’il était passé à notre appartement. Je n’avais tout simplement pas l’envie de l’accabler avec des problèmes supplémentaires, dont elle se ficherait probablement, de toute façon. Qu’est-ce que ça pouvait lui faire, qu’Emrys soit en ville ? Elle ne pourrait pas m’éclairer de conseils judicieux, vu comment elle se comportait face au retour de Zack, et ça ne ferait que torpiller notre amitié encore plus, car je ne l’écouterais pas plus qu’elle ne m’écoutait. On avait toujours été tous deux des malchanceux finis en ce qui concernait l’amour, c’était sans doute pour cela qu’on était aussi proches aujourd’hui. Enfin, avant les récents événements qui avaient tout chamboulé, du moins. On s’était constamment soutenu, mais on avait également toujours été aveuglé par l’amour, à tel point qu’elle m’avait ri au nez quand je lui avais affirmé que Zack ne lui voulait que du mal, à tel point que j’avais refusé de la croire lorsqu’elle m’avait confié qu’elle trouvait Emrys de plus en plus froid à mon égard et que je ne devais pas me laisser faire. Au fond, on était tous les deux fautifs dans cette histoire.

C’est ainsi que j’étais de nouveau au salon de coiffure, entouré par une foule de femmes épanouies ou aigries qui parlaient à tout-va, en train de déprimer dans un coin en attendant qu’une cliente arrive et que je puisse m’occuper de ses cheveux. Cela demeurait ma seule distraction, ces jours-ci. Le reste du temps, j’étais presque obligé de ne faire que penser, car tout m’ennuyait en quelques secondes, même les films de Tarantino que j’avais visionné une dizaine de fois chacun. Je m’amusais donc à balayer consciencieusement les mèches qui traînaient sur le carrelage quand le carillon de l’entrée tinta à mes oreilles. Je levai les yeux, c’était Sorà, une amie. Elle me sourit et vint me faire la bise, du coup je lui rendis un sourire, pas très convaincu, mais il était là tout de même. Comme souvent, elle avait l’air de très bonne humeur. « Hey ! Ça faisait longtemps, j’espère que tu n’es pas trop occupé ? J’ai besoin d’un changement de tête… C’est violent, t’as pas idée… » Elle s’assit alors sur un siège et j’allai chercher une cape de coiffeur pour que ses cheveux ne se glissent pas dans son cou lorsque je les couperais. Après tout, je n’avais rien à faire, et j’étais le seul à ne pas être en train de faire un travail essentiel, du genre une coloration ou un dégradé. Je revins vers elle, caressant la tête de sa fille qu’elle tenait sur ses genoux. J’adorais cette gamine, elle était encore un bébé, mais je pressentais déjà qu’elle serait une petite fille extraordinaire. Ironiquement, elle s’appelait Lily, comme ma meilleure amie qui avait perdu son enfant, et je trouvais parfois cela injuste, mais ça me passait très vite. « Je te pose par terre… Mais tu es sage ! Et tu ne joues pas avec les cheveux par terre là-bas ou je te fais teindre en rose et bleu ! » Sorà déposa sa progéniture sur le sol et je pus lui accrocher la cape, tout en regardant, attendri, son bébé qui évoluait à quatre pattes, poupée en mains. « Elle est vraiment trop craquante. Bon, tu veux quoi ? Court, carré, rock, strict ? » fis-je en tirant vers moi mon bac à roulettes qui contenait tous les outils nécessaires à mon travail. Je ne savais pas trop comment réagir face à une mère heureuse quand ma meilleure amie avait elle-même été anéantie par la perte d’un enfant alors qu’il n’avait même pas vu le jour. C’était une situation plutôt étrange, du coup, je préférais faire comme si de rien n’était, comme si tout allait très bien, alors que c’était tout à fait le contraire. Le chaos régnait dans ma vie, là, et tout semblait se produire à la chaîne : Lily enceinte, retour de Zack, Lily perd le bébé, retour d’Emrys. Ce dernier n’avait vraiment pas choisi le bon moment pour se ramener. Je n’arrivais même pas à être en colère contre lui parce que j’étais bien trop troublé pour me rappeler tout ce qu’il m’avait fait subir, ces mois durant lesquels il avait insulté ma religion pour me quitter en une unique phrase plus réfrigérante que tout.

« Alors que deviens tu ? Dis-moi tout ! T’es disponible après ? Genre boire un coup quelque part ? Tu dois bien avoir des choses à me dire ! » Je faillis sursauter, me souvenant qu’elle venait de m’adresser la parole et que j’étais trop absorbé dans mes pensées pour lui avoir répondu du tac au tac. Ça lui semblerait sans doute bizarre, mais je n’avais pas envie de la bassiner avec mes ennuis. Il y avait bien trop de choses à raconter et j’avais tout aussi peur de me trouver encore plus con qu’au naturel que de fondre en larmes devant elle, car j’étais un grand sensible bien malgré moi et que je commençais à garder tout pour moi durant trop longtemps. « Oh, ça peut aller. C’est un peu difficile avec ma meilleure amie ces derniers temps, je ne sais pas si tu es au courant… Enfin, voilà. J’ai l’impression qu’elle s’en remet mieux que moi. » Je marquai une pause, réfléchissant à nouveau à tout ce qui se passait. Au final, c’était peut-être moi qui étais bête de ne pas tourner la page. Tant que Lily allait bien, c’était le plus important, non ? Je ne savais plus. « Euh, oui, mais j’ai fini journée vers quinze heures. Sinon je peux prendre ma pause dès que j’ai terminé avec ta chevelure, mais c’est vingt minutes seulement. Au fait, comment va Trenton ? »


Dernière édition par Ismaël Z. Rivkind le Ven 15 Juil - 23:26, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas

N. Sorà Denvers
Bienvenue à Lewis
N. Sorà Denvers


Célébrité : Coco Rocha
Âge : 20 ans.
Citation favorite : Abandonnez tous vos sens au plaisir, qu'il soit le seul dieu de votre existence. C'est à lui seul qu'une jeune fille doit tout sacrifier et rien à ses yeux ne doit être si sacré que le plaisir...
Messages : 88


PANDORA'S BOX
HEART: compliqué
RELATIONSHIP:


The friends are always there  when we need them. I&S Empty
MessageSujet: Re: The friends are always there when we need them. I&S   The friends are always there  when we need them. I&S Icon_minitimeVen 15 Juil - 22:59

The friends are always there  when we need them. I&S Tumblr_lnqezvdroO1qbwvp8o1_500
The friends are always there
when we need them.


« Elle est vraiment trop craquante. Bon, tu veux quoi ? Court, carré, rock, strict ? » Baissant un vague regard vers ma fille, un sourire se logea alors sur mon visage rien que de la voir. Elle était belle et craquante oui et il ne me tardait qu’une seule chose, qu’elle dise maman, oui qu’elle me regarde de ses petits yeux bleus et qu’elle dise tout simplement le mot magique, le mot que toute mère attend avec impatiente. Mon petit bébé d’amour… Passant lentement ma langue sur mes lèvres en me pinçant les lèvres, je n’avais pas réellement réfléchit a la coupe de cheveux que je voulais. Court ? Pourquoi pas… Mais non, rock ? Non… strict ? Non plus… J’étais d’un compliqué pour les cheveux s’en était presque affolant même… « Hum… Une frange déjà ça me changera… Et hum tu peux garder la longueur en faisant plusieurs dégradés ? Et les effiler aussi ? Enfin si tu peux, tu penses que ça m’irait ? » demandai-je en me regardant longuement en tournant quelque peu la tête pour me voir sous tous les angles possible afin d’imaginer ma tête et a quoi je pourrais ressembler s’il me faisait cette coupe. Je lui faisais une entière confiance pour ça, je savais de quoi il était capable, Ismaël faisait du très bon boulot, je n’avais jamais été déçue de ses coupes de cheveux. Inspirant doucement en baissant un vague regard vers la petite je lui fis un léger coucou lorsqu’elle croisa mon regard. Un franc sourire sur ses lèvres, je souris à mon tour sous le coup. M’installant bien confortablement dans le siège je le regardais à nouveau préférant alors lui demander comment il allait et si par la suite il voudrait bien venir boire un coup avec moi puisque nous ne nous étions pas vu depuis un petit moment maintenant et que mon ami me manquait atrocement. Le faite de rire, de parler de penser à autre chose.

C’était les simples petits moments de la sorte qui font toujours du bien dans notre vie de toute façon. Et Ismaël était un garçon si simple si gentil, si attentionné… Il me permettait de décompresser et d’oublier un tant soit peu ma souffrance quotidienne… « Euh, oui, mais j’ai fini journée vers quinze heures. Sinon je peux prendre ma pause dès que j’ai terminé avec ta chevelure, mais c’est vingt minutes seulement. Au fait, comment va Trenton ? » Souriant en coin ne m’attendant cependant pas a ce qu’il me demande des nouvelles de Trenton, je me vis alors blêmir quelque peu devant le miroir. Que dire que faire ? J’aimais Trenton mais ce n’était pas la joie à la maison en ce moment… non loin de là même… J’avais l’impression de sombrer dans une dépression profonde de redevenir la même qu’il y a un an, d’être la petite Sorà qui coule qui touche le fond malgré le retour de l’homme de sa vie. Je pleurais, je hurlais, je faisais des crises de jalousie, de faisait de tout a Trenton et je me demandais encore comment il ne m’avait pas quitté… Car il fallait se l’avouer… Tout n’était pas facile… Rien ne l’était… Plus rien. Vivre était devenu difficile. Se réveiller seule dans le lit me faisait pleurer, même s’il était simplement parti boire ou s’occuper de Lily je tapais une crise, je ne supportais pas de me réveiller seule, c’était devenue comme une phobie… La peur de ne plus jamais le revoir… J’étais surement une fille fragile, oui c’était surement ça dans le fond, le fait qu’il m’ait quitté une fois avait suffit a me tuer plus que de raison et au vus des crises que je tapais il était clair que j’étais une femme blessée, vexée, qui ne se sentait pas bien dans sa peau et j’en passe… Passant ma langue sur mes lèvres, un léger sourire se logea dessus comme pour cacher ce que j’étais en train de ressentir à ce moment précis.

« Pourquoi pas oui ! vingt minutes c’est déjà ça, je ne vais pas m’en plaindre toi et moi ça fait longtemps qu’on ne sait pas vu… » soufflai-je doucement en le regardant via le miroir avant de baisser le regard pour voir Lily, ma petite fille de six mois tranquillement assise sur le sol, s’amuser avec son doudou. Elle était tellement belle… Elle ressemblait de plus en plus à Dylan. Elle avait ses yeux, son menton, son nez, elle lui ressemblait vraiment beaucoup, elle serait belle, elle l’était déjà ! Et elle avait un appétit d’ogre tout comme lui autant dire que c’était bien la fille de son père ! Six mois déjà, le temps passe à une vitesse affolante. Est-ce que nous aurions d’autre enfant ? Est ce que je tomberai à nouveau enceinte ? Non, je prenais la pilule maintenant… Inspirant longuement en fermant les yeux penchant légèrement la tête en arrière j’essayais de ne plus me torturer l’esprit tout en passant ma main sur mon cou pour me le masser avec lenteur. J’avais réellement besoin de vacances, de… me détendre de faire le point sur ma vie. Je venais d’avoir ma première année en littérature, j’avais deux mois de vacances, il fallait que j’en profite réellement pour faire le point… « Ben écoute, il va bien, il travail là, donc ça le laisse un peu seul il n’a pas a subir ma présence, ni celle de Lily… Ce n’est pas plus mal dans le fond… » soufflai-je doucement en soupirant faiblement me sentant toute pâle. Parfois je me demandais si le quitter ne serait pas une bonne chose mais non, j’étais folle de lui j’étais dingue de lui. Je l’aimais comme jamais je n’avais aimé quelqu’un, et je l’avais déjà quitté en fait… à chaque fois qu’il rentrait trop tard de ses soirées et que je me réveillais lorsqu’il rentrait… est ce que j’étais une fille intenable ? Surement… Je me demandais toujours comment il faisait pour me supporter… ou comment il faisait pour rester et ne pas me quitter… L’amour surement, nous étions lié par un amour inconditionnel et fusionnel, malgré cette mauvaise passe il était évident que nous étions fait pour vivre ensemble lui et moi. Il fallait simplement que je remonte la pente de cette dépression… Ouais… Il le fallait tout simplement. Me pinçant les lèvres, je relevais un vague regard vers Ismaël tout en lui souriant, le regardant alors travailler via le miroir. C’était un garçon tellement gentil, tellement tout. Il devait en faire craquer plus d’une de fille … Mais pas de chance pour elles, il était loin d’être intéressé puisque lui son terrain d’entente c’était les hommes. « Et toi ? Quoi de neuf ? Tout va bien dans ta petite vie ? Tu n’as pas l’air franchement bine là tu as une petite moue tristounette ou je me tromperai ? » Demandai-je alors doucement en le regardant sincèrement lui faisant comprendre qu’il pouvait très bien me parler… Après tout les amis c’est fait pour ça non ? Et puis surtout car il n’avait pas répondu a mes question préférant me demander comment allait Trenton. C’était bien qu’il n’allait pas bien non ?
Revenir en haut Aller en bas

Bienvenue à Lewis
Contenu sponsorisé





The friends are always there  when we need them. I&S Empty
MessageSujet: Re: The friends are always there when we need them. I&S   The friends are always there  when we need them. I&S Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

The friends are always there when we need them. I&S

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» ROSE ♣ friends are the most important thing in a life
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Même les plus forts ont besoin de douceur :: ღ LA POUBELLE DERRIERE LA MAISON :: BIBLIOTHEQUE DES RP-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forumactif.com